Poésie Utopique

FRANCAIS La poésie peut être décrite comme un genre littéraire aux formes variées jouant sur les sons, les rythmes et les images. C’est la création d'un nouvel univers ; "poiein", en grec, signifie créer : transforme la réalité. Mais il n’existe pour la poésie aucune définition fixe. Elle est l’explication donnée par l’auteur sur un thème. Elle renvoit à ce qu’il voit et est purement subjectif. C’est la description de la vision de l’auteur retranscrit à travers ses mots. Ainsi, la poésie est sujet

rendre, » (lignes 4-5). Quelle est la conception de l'amour dans la poésie de la Renaissance? Comparez-la avec la notion de "fin amor" de la poésie courtoise. Dans les poèmes "Chant de Mai et de Vertu," "Tant Que mes yeux pourront larmes épandre," et "Quand vous serez bien vieille..." l'amour est décrit d'une manière très personnelle. L'amour de la poésie de la Renaissance était plus fervent, plus authentique que ceux de la poésie courtoise. C'est peut-être à cause de l'évolution du courant de pensée

La poésie vient du latin "poesis" signifiant "œuvre poétique" découlant lui-même du grec "poíêsis" équivalent du mot "création". Elle est définie dans le dictionnaire comme l'art de faire des œuvres en vers mais a cependant pris plusieurs formes selon la vision du poète qui l'écrivait. Elle était surtout lyrique mais pouvait aussi être engagée ou juste exprimer le "Beau". Mais la poésie est-elle seulement vouée à l'expression des sentiments ? N'a-t-elle pas d'autres fonctions plus "enrichissantes"

Jean Marie GLEIZE, Poésie et figuration. La mise à l'écart: Lamartine. La poésie se médite. « Il part du constat que la poésie est morte. Qu 'elle n'existe plus. Qu 'elle est a recommencer depuis cette mort et ce silence, depuis son absence ou sa contrefaçon bavarde. » -> La poésie est en constante invention, ses règles ne sont jamais vraiment définies. « Elle n'existe jamais. » Lamartine montre dans son oeuvre la dynamique d'un trajet... Va tenter de réduire la poésie à elle-même. Grâce

Apparue dès l’antiquité , la poésie a toujours joué un grand rôle dans l’histoire de la littérature. C’est un art du langage qui fait une utilisation maximale des ressources de la langue. Le mot poésie a pour racine grec poiein qui signifie « faire ; créer », le poète est donc créateur de formes expressives avec pour instrument les métaphores, figures de styles, musicalités des vers …La question qui se pose est de savoir si la poésie reflète une certaine vérité ; nous étudierons la thèse puis l’antithèse

romantiques du XVIIIe siècle * Poésie : art en mutation voir en crise * Inspiration de son amour malheureux pour Esther Lelievre surnommée Eléonore * Exotisme à la mode * Inspirera Lamartine et ses Méditations * Esther Lelievre est réunionnaise mais leur amour est impossible du à sa classe sociale * Inspire en 1778 Poésies érotiques * Elégie = plainte chantée, mise sous forme de poème lyrique et mélancolique Lecture * Voyage vers un lieu utopique avec bien aimée * Poème

Antithèse du sujet ‘‘La poésie est avant tout un travail’’ Avant d’être travaillée et réglée comme du papier à musique, la poésie permet au poète d’exprimer ses sentiments divers, sur des sujets tout aussi variés. Prenons par exemple le mouvement surréaliste qui fait fit de toutes les règles de la poésie et qui ne veut qu’écrire ce que le poète surréaliste pense, sans barrière aucune. Pour n’en citer que deux, Paul Eluard et Aragon. Ce dernier est un des fondateurs de ce mouvement et seule

Depuis son origine, la poésie a souvent été associée à la douleur ou à l’expression de la peine. On est même tenté de s’interroger sur la nature de l’inspiration poétique : faut-il que le poète soit nécessairement dans la souffrance pour écrire de manière remarquable, pour puiser en lui les images les plus fortes et les plus belles pour nous transporter dans des lieux hors du commun ? Comment les poètes travaillent-ils la langue pour la faire sortir des lieux communs et retrouver un mystère excitant

propos ne sera pas centré sur le prophétisme, sujet déjà abordé par Sheila Gaudon[1]. Cet aspect a été largement évoqué par les commentateurs du recueil récemment mis au programme du baccalauréat. Je tenterai plutôt de cerner les usages de la culture utopique dans Les Châtiments de Victor Hugo. Depuis Charles Nodier et la chaumière des Proscrits, qui doit beaucoup à Bernardin de Saint-Pierre, l’exil appelle la référence aux utopies du siècle précédent. Cette référence n’est pas, loin de là, toujours positive

partir d’approches et de corpus divers : théâtre, poésie, roman, mais aussi écriture journalistique et personnelle. L’engagement littéraire est ici considéré à la fois comme prise de position auctoriale et comme effet d’une réception ; par ailleurs, il est envisagé dans une gamme qui va des formes les plus explicites, comme l’« école de mœurs » qu’est le théâtre de l’an II, aux plus indirectes, comme l’« écriture de la souffrance » dans la poésie de Chénier. Huit articles sont distribués en quatre