Poésie Voyage Réel Imaginaire

 Littérature du XXème siècle : Poésie Etude du poème d’Aragon «  Il ne m’est Paris que d’Elsa » ARAGON «  Il ne m’est Paris que d’Elsa » (1964) Il était une fois où tu m’avais quitté Tout Paris s’était fait désert de ton absence Y vivre ni crier rien n’avait plus de sens Ce jour ou cette nuit j’ignore où j’ai été Si m’ont parlé des gens dont j’esquivais l’approche Et si l’air était doux et si j’étais jaloux Si je traversais bien la rue entre les clous Craignant que d’y manquer

s'articulent autour de critères: le choix des oeuvres issus de LDJ à proposer aux enfants= cela induit les critères de choix de ces oeuvres en mettant en relief les f° et les valeurs véhiculées. La q° des genres= albums, BD, romans et récits illustrés, poésie, contes et fables pour la LDJ= majoritairement des récits (albums, BD, contes sont des récits) les classiques qui appartiennent au patrimoine Le genre: un cadre indispensable pour accéder à la compréhension des textes littéraires genres, genres

affaire mais avec une impression d'être pris pour un imbécile ; c'est une projection figée qui si j'étais un spectateur ne m'inspirait strictement rien. J'ai l'impression qu'il n'y a pas de réelle recherche de poésie, pas de réelle recherche esthétique la dedans. La succession des images tue tout imaginaire autour des moments clefs de la pièce et il semble que cela soit la solution de facilité du scénographe. Voilà une transformation radicale qui ne me semble pas des plus intéressante. C'est acceptable

monde réel). _Quelques problèmes s'imposent : •Tous ce que l'on sait de cette guerre sont les ruines découvertes au XIXème siècle. On est donc confronté à un texte qui fait référence à des faits historiques mais dont on a pour seule preuve ce texte lui même. •Nous sommes confrontés à une oeuvre littéraire dont la plus grande partie est imaginaire (événements en partis symboliques). •C'est use vision du monde mythologique faite de croyances entre des dieux et des êtres imaginaires (vision

parlée = la délimitation du signe est donc coextensive de la délimitation de la signification le signe n’est signe qu’en fonction du contexte (= un ens. d’autres signes) = la valeur du signe (SAUSSURE) : ce qui fait qu’un fragment acoustique devient réel et concret, est délimité en faisant sens = devient signe linguistique chaque terme a sa valeur en opposition / ts les autres. La notion de valeur une des justificat° les + pertinentes du système du langage comme système structural = le système donne

parfaitement gratuite : « II n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid.». Ainsi découlent de cette conception plusieurs refus : celui de la poésie philosophique (à la manière d’Alfred de Vigny) car l’art n’a pas à transmettre d’idée ou de morale, et celui de la poésie politique (à la manière d’Hugo) car l’art est indifférent au progrès social. L’Art pour l’Art veut essentiellement défendre les valeurs que sont la beauté et la liberté. L’artiste doit être

Cégep de Saint-Laurent Littérature et imaginaire Prof. : Judith Proulx LES PROCÉDÉS D’ÉCRITURE A- LES PROCÉDÉS LEXICAUX 1 Nom La dénotation (le sens propre) Exemples Effets / sens Dans l’expression Effet de précision, « être malade du marque l’objectivité cœur », le terme ou la rationalité. « cœur » désigne l’organe physique. La connotation Le sens connoté est le sens Dans l’expression Effet de subjectivité, (le sens figuré) imagé d’un mot. Ce sens est «avoir le cœur brisé», renvoie à l’univers

La littérature de voyage du Moyen Âge. Le Moyen Âge : • Le Moyen Âge s’étend sur mille ans, dix siècles - Ve au XVe. • Le Moyen Âge commence en 476- la chute de Rome - ou bien en 481 – le baptême de Chairs. • Les historiens le font commencer avec la chute de l’Empire romain d’Occident, symbolisée, plus que réalisée, par la déposition en 476 de l’empereur Romulus Augustule, et situent sa fin dans la seconde moitié du XVe siècle. • 1476- la chute de Constantinople. • 1492- Christophe Colomb

Editions Passage(s) | AFRICAIN (L’)AFRICAIN (L’) Dans l’œuvre de J.M.G. Le Clézio, rien de vraiment comparable à L’Africain qui n’est ni fiction ni récit de voyage ni essai ethno-historique. Dans le cadre d’un Nigéria colonial, plusieurs personnages de son roman Onitsha (1991) tels que Fintan, Geoffroy et Maria Louisa ressemblent aux représentations autobiographiques de L’Africain – le narrateur, son père et sa mère. Alors que le narrateur d’Onitsha invente son récit à partir de souvenirs de jeunesse

désormais sur les «routes» plurielles du souvenir qu’il poursuit sa promenade, celles qu’il a parcourues dans son enfance, vers l’école, la ferme, ses coins de pêche, et qui maintenant, par le jeu de la «mémoire» se superposent à la route bien réelle qu’il parcourt. On peut observer que les circonstances du récit inspirent une métaphore analogue à la l. 19, « la dynamo ouvre toujours le chemin d’une liberté à déguster […] » à laquelle font écho ces «routes de mémoire». Par ailleurs, la dernière