Précarité

exclure fonctionnera sans coup férir. Sources : D Clerc, «  De la production de richesses à la production des exclus » . Document 2 Les caractéristiques d’une population en situation de précarité sociale (attention : ne pas confondre avec précarité de l’emploi. Voir critères utilisés pour définir la précarité sociale au-dessous du graphique )- Clé de lecture : la situation idéale se situe en bas à droite du graphique et se dégrade socialement en allant vers la gauche et économiquement en remontant

sociaux. Il nécessite un contrat tacite des employeurs et des salariés, contrat basé sur une politique active d’accompagnement et de qualification par la formation afin de rendre possible et soutenable la mobilité. L’absence de concept de précarité implique que les acteurs individuels y trouvent leur compte (et fassent confiance) et que le groupe social l’accepte collectivement en permettant des contreparties et responsabilités telle que la requalification. Les différences exsistantes entre

travail précaire » désigne un emploi qui présente trop peu de garanties d’obtenir ou conserver dans un avenir proche un niveau de vie « acceptable », et qui engendre un profond sentiment d'incertitude sur l'avenir, un sentiment de précarité. On parle parfois de « halo de précarité »[1]. Des revenus très faibles ou des contrats courts sur un marché du travail fortement affecté par le chômage sont les principales sources du travail précaire. Pour un actif, les situations de travail précaire peuvent avoir

(principalement dans les favelas) et celle des agressions touchant potentiellement tous les habitants de la ville. La violence dans les favelas peut s’expliquer par plusieurs raisons. Tout d’abord les conditions de vie y sont particulièrement difficiles la précarité est fortement présente. De plus, dans les favelas il y a une forte présence des gangs et des narcotrafiquants. Il y a énormément d’affrontements dans ces endroits à cause de la drogue notamment. Des affrontements violents entre narcotrafiquants et

Cet article est issu du magazine « sciences humaines ». Il est paru en octobre 2011 et a été rédigé par Martine Fournier, diplômée en sciences humaines, qui la intitulé « la motivation ça s'en va et ça revient... ».La thématique de l'article porte sur la motivation à apprendre durant les études. En effet, on peut constater une crise de la motivation des élèves, que ce soit dans les études secondaires comme supérieurs. Il y aurait deux types de motivation: la motivation intrinsèque et la motivation

circonscrire les dommages de la paupérisation, qui touche majoritairement les femmes, traduisent néanmoins le souci non négligeable de la plus grande exposition des femmes au chômage et au précariat (néologisme de la sociologie, formé à partir des mots précarité et prolétariat, et définissant les « travailleurs précaires » comme une nouvelle classe sociale). Forts de cette constatation réelle et ancrée, nous pouvons alors supposer, du moins en ce qui concerne l’accès à l’emploi et les conditions notamment

d’emploi................................................................................................16 3.3 - Les agences d’emploi concurrencent les cabinets de recrutement ...................................................16 PARTIE II : PRECARITE OU TREMPLIN VERS UN EMPLOI STABLE ? ............................. 18 1 - QUELQUES TEMOIGNAGES .................................................................................................. 18 1.1 - Mise en place du questionnaire ...........

relié au thème très récurrent au bac du “Travail et emploi”, thème qui a certainement fourni la plus grande source de sujets de bac. C’est un thème incontournable de vos révisions, d’une part parce que des connaissances sur le chômage et sur la précarité sont utiles dans beaucoup de sujets transversaux, d’autre part parce que les sujets sur l’organisation du travail (taylorisme, toyotisme, flexibilité du travail) n’ont pas été proposés depuis longtemps. Il s’agit d’un sujet de dissertation dans lequel

règlement, charge de travail. c. Les facteurs sociaux Les facteurs sociaux dépendent des relations de travail, souvent conditionnées par le style de management et la qualité de communication interne. Exemples : dialogue social, rémunération, précarité, reconnaissance du travail, conflits. d. Les facteurs psychologiques Ils résultent des situations professionnelles qui engendrent des répercussions sur la santé psychologique des salariés. Exemples : souffrance au travail, stress, épuisement

inégalités économiques  Préciser que certaines PCS cumulent les difficultés et que d’autres cumulent les avantages. Partir du type d’emploi occupé (document 1) et expliquer que certains cumulent un risque plus élevé face au chômage et à la précarité, de plus faibles salaires (document 2), donc globalement de plus faibles revenus 1.2. Les liens réciproques entre revenu et patrimoine et les inégalités de niveau de vie  Inégalité de revenu (illustrer avec document 2) → capacités inégales