Prends Cette Rose Ronsard

comme la colombe ( un comble, lorsqu'elle est accusée d'avoir déclenché la guerre de Troie, même contre sa volonté ), mais aussi des éléments naturels comme de la végétation : des roses, symbole de délicatesse. Hélène se tient debout, vêtue d'une toge rose, se passant la main dans les cheveux tout en admirant son propre visage dans un miroir qu'elle tient dans sa main droite. Elle semble satisfaite, et pourtant, sa beauté est la cause de tous ses malheurs : c'est elle qui la fait se faire remarquer,

mais qui ne prétendait pas à faire de ses œuvres un ensemble de connaissance. Il était humble, simple. Il connait l’antiquité latine. Dans son Enfer nous retrouvons plein de réminiscences virgiliennes. Aussi on voit qu’il connait « Le Roman de la Rose », et va adapter des éléments de ce roman dans son Cupidon. - Il est aussi un poète de l’amour. Il était un homme de monde. Il connait la nuance de la courtoisie. Marot parle normalement de sentiments spirituels, platoniques, de l’amour courtois

Serment de strasbourg1er roman psycho → XIe siecle JaponEn France Xie-XIIe → Roman courtois (matière Romane/de Bretagne)Chrétien de Troyesgeste ArthuriennePercevalYvainLa mort du roi Arthur Ex : -Le roman de Renart → utilise les animaux-Le roman de la rose → utilise la nature-Le roman Pastoral -L’Astrée 1627 d’Honoré D’UrféB.Mme de Lafayette et les salonsXVIIe - Femme de lettre---salonnière-classicisme _ préciositéMme de Lafayette est née à Paris en 1634 , issue de la petite noblesse , demoiselle d’honneur

la rêverie et à une vision renouvelée du monde. On peut encore rapporter le caractère innovant et annonciateur du pointillisme de ce tableau par certains éléments picturaux : en effet, l'oreiller sur lequel s'appuie la femme de gauche ainsi que la rose dans les cheveux de celle de droite sont peints uniquement à partir de petits points. Il ne subsiste ainsi aucune trace de dessins ou de contours. Ce tableau est exotique.

historiqueL’enfance de Baudelaire se déroule sous la Restauration et la monarchie de Juillet (né en 1821), il va donc être empreint de cette recherche de liberté et ce dégout de la monarchie (jsp vrmt si c’est ça). Lors de la Révolution de 1848, il prend conscience de la souffrance des déshérités et s’engage au côtés des Républicains et se lance dans le journalisme. Suite au coup d’état de Louis-Napoléon Bonaparte, il se détache de la vie politique et mène une vie de dandy. Baudelaire assiste à ces

emmailloté, Un enfant qu’une mère horrible avait jeté, Profitant du sommeil confiant de l’enfance, En passant, dans ce coin, presque nu, sans défense, Comme un voyageur las jette au loin son fardeau. « Hélas ! dit le curé, qui des mains du bedeau Prend le pauvre petit, notre raison humaine Est folle en voulant fuir la route où Dieu la mène. Vous avez vu par nous vos desseins outragés, Dieu très juste, et voici comment vous vous vengez. L’autre soir, nous sentions dans nos âmes farouches Fermenter

privilégié : les joues pourpres, faible en apparence, traits irréguliers, nez aquilin, grands yeux noirs. Les verbes descriptifs dominent : avait, c'était, annonçaient, étaient animés. Ils sont à l’imparfait. L’auteur propose ici un portrait nuancé. Il prend soin de donner à son personnage une personnalité variée que reflète son visage : de la tranquillité à la haine, entre la force et la fragilité. © Hatier, Méthodes & Pratiques, Français 2de / 1re, 2011 – Photocopies autorisées Chapitre 15 Étudier

Propos sur la poésie, « La marche comme la prose… » Une ballade : Charles d’Orléans, « Las ! Mort qui t’a fait si hardie… » Sonnets de Pétrarque à Baudelaire : Pétrarque, Canzoniere, 189 (manuel p 110) Labé, Sonnets IX (manuel p 109) Ronsard, Les Amours, sur la mort de Marie, V, « Comme on voit … » Du Bellay, L’Olive, LXXXIII, « Déjà la nuit en son parc amassait… » Baudelaire, Les Fleurs du mal, Spleen et idéal ; IV, « Correspondances » ; XII,  « La vie antérieure »  Poèmes en prose :

privilégié : les joues pourpres, faible en apparence, traits irréguliers, nez aquilin, grands yeux noirs. Les verbes descriptifs dominent : avait, c'était, annonçaient, étaient animés. Ils sont à l’imparfait. L’auteur propose ici un portrait nuancé. Il prend soin de donner à son personnage une personnalité variée que reflète son visage : de la tranquillité à la haine, entre la force et la fragilité. © Hatier, Méthodes & Pratiques, Français 2de / 1re, 2011 – Photocopies autorisées Chapitre 15 Étudier

araignées », v. 11) signalant qu’il n’y a plus aucune distance entre la réalité perçue et son contact fantasmatique. On est bien au cœur d’une hallucination. Le quatrain marque une progression dans l’horreur et le dégoût, face à un phénomène qui prend possession de l’être du poète, et s’attaque à ses capacités intellectuelles (« au fond de nos cerveaux », v. 12). • L’anaphore avait préparé l’éclatement de la crise. Elle se manifeste dans le quatrième quatrain par un sursaut violent et un rythme