Presbytère

lendemain, les vingt-six pauvres étaient installés dans le palais de l'évêque et l'évêque était à l'hôpital. M. Myriel n'avait point de bien, sa famille ayant été ruinée par la révolution. Sa sœur touchait une rente viagère de cinq cents francs qui, au presbytère, suffisait à sa dépense personnelle. M. Myriel recevait de l'état comme évêque un traitement de quinze mille francs. Le jour même où il vint se loger dans la maison de l'hôpital, M. Myriel détermina l'emploi de cette somme une fois pour toutes de

vingt-six pauvres malades étaient installés dans le palais de l’évêque et l’évêque était à l’hôpital. M. Myriel n’avait point de bien, sa famille ayant été ruinée par la révolution. Sa sœur touchait une rente viagère de cinq cents francs qui au presbytère suffisait à sa dépense personnelle. M. Myriel recevait de l’état, comme évêque, un traitement de quinze mille francs. Le jour même où il vint se loger dans la maison de l’hôpital, M. Myriel détermina l’emploi de cette somme une fois pour

exaltée, mais droite. Toutes ses croyances étaient fixes, sans jamais d’oscillations. Il s’imaginait sincèrement connaître son Dieu, pénétrer ses desseins, ses volontés, ses intentions. Quand il se promenait à grands pas dans l’allée de son petit presbytère de campagne, quelquefois une interrogation se dressait dans son esprit : « Pourquoi Dieu a-t-il fait cela ? » Et il cherchait obstinément, prenant en sa pensée la place de Dieu, et il trouvait presque toujours. Ce n’est pas lui qui eût murmuré dans

lendemain, les vingt-six pauvres étaient installés dans le palais de l'évêque et l'évêque était à l'hôpital. M. Myriel n'avait point de bien, sa famille ayant été ruinée par la révolution. Sa soeur touchait une rente viagère de cinq cents francs qui, au presbytère, suffisait à sa dépense personnelle. M. Myriel recevait de l'état comme évêque un traitement de quinze mille francs. Le jour même où il vint se loger dans la maison de l'hôpital, M. Myriel détermina l'emploi de cette somme une fois pour toutes de

vingt-six pauvres étaient installés dans le palais de l’évêque et l’évêque était à l’hôpital. M. Myriel n’avait point de bien, sa famille ayant été ruinée par la révolution. Sa sœur touchait une rente viagère de cinq cents francs 18 qui, au presbytère, suffisait à sa dépense personnelle. M. Myriel recevait de l’état comme évêque un traitement de quinze mille francs. Le jour même où il vint se loger dans la maison de l’hôpital, M. Myriel détermina l’emploi de cette somme une fois pour toutes de

les vingt-six pauvres étaient installés dans le palais de l’évêque et l’évêque était à l’hôpital. M. Myriel n’avait point de bien, sa famille ayant été ruinée par la révolution. Sa sœur touchait une rente viagère de cinq cents francs qui, au presbytère, suffisait à sa dépense personnelle. M. Myriel recevait de l’état comme évêque un traitement de quinze mille francs. Le jour même où il vint se loger dans la maison de l’hôpital, M. Myriel détermina l’emploi – 13 – de cette somme une fois

lendemain, les vingt-six pauvres étaient installés dans le palais de l’évêque et l’évêque était à l’hôpital. M. Myriel n’avait point de bien, sa famille ayant été ruinée par la révolution. Sa sœur touchait une rente viagère de cinq cents francs qui, au presbytère, suffisait à sa dépense personnelle. M. Myriel recevait de l’état comme évêque un traitement de quinze mille francs. Le jour même où il vint se loger dans la maison de l’hôpital, M. Myriel détermina l’emploi – 13 – de cette somme une fois pour

se sent renaître. Comme l’enfant des nuages, elle caresse l’espoir d’un avenir meilleur. Elle sort de l’ombre pour aller vers la lumière. Recherche tendresse désespérément… Solange Furaud Père Edouard pédalait ferme. Il se hâtait de revenir au presbytère car il venait d’apprendre que petit Paul avait encore fait des siennes. L’effort creusait les profondes rides de son visage, réduisait ses yeux bleus à une mince fente. Le vent ramenait sa longue barbe blanche et grise vers son épaule. Il pédalait…

approbation par décret en Conseil d'Etat. D’un autre côté, l’Etat va transférer un certain nombre de charge à la commune. La loi de la séparation entre les églises et l’Etat de 1905, amène la commune à intervenir dans l’entretien des églises et presbytères. Histoire administrative Page 32 En 1939, le début de la seconde guerre mondiale qui se termine le 22 juin 1940 par la signature de l’armistice avec des conditions très lourdes pour le régime en place. Le 10 juillet 1940, l’Assemblée Nationale

centimes additionnels, elle donne cent écus de traitement supplémentaire au curé, deux cents francs au garde champêtre, autant au maître et à la maîtresse d’école ; elle a cinq cents francs pour ses chemins, autant pour les réparations de la mairie, du presbytère, de l’église, et pour quelques autres frais. Dans quinze ans d’ici, elle aura pour cent mille francs de bois à abattre, et pourra payer ses contributions sans qu’il en coûte un denier aux habitants ; elle sera certes l’une des plus riches Communes