Président de la République algérienne démocratique et populaire

depuis l’affaire Dreyfus ? • Quelles relations s’établissent entre médias de masse, opinion publique et pouvoirs politiques ? A) De l’affaire Dreyfus aux années trente : la suprématie de la presse écrite. -­‐ 1. L’Affaire Dreyfus, la presse et la République. a) Le contexte. • 1894 : le capitaine Alfred Dreyfus est condamné à la déportation pour espionnage • 1896 : le véritable espion, le commandant Esterhazy, est découvert. • 1898 : Émile Zola écrit « J’accuse » dans L’Aurore. • 1899 : Procès

n'est la lutte contre le nazisme vont s'affronter pour la domination de la planète, conflit resté sous le nom de Guerre Froide et qui s'achève en 1991 par la disparation de l'un des deux adversaires, l'U.R.S.S. Est et Ouest se proclament chacun démocratiques mais leurs conceptions sont opposées. Celle de l'Ouest repose sur la concurrence (politique avec le multipartisme, économique avec le capitalisme...) tandis que celle de l'Est repose sur l'égalité sociale (abolition de la propriété privée, établissement

mois de la Révolution française. Dans l’Assemblée autoproclamée nationale puis constituante, les partisans du veto royal se placèrent à droite quand leurs adversaires se retrouvaient à gauche. Au XIXe siècle, la gauche regroupe les partisans de la République, et devient porteuse d’un message de progrès social. À mesure que le régime républicain s’impose, le seul fait d’être républicain ne place pas à gauche. Au début du XXe siècle, la gauche est divisée principalement en deux courants, les radicaux

premiers mouvements nationalistes C’est en Asie que les premiers mouvements apparaissent. Dans les Indes britanniques , le parti du Congrès, fondé en 1885, pratique, sous l’impulsion de Gandhi, la « non-coopération non violente ». Dès 1929, son président Nehru exige l’indépendance totale. Redoutant une Inde dominée par les Hindous, la Ligue musulmane de Ali Jinnah, appuyée par les Anglais, réclame la formation d’un Etat musulman séparé. En 1942, face à l’offensive japonaise et à la poussée nationaliste

PREMIERE PARTIE : Théorie générale des systèmes démocratiques Une définition sommaire de la démocratie peut être trouvée en faisant l’étymologie de ce mot, qui vient du grec : Démos signifie le peuple et Cratos le gouvernement. La démocratie serait donc le gouvernement du peuple. Or, si l’on met de côté la période de l’Antiquité grecque, et notamment Athénienne, les régimes politiques se sont le plus souvent constitués sous la forme monarchique, et ce quel que soit le nom du monarque (Roi

Histoire constitutionnelle française Titre I : La IIIème République : L’affirmation d’une nation politique République des paradoxes, la IIIème République l’est incontestablement. Elaborée dans un contexte politique où les républicains n’étaient pas majoritaires, elle va consacrer la République parlementaire et forger l’idéal républicain. Considérée par ses initiateurs, comme un régime d’attente, fruit d’un compromis laborieux, elle reste aujourd’hui le régime politique français le plus durable

La Vème République Cette république est premièrement très longue dans l'histoire. C'est le régime constitué par le Général DG dont il ne faut pas croire qu'il n'a pas évolué. Du point de vue institutionnel, il évolue à beaucoup d'égards y compris dans la constitution. La rép d'aujourd'hui n'est tout de même pas celui que le général DG aurait souhaité. Opposition droite gauche qui continue de constituer le débat. Cette bipolarisation de la politique française est importante. La vie politique

plan juridique, il faut le distinguer de ce qu'on appelle la consultation ; les citoyens expriment alors un avis qui n'est pas contraignant juridiquement pour celui qui l'a sollicité. Avec le référendum, les citoyens prennent une décision. La Ve République a largement développé le référendum. Il y a trois procédures par les articles 11, article 89 et article 88-5. A. Le référendum législatif (article 11) C'est une innovation de la constitution de 1958 puisqu'on va désormais pouvoir adopter

pouvoirs. Plus qu’une doctrine, la séparation des pouvoirs sera un véritable dogme, conditionnant en partie l’existence et le caractère démocratiques d’un Etat, même si aujourd’hui cela ne suffit plus. Dans les régimes politiques contemporains, si la notion de séparation des pouvoirs reste essentielle, elle n’est plus le seul élément conditionnant la réalité démocratique de l’Etat. §1 : La notion de séparation des pouvoirs dans la doctrine du XVIIIème La notion de séparation des pouvoirs a tout

saurait se concevoir sans étudier ce qui fonde le pouvoir : les institutions. D’une façon générale, elles sont régies par ce que l’on appelle une constitution. En France, nous sommes, depuis 1958, régis par la Constitution de la 5ème République. S’appliquant à une nation, le mot constitution désigne l’ensemble de ses institutions politiques. La loi doit donc s’y soumettre, il s’agit de l’ordre suprême d’un Etat. Chapitre 1 : L’ancien régime, de