Prétérition

L’ironie se traduit par plusieurs procédés rhétoriques. Dans ce sens, on note l’antiphrase qui consiste à dire le contraire de ce que l’on veut faire comprendre. La litote, une forme d’atténuation, peut elle aussi être utilisé ironiquement. La prétérition qui consiste à dire ce que l’on ne veut pas dire, l’hyperbole et l’ajout de commentaires décalés, sont aussi utilisés. Ainsi, l’ironie a une place prédominante dans les textes des Lumières. Notamment utilisée contre l’ignorance, les superstitions

le vent Polyptote consiste à employer plusieurs formes grammaticales (genre, nombre, personnes, modes, temps) d’un même mot, dans une phrase. -« […] Madame se meurt ! Madame est morte ! […] » - « Tel est pris qui croyait prendre. » Prétérition Une prétérition est une figure par laquelle on affirme passer sous silence quelque chose dont on parle néanmoins. Vous remarquez que je ne vous dis pas que votre style manque d’élégance. Question Oratoire/Rhétorique Affirmation déguisée sous la forme

Il joue le rôle d'intermédiaire entre Pridamant et Alcandre. C'est un personnage secondaire qui sert d'intro pour amener Alcandre dans la pièce. Il donne des ordres. ═› Personnage directif avec peut être du pouvoir. Il utilise l'art de la prétérition pour exciter la curiosité de Pridamant. ═› Il permet de ramener un côté rationnel On ne connait pas ses sentiments / pensées par rapport à Pridamant ═› Rôle utilitaire qui pose un cadre réaliste - Pridamant : Présenté à partir du vers

«même» 3 fois ce qui met les blancs et les noirs au même niveau sur le plan spirituel, intellectuel et moral. L'auteur de cette égalité est «la nature». Dans la 3e phrase il pousse l’audace jusqu’à les dire «supérieur» aux blancs par l’emploie de la prétérition «je ne vous fais pas l’injure de les comparer avec vous». il oppose «fidélité», «probité», «courage» à «rougir», «injure». 1ère phrase du 1er §, sous-entendu que seul les nègres peuvent être qualifié d’ «homme», qui ici signifie courage tout le

polysémie! Par exemple, il y a calembour quand on dit à une femme : « Madame, quand vous êtes en robe, mes yeux vous enrobent!» 15. Prétérition Figure par laquelle on attire l'attention sur une chose en déclarant n'en pas parler (ex. Je ne dirai rien de son dévouement, qui...; pour ne pas parler de...; Dupont, pour ne pas le nommer). Parler d'une chose par prétérition. 16. Polysémie Caractère d'un signe qui possède plusieurs contenus, plusieurs sens à la fois dans un contexte donné, dans une phrase

dialogue ce qui rend le texte plus vivant et plus convaincant 2. Emploi de figure de style révélatrice d’un ton passionné - anaphore - interrogation : oratoire rhétorique - hyperbole - prétérition - reprise anaphorique sous forme d’interrogation oratoire et ce qui permet à l’auteur d’insister (l.14) « quoi de plus plaisant » (l.26) « quoi de plus gracieux » (l.27) « quoi de plus charmant » Formulation qui confère

nous la voyons, plus affermie, ne plus se contenir. Ainsi lorsque Trivelin juge l'expérience suffisante, Cléanthis continue et parle par prétérition : cette figure consiste à feindre de taire un propos afin de mieux en faire sentir l'importance (ainsi les formules "je n'insisterai pas sur...", "est-il besoin de rappeler que..."). Relevez les trois prétéritions de Cléanthis à la fin de la scène et montrez comment la servante en use pour attirer d'autant plus l'attention. Face à Cléanthis, Euphrosine

l’opposé de agapê paulinienne, amour égoïste) ; " Je vous en dirois bien davantage, mais vous n’êtes pas digne seulement de sçavoir ceci, que j’avois bien résolu de vous celer " (l. 62-63) En fait, il s’agit d’autant d’antiphrases (ironie) et de prétéritions (annoncer qu’on ne fera pas quelque chose que l’on fait tout de même). Pourquoi ce jeu ? Parce qu’il fait d’autant plus ressortir la passion, par contraste et parce qu’il participe de la venustas, cette séduction qui résulte du jeu sur les codes

de groupes de mots, de propositions ou de phrases qui se suivent permet d'insister sur une idée. Cela rythme la phrase, souligne un mot et provoque un effet musical. Ex : Marcher à jeun, marcher vaincu, marcher malade (V.Hugo) Prétérition (féminin) Une prétérition est une figure par laquelle on affirme passer sous silence quelque chose dont on parle néanmoins. Le pléonasme n. m. est une figure de style où l'expression d'une idée est soit renforcée soit précisée par l'ajout d'un ou plusieurs

naturel, sa sincérité, son honnêteté et va tenter tout au long de son œuvre de se défendre. De fait, ce passage est une sorte de plaidoyer puisque Rousseau se place en accusé, en suspect et se défend, usant du registre judiciaire. Il utilise la prétérition*, ce qui lui permet de mettre dans son énoncé une nuance de réticence, il semble contraint de se justifier. Si le lecteur doute de la validité des propos, il ne peut l’imputer entièrement à l’énonciateur. Ainsi Rousseau énumère une succession d’arguments