Prévôt

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Notger imaginé par le peintre et dessinateur belge Louis Gallait (1810-1887). Notger naît en Souabe vers 930. Issu de la noblesse, il a effectué ses études à Saint-Gall, dont il aurait été prévôt. En 972, il est appelé sur le siège épiscopal de Liège. (…) ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- L'évêque reçoit de l'empereur certains droits en 974. (…) En 978, Notger fait ériger

des agents domaniaux que 'on appelle des prévôts. Ils représentent le roi auprès des populations locales, leurs attributions sont très larges (administratives, judiciaires, fiscales ou encore militaires). Ce sont des personnages influents. Ils sont un peu en décalage vis a vis de leur mission car ce ne sont pas des pros (ni magistrats...). Ils commettent des exactions. Leur comportement oblige le roi à mettre en place des baillis pour surveiller les prévôts. Malgré la spécificité du roi qui transparait

Et comment voulez-vous que j'échappe à cela? Est-ce que je sais, moi? c'était au temps des roses; Les arbres se disaient tout bas de douces choses; Les ruisseaux l'ont voulu, les fleurs l'ont comploté. J'aime! -- O Bodin, Vouglans, Delancre! prévôté, Bailliage, châtelet, grand'chambre, saint-office, Demandez le secret de ce doux maléfice Aux vents, au frais printemps chassant l'hiver hagard, Au philtre qu'un regard boit dans l'autre regard, Au sourire qui rêve, à la voix qui caresse, A

nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise. N'est-il point caché là parmi vous ? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons, vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux ! Je veux faire pendre tout le monde ; et si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même après. Chercher successivement les éléments littéraires (sémantiques, stylistiques...) qui tendent

celui du jongleur, Jean l’Oiselet, qui disait posséder des informations sur le meurtre du pélerin.  Dans une taverne, Thomas le Rouge, ivre, raconte qu’il a vu les meurtriers du pèlerin. Il est dénoncé par le tavernier et immédiatement arrêté par le prévôt. Thomas le Rouge donne alors les noms de Guy de Servières et de son écuyer Pons qui se trouvaient sur les lieux du crime. Raymond de Pleaux propose à Guy de fuir plutôt que d’être jugé mais Guy refuse car cette fuite l’accuserait. Dame Agnès de Montal

entière et même se transmettre, avec l'hoirie, de génération en génération. Les juridictions se disputaient les affaires et offraient aux plaideurs l'imbroglio de leurs compétences : justices seigneuriales, héritage des temps féodaux ; tribunaux de prévôté, au bas de la hiérarchie judiciaire royale ; bailliages ou sénéchaussées en place de premier appel ; présidiaux, juridictions d'exception, créés au long des siècles par l'administration royale; au sommet, enfin, orgueilleux et revendicatifs, les parlements

dominant est la littérature d'idées (essais,pamphlets....). Le roman reste un genre mineur mais toujours aussi fécond. 2 catégories ont du succès: Le roman épistolaire (lettres persanes de montesquieu) et le roman mémoire (Manon Lescaut de l'abbé Prévot). Au XIXème siècle, le roman triomphe, c'est le genre bourgeois par excellence. Il est particulièrement adapté au romantisme,réalisme,naturalisme(Stendhal qui veut copier le réel, Balzac l'historien des moeurs et Zola qui veut montrer la vie dans

municipales (la cour des jurats à Bordeaux). La justice royale comprend plusieurs niveaux : * des juridictions subalternes, des vigueries en Languedoc et en Provence, des châtellenies en Champagne, des vicomtés en Normandie, etc, des prévôtés en Guyenne (grande prévôté royale d’Entre-deux-Mers) * des bailliages (au nord mais aussi le Labour)et sénéchaussées (au sud mais aussi en Bretagne). Ces tribunaux connaissent les appels venant des juridictions inférieures, mais aussi, au civil, les tutelles

obsèques » insiste sur la solennité de la cérémonie et sur la pompe avec laquelle elle doit se dérouler) et nous renseigne sur le rituel funèbre mis en place avec son protocole et son étiquette très stricte à la mode de la monarchie absolue : les « prévôts » règlent une « cérémonie » à laquelle « chacun accourt »à l’appel du Prince, la « compagnie » est placée. Les manifestations de deuil sont ostensibles accompagnées des cris du roi repris en chœur par la cour et donnant lieu à des condoléances marquées

guerison ne s’obtient que lorsque le dieu irrité se reconcilie avec sa victime Pour se reconcilier le dieu a dut se voir offrir bcp de presents, d’incantations … Jusqu'à Hippocrate ( Veme siècle avant J.C.) c’est donc cet arrière plan religieu qui prevot, et le medecin se confond bien souvent avec le pretre. Cela dit, au quotidien les soigneurs essaient de soulager les gens par des potions, des emplatres (pommade epaisse ancetre du platre ) et ces soigneurs la ne se referent pas a la religion .