Primitif flamand

................................................................................... 7 2.1. Rodenbach, un écrivain flamand ? ................................................................................... 7 2.2. Un écrivain symboliste ?.................................................................................................... 8 2.3. Bruges-la-Morte : un roman flamand et symboliste ?....................................................... 8 3. Le contexte de publication ...........

la richesse d'une production collective et spontanée due à la tradition orale. La partie la plus ancienne, la branche II, fut composée vers 1170 par Pierre de Saint-Cloud. Le noyau primitif du Roman de Renart a connu de nombreux développements : Renart le Bestourné(Rutebeuf), le Couronnement de Renart (anonyme flamand), Renart le Nouvel (Jacquemart Gellée) : les branches ne cessent de se développer et de se multiplier. Si certaines d'entre elles ne manquent ni de saveur(Renart mange son confesseur)

important, à Florence notamment grâce à Cosme (dit l’Ancien) de Medicis. Les personnalités sont le plus souvent peintes en buste. Le fond évolue rapidement : d’abord neutre ou décoratif, il représente ensuite un intérieur ou un paysage. Les primitifs flamands placent leurs sujets dans leur cadre domestique, suivant en cela Van Eyck. Cette clientèle est donc à l’origine d’une conception nouvelle du portrait. On voit quels sont les enjeux sociaux et esthétiques de cette « renaissance du portrait

source de dissertions 1)http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfp_0556-7807_1997_num_118_1_3001_t1_0174_0000_3 2)http://www.belgique-francaise.fr/1-1-la-question-belge-flamands-wallons-et-bruxellois/1-1-la-question-belge-flamands-wallons-et-bruxellois 1.1 La question belge. Flamands, Wallons et Bruxellois. De par la langue, il y a deux Belgique(s) depuis quinze siècles. Une Belgique germanique, depuis longtemps de langue néerlandaise, et une Belgique latine, depuis longtemps

Atlantide. Excité par son patriotisme, frappé de la tradition de l’île Hyperborée qui, suivant lui, ne pouvait être placée que bien reculée vers le nord, il s’est cru autorisé à placer dans sa patrie et l’Atlantide des anciens et l’habitation du peuple primitif qui, se trouvant renfermé dans des limites trop étroites, s’est répandu à grands flots dès les siècles les plus reculés, dans le midi de l’Europe et même dans le nord de l’Afrique, et y a porté ses lois, ses coutumes et ses dieux. Que serait-ce,

l’art considère généralement que la perspective fut inventée par la Renaissance italienne même si, chez Vitruve, il est explicitement fait mention d’une méthode de représentation perspective associée cependant à la scène de théâtre. Or, les primitifs flamands, comme Van Eyck (environ 1387-1441) avec l’Agneau mystique (1432) ou Campin (1378-1444) avec le Retable de Mérode (peint entre 1425 et 1428), utilisent les lois de la perspective, même si celle-ci paraît exagérée. En tant que photographe

et la pose du modèle. Autrui était alors uniquement connu à travers le portrait. L’art du portrait remonte à l’Antiquité, s’est développé durant la Renaissance artistique pour connaître une large expansion avec les courants de la peinture flamande et des primitifs italiens. Il consiste en la représentation d’un modèle humain généralement seul et au niveau du buste. Les supports pour figurer un portrait sont nombreux (la peinture, le dessin, la gravure, la sculpture…) tout comme les techniques qui permettent

est accentuée. Les formes géométriques, quant à elles, rappellent l’art primitif africain. La toile est découpée en plans triangulaires et se présente comme un montage de l’actualité de l’époque en noir et blanc. Ce découpage du tableau intensifie toute l’horreur de la guerre Composition Il est possible de diviser la composition du tableau en trois. On peut voir là une analogie avec la tradition du triptyque flamand au 15ème siècle. La composition forme un grand triangle qu’on appelle composition

ainsi que de nombreuses sculptures (environ 700 pièces), plus de 5 000 dessins, quelque 2 000 gravures et autant d’œuvres d’art décoratif. Il fait partie des plus grandes pinacothèques du monde. Il présente principalement des peintures européennes (flamandes, espagnoles, françaises, italiennes et allemandes) du XIVe siècle au début du XIXe. Il présente les œuvres des peintres Diego Vélasquez, Francisco Goya, et Jérôme Bosch mais il y a aussi celles du Greco, de Pierre Paul Rubens, Raphaël, Titien, Tintoretto

]. Les lignes horizontales parallèles à la base du tableau seront entrecoupées par les lignes qui se rejoignent au point de fuite. [ 16 ]. KOERING Jérémie, Léonard de Vinci, (Paris, Hazan, 2003). [ 17 ]. Glacis : technique utilisée par les primitifs flamands. Les couches de peintures étaient, dans le cas présent, de 1 à 2 microns (un micron, noté µm, équivaut à 10-6 m.). ( http://www.ladepeche.fr/article/2008/04/22/450162-le-mystere-du-sfumato-de-la-joconde-eclairci.html et http://www.franceinfo