Primo Levi

Présentation orale : Primo Levi, Si c'est un homme J'ai choisi de vous présenter le livre de Primo Levi Si c'est un homme parce que c'est un récit autobiographique où tout ce qui est relaté est véridique sans artifices. Ce qui m'a impressionné, c'est la dignité qui en ressort, aucune haine, aucun excès, aucune exploitation des souffrances personnelles ne sont mis en valeur. Mais au contraire se dégage une vision morale sur la douleur sublimée (orientée) en une vision de la vie. Biographie

Questions : ------------------------------------------------- 1- Présenter l'auteur, Primo Levi. 2- Quand a été écrit « Si c'est un homme » ? 3- Par qui a-t-il été arrêté ? Pour quelles raisons ? Où est-il déporté ? 4- A son arrivée au camp, pourquoi n'a-t-il pas été assassiné ? 5- Quel est son métier ? En quoi l'a-t-il sauvé ? 6- Quelles sont

qu'on leur reconnait c'est leur capacité à travailler. L'homme est présenté comme souffrant, Levi évoque la dureté des conditions de vie v6 "que celui qui peine dans la boue" v7 "qui ne connait pas le repos" il évoque de manière graduée la souffrance que sont la faim et la mort. Il est important d'ajouter la présence du froid qui est encore synonyme de mort pour le déporté. Pour symboliser cette idée Levi utilise un parallélisme où il met en relation deux oxymores "les yeux vides et le sein froid"

Si c’est un homme raconte l’histoire de Primo Levi, chimiste, lorsqu’il est déporté, à 25ans, dans le camp de travail à Auschwitz-Birkenau, créé le 26mai 1940 situé au sud-ouest de Cracovie en Pologne, où plus de 1,3 millions de déportés sont morts. Primo Levi y est déporté en 1944 après avoir était au camp de Fossoli, au nord de l’Italie. Primo Levi nous raconte son histoire et l’histoire de plusieurs milliers de juifs déportés et qui sont obligés de travailler. Dans son livre, qu’il commence à

L’œuvre de Primo Levi, nommait « si c’est un homme » est un roman autobiographique mais il est aussi considéré comme témoignage sur l’extermination des juifs d’Europe et l’univers concentrationnaire. Ce roman est un journal de la déportation de Primo Levi qu’il écrivit de février 1944 jusqu’en janvier 1945 et il fut publié en 1947 comme son premier livre. Ce livre fut écrit par Primo Levi comme un besoin de raconter aux autres, de faire participer les autres à ce qu’il a vécu avec tant d’autre,

Nous avons un document qui est en réalité un extrait du texte « si c’est un homme » écrit par Primo Levi. Primo levi est un juif italien déporté à Auschwitz au début de l’année 1944. Dans cet œuvre il a insisté sur un point : Nous montrer l’horreur de la vie dans les camps d’exterminations mais surtout la cruauté qu’ont subis les hommes déportés. Primo levi nous fait part de la répartition des 2 parties du camp d’auschwitz : Une première qui peut contenir 20.000 prisonniers et une seconde pouvant

l Juif italien, Primo Levi fut arrêté à Milan en 1943, à l'âge de 24 ans, alors qu'il était étudiant en chimie. Dans ce récit publié après la guerre, il raconte les conditions de sa déportation au camp d'Auschwitz. L'extrait ci-dessous décrit l'arrivée du train de déportés. Et brusquement ce fut le dénouement. La portière s'ouvrit avec fracas ; l'obscurité 'retentit d'ordres hurlés dans une langue étrangère, et de ces aboiements barbares naturels aux Allemands quand ils commandent,

patrimoine mnésique. Vous apportez un point anti-artistique, moderniste et déshumanisant en soulevant ce sophisme que seule une représentation «sans artifice de l’horreur» serait fidèle à ce qui a été vécu. Ainsi, vous ne croyez pas en l’acuité de Primo Levi parce qu’elle serait, selon vous, altérée par l’exercice de style de l’auteur. Pour des raisons artistiques, philosophiques et humaines, je suis convaincue que vous faites fausse route. Tout d’abord, sachez que même une écriture épurée est en

PRIMO LEVI, Si c'est un homme. 1947 Nuit et brouillard De la lucarne, on voyait défiler des noms connus et inconnus de villes autrichiennes -Salzbourg, Vienne - puis tchèques, et enfin polonaises. Au soir du quatrième jour, le froid se fit intense: le train, qui traversait d'interminables sapinières noires, prenait visiblement de l'altitude. Partout, une épaisse couche de neige. Nous devions être sur une ligne secondaire, car /es gares étaient petites et quasiment désertes. Durant les arrêts

- au nom des victimes (laisser parler les faits et surtout les morts ; survivant dont unique raison de vivre est de témoigner pour tous les morts) Conclusion C'est le souvenir de la première sélection qui est relaté dans ce texte. Primo Lévi maîtrise sans cesse l’expression de l’émotion : il laisse la parole aux personnages et se contente de donner les indications nécessaires à la compréhension des événements. Ici l’arrivée au camp est une sorte de pièce ajoutée à un dossier qui se