Primo levi
Plusieurs passages m’ont particulièrement marqué, je vais essayer d’exposer mes avis :
« Quand cette musique éclate, nous savons que nos camarades, dehors dans le brouillard, se mettent en marche comme des automates ; leurs âmes sont mortes et c’est la musique qui les pousse en avant comme le vent les feuilles sèches, et leur tient lieu de volonté. » Dans cet extrait, l’auteur nous raconte le départ au travaille de ces camarades au pas militaire, au son des chants populaire allemande et de la fanfare. Se jours-là Primo Levi est à l’infirmerie car il éteint de scarlatine. En entendent cette musique l’auteur et ses camarades de chambre ressente un profond malaise. Coucher dans leur lit, ils se souviennent de cette marche forcé qui les amène à un pénible travail. Ce qui me choque dans cet extrait, c’est la manière dont les soldats allemands ont transformé des hommes en automates. Et d’obliger les prisonniers à chanter en allemand alors qu’ils sont d’origine étrangère et que la plupart ne connaisse pas la langue. Je ressens une certaine pitié pour ces gens qui font face à l’humiliation infliger par leur bourreau.
« Nous savons d’où nous venons : les souvenirs du monde extérieur peuplent notre sommeil et notre veille, nous nous apercevons avec stupeur que nous n’avons rien oublié, que chaque souvenir évoqué surgit devant nous avec une douloureuse netteté. ». Dans cet extrait l’auteur, nous fais pars de