Princesse Mononoké

La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l'indique le narrateur dans les premières lignes. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s'il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d'analyse dont se réclamera une partie de

Eléments pour la lecture analytique de l’extrait 2 de La Princesse de Clèves, le mari jaloux Introduction : Ce passage est extrait du célèbre roman de Mme de Lafayette, écrivaine du XVII° siècle intitulé La Princesse de Clèves. Elle y relate la vie d’une femme Melle de Chartres à la cour d’Henri II. Celle-ci épouse le Prince de Clèves pour qui elle éprouve du respect mais aucune passion. Elle rencontre lors d’un bal, le duc de Nemours et ce sera le coup de foudre. Son mari le Prince constate un

La Princesse de Clèves, Madame DE LA FAYETTE Portrait de l’héroïne, éponyme (texte qui a pour titre le nom du personnage principal) I. Un portrait esquissé a) Le locuteur relie la caractéristique fondamentale de mademoiselle de Chartres à son nom * Portrait de mademoiselle de Chartres, fille d’une grande famille d’aristocrates. * Il y a beaucoup d’hyperbole, de la part de madame de Chartres, pour modéliser la beauté de sa fille. Mais ces conseils ne permettront pas le bonheur

DU PERSONNAGE ROMANESQUE DU XVIIeme au XXeme siècle ------------------------------------------------- SUPPORTS : Madame De Lafayette , La princesse de Clèves (1678) Stendhal , Le Rouge et le Noir (1830) Flaubert , Madame Bovary (1857) Camus , L’Etranger (1942) Boris Vian , l’Ecume des Jours (1947) Alain Robbe-Grillet , la Jalousie (1957) Un personnage de roman a un nom , une

La princesse de Clèves, incipit Au XVIIe siècle, Mme de Lafayette écrit avec la Princesse de Clèves le premier roman psychologique français. Au siècle classique, elle analyse avec pertinence les sentiments humains. L’auteur prend bien le soin de nous présenter les personnages dès l’incipit. I. Un incipit traditionnel, situation du roman * Cadre temporel historique : « Les dernières années du règne de Henri second » : fin XVIe * Lieu : « France », à la cour (l.2) * Personnages : « ce

Lys dans la vallée et ne reparaît dans aucun autre ouvrage. Mais elle est considérée comme une icône balzacienne de la pureté et du dévouement. Elle est souvent citée en exemple dans d'autres ouvrages par Félix de Vandenesse. On l'a comparée à La Princesse de Clèves ou à La Nouvelle Héloïse. Son confesseur est l'abbé François Birotteau qui est aussi le vicaire de la cathédrale Saint Gatien de Tours dans Le Curé de Tours. Héroïne tragique à la vie brève ( 1785-1820) et émouvante, elle cumule les qualités

au XVIIème siècle sous le mouvement culturel du Classicisme, revendiquant une inspiration antique et prônant un idéal humain de l’honnête homme : cultivé, charmant, courtois, de bonne compagnie. On retrouvera notamment cet honnête homme dans La princesse de Clèves, de Madame de la Fayette. L’auteur nous conte l’histoire d’un amour impossible entre deux nobles à la cour du roi Henri II. Au XIXème siècle, deux genres romanesques font leur apparition : Le premier est issu du mouvement culturel réaliste

Tome 1, le portrait de Mlle de Chartres. Introduction : Le XVIIe siècle, bien que n’ayant pas connu un essor du roman, a vu naître un nouveau sous-genre de ce dernier. Il s’agit du roman d’analyse : La princesse de Clèves, écrit par Madame de La Fayette en 1678. Née dans une famille de petite noblesse, Madame de La Fayette eut droit à une éducation particulière. Ses romans ont permis également l’affirmation de la place des femmes dans la vie culturelle. Le portrait de Mlle de Chartres, qui marque

tous, un jour, confrontés au choix de notre orientation. L’identification au personnage permet également de se trouver un idéal. En effet, selon le tempérament du lecteur, tel ou tel héros peut constituer un modèle. Ce pourrait être le cas de la princesse de Clèves, créée par Madame de Lafayette, femme « parfaite », fidèle, belle, pleine de grâce….De plus, cela peut conduire le lecteur à réfléchir sur ses propres certitudes, sur ses défauts. En trouvant les travers, les vices du personnage, l’individu

parce que, par curiosité naturelle, une fois qu’on a lu le début, on a envie de connaître la suite et surtout la fin. La littérature en général et le roman en particulier fonctionnent depuis l’ori- gine sur cet intérêt dit « dramatique Depuis La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, considéré comme le premier roman d’analyse (l’héroïne va-t-elle céder aux avances du Prince de Nemours ou rester fidèle à son mari ?), en passant par les Misérables de V. Hugo (Jean Valjean parviendra-t-il à échapper