Princesse Zelda

Mme de La Fayette est une femme de lettre française du 17ème siècle. Ses œuvres appartiennent au mouvement classique. En 1678 parait son roman le plus célèbre 'La Princesse de Clèves' qui connaît un succès exceptionnel mais est également très controversé pour la place qu'il accorde à la femme notamment dans la scène de l'aveu. Le passage que nous allons étudier met en scène l’héroïne et son mari a qui elle avoue l'amour qu'elle porte a un autre homme. Nous verrons en quoi on peut parler d'une scène

Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678) Introduction : C'est un roman publié en 1678. La princesse de Clèves est caractérisé par l'importance accordé au cadre historique et sa tonalité héroïque. Nous sommes dans les dernières années du règne d'Henri II au XVI° siècle. Le thème essentiel est le conflit entre la passion et la raison, ce qui donne au roman son originalité. Notre extrait se situe au début du roman dans la première partie, l'extrait présente l'arrivé à la cour de l’héroïne

La Princesse de Clèves Introduction : Y a-t-il des ressemblances entre le personnage de la Princesse de Clèves et son auteur Madame de Lafayette ? On pourrait le penser ! Toutes deux ont perdu leur père à quinze ans, ont épousé, par mariage arrangé, un homme estimable. Elles furent toutes deux éprises, hors mariage, d’un duc : le duc de Nemours pour la princesse et le duc de La Rochefoucauld pour Madame de Lafayette. Elles furent aussi femmes de Cour : l’héroïne de papier, sous le règne d’Henri

L’établissement du personnage : Le romancier donne a ses personnages des caractéristiques d’une personne réelle : origine, âge, situations de famille, nom, métier. Ces données confirme l’univers du roman et conditionner ses enjeux. Exemple : Princesse de Clèves, on décrit les mœurs de la cours par le biais d’une jeune bien née, riche … Les traits physiques et psychologiques du personnage soit sois présentés directement par le biais du portrait soit de manière indirecte à travers le récit

vécurent heureux, et eurent beaucoup d'enfants», car dans tous les contes de fées, l'histoire commence mal, mais à l'arriver du prince charmant tout devient gaie et joyeux. Mais l'amour peut aussi faire naître des sentiments négatifs, comme dans La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, car marié à un homme, elle tombe amoureuse de M.de Nemours, ce qui cause la mort de son mari. Madame de Clèves étant certaine d'être responsable de cette mort, s'éxile dans les Pyrénées, où elle vivra une vie triste

faire réagir le lecteur. Il faut néanmoins garder à l’esprit que la dernière page d’un roman n’est rien toute seule, elle prend son sens dans l’intégralité du roman et celui-ci doit donc la préparer, que signifierait la mort de Mme de Clèves dans la Princesse de Clèves écrite par Mme de la Fayette sans les autres éléments, son acte héroïque n’aurait eu aucun sens.

enfin de rapporter les joyaux à la reine.
 XVII EME SIECLE L'Astrée de Honoré d'Urfé  Princesse de Clèves (1678), Madame de Lafayette : princesse de Clèves est un roman de Mme de La fayette du XVIIème siècle qui se passe au XVIème siècle à la cour d'Henri II (fils de François 1er). On est en pleine Renaissance. Le duc de Nemours, un éblouissant gentilhomme ( = un noble ), rencontre à un bal la princesse de Clèves, une très belle jeune fille récemment mariée. « Jacques n’a pas l’étoffe d’un

Resumer de la princesse de cleve Alors déjà, comme on l'a vu en cours, ça se passe a la cour du Roi Henri II, donc Mme de Lafayette écrit un livre a propos du passé vu qu'elle-meme vit a la cour du Roi-Soleil: Alors d'abord il y a la description de beaucoup de personnes de la cour pour créer le contexte et pour que les gens lisant ce livre a l'époque arrive a bien s'imaginer les personnages de la cour de Henri II, mais pour des lecteurs modernes, bah on s'en fout un peu, et la prof a dit que

La Princesse de est le roman de tous les amours. Amour conjugal, amour galant, amour de la gloire, amour du pouvoir, amour de la liberté, amour du secret, amour de la vertu, d'autres encore. Amours vécus chaque fois sur un mode intense. Quel amour, dans ce roman, se vit en douceur ? Tous s'exaltent, aucun n'est sage. Toujours il leur faut la gravité du risque et l'ivresse de l'urgence, si âpres sont les rivalités, si orgueilleux les cœurs, si implacables les échecs, et si brève la vie. Jean-Michel

évidence dans les œuvres de Madame de la Fayette, La princesse de Clèves publié en 1678, puis de Stendhal dans Le rouge et le noir publié en 1832 ensuite de Flaubert dans l’éducation sentimentale édité en 1869 et enfin de Aragon dans Aurélien publié en 1945. Les auteurs abordent la rencontre de manière spécifique. Le jeu de regard et les premières impressions des personnages l’un envers l’autre sont d’abord mis en évidence dans les textes « la princesse de Clèves » de Mme de la Fayette puis « Le rouge