Princesse Zelda

: Rabelais avec « Garguenta et Pantagruel ». Le siècle classique : 16ème et 17ème : On s’éloigne du roman = méfiance. Surtout destiné aux femmes et pas très encouragé pas l’Eglise de peu de pervertir l’intelligence de l’homme. Mais avec « La princesse de Clèves » de Mme de Lafayette qui ne signe pas son œuvre mais a beaucoup de succès au 17ème et 18ème. Au 17ème on se dit : « Peut-on atteindre le vrai par le mensonge ? » Illusion du roman ? Honoré d’Urfé, « L’Astrée » : 5000 pages Romand

Littérature Classique : Les personnages sont des marionnettes. Chez voltaire une totale indifférence à la vraisemblance. Idem dans "La princesse de Babylone". Dans l'ingénu plus proche de la tradition de la nouvelle historique. Constance d'une forme d'humour au 2e ou 3e degrés, avec le goût du pastiche à la nouvelle Eloise, pastiche biblique, il s'exprime sur un ton prophétique à prendre au 3e degrés. La présence d'une sensibilité, propre à voltaire qui y appartient. L'être

roman baroque (ex : Honoré d’Urfé, L’Astrée)), et d’un style classique. L’héroïne, placée devant l’occasion d’un amour illicite, résiste non seulement à la tentation, mais se rend plus malheureuse en admettant ses sentiments à son mari. (ex : La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette). • Le roman psychologique est né. • Le roman épistolaire: Le roman par lettres ou roman épistolaire connaît une grande vogue à la fin du XVIII° siècle. Ce style de roman bénéficie de la mode pour la lecture de

séduisante, si attachante, si émouvante. Nous découvrons donc en Phèdre une femme émouvante, qui attire la sympathie : accablée par une passion foudroyante, elle n'accepte pas les petits compromis que Madame de La Fayette prête à son héroïne dans La Princesse de Clèves (marquée par Phèdre ; 1678 ) ; mais elle prie la divinité et trouve enfin le courage de faire bannir celui qu'elle aime, en simulant pour lui la haine (v. 291 – 296). Elle a depuis lors tenté de dissiper ses tourments ( ses «ennuis»). Loin

l’idéologie : une proportion inverse Il paraît difficile d’évaluer la vertu émancipatrice d’une œuvre, en usant du critère du contenu doctrinal. Cela implique un jugement extralittéraire, c’est difficile de faire une césure. On pourrait penser que la Princesse de Clèves, dans la mesure où le roman met en évidence l’imperfection des sociétés humaines en rapport avec une anthropologie pessimiste, décourage toute critique autre que morale. Ce serait donc un roman qui asservit l’homme. Outre qu’il s’agit d’un

Fiche de lecture la prince"ssed de clèves La Princesse de clèves est un roman publié anonymement par Marie- madeleine La Fayette ( 1634; 1693). Madame La fayEtte est une femme de lettres françaises, elle écrira également "La princesse de Montpensier" et " La comtesse de tendu". On peut considérer cette oeuvre littéraire comme collective.En effet, Il est probable qu'elle se soit fait conseiller par l'un ou plusieurs des auteurs suivants : son ami La Rochefoucauld ; Huet, Mme de Sevigné. S'il est

toujours … ou presque ! Les premiers vrais romans datent du Moyen Age. - XVIIe : les romans étudient la psychologie des personnages (leur manière de penser, d’éprouver la passion, …). * D’où : de nombreux récits d’histoires d’amour tels que La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette qui relate la naissance d’une passion amoureuse adultère dans le cœur de la très vertueuse Mme de Clèves. Elle s’en amourache secrètement du Duc de Nemours mais renonce au nom de la morale. - XVIIIe : la production

aussi dans le présent du narrateur qui le fait naître. Dans le roman du XVIIème siècle, les personnages, bergers ou nobles sont fortement idéalisés et sont engagés dans un long parcours d’épreuves sentimentales. Madame de Lafayette dans son œuvre La princesse de Clèves reproduit le stéréotype du roman de son siècle. Ainsi elle rend l’héroïne inséparable de la cour d’Henri II qui l’environne. Mais aussi de l’esthétique classique du XVIIème siècle qui inspire l’écrivaine. De plus, de nos jours, les héros

Chartres est trouvé par terre. Nemours assume la propriété de cette lettre pour aider le vidame. La lettre sera réécrite par Nemours et Mme de Clèves pour être redonnée à la reine pour cacher la tromperie du vidame. C’est la première fois que la princesse de Clèves et Mr de Nemours passe du temps tout les deux. Moment d’analyse du roman : point de vue interne de Mme de Clèves. La narratrice se projette dans le personnage pour retranscrire ses sentiments, et ses paroles vis-à-vis de ce qui vient

classiques (Molière, Les Femmes savantes et l'ensemble de son théâtre - La Fontaine et ses Fables - Racine, Phèdre, entre autres tragédies - Bossuet, ses Oraisons funèbres et autres Sermons - Boileau et son Art poétique - Mme de la Fayette avec La Princesse de Clèves) allient la rigueur de la composition, la précision et la clarté du style à la recherche du naturel, du vraisemblable et à la finesse de l’analyse morale et psychologique. - Simplicité et naturel dans le style. Le plus grand peut-être