Principe de Copernic

affirmations émises par Copernic étaient possibles. Puisque l’Église ne permettait pas, à cette époque, de faire une démonstration scientifique sur le mouvement de la terre, Galilée fut dans l’obligation d’abdiquer ou la mort l’attendait. En effet, foi et la raison sont deux modes de connaissances qui ne pouvaient être conciliés. Le rationaliste est également adopté par des philosophes comme Descartes s’opposant à l’empirisme, un autre courant de pensée qui lui s’oppose sur le principe que toute connaissance

la raison, c’est une raison. Il ne doit pas exister une différence entre les groupes forts et faibles. Ceux qui disent la vérité sont plus raisonnables. Dans un tribunal, les principes du juge ne sont plus la force, mais les lois solennels. De plus, dans certains cas, la vérité dépasse la raison. Quand Copernic a annoncé que la Terre tournait autour du Soleil, personne n’a voulu le croire. Les autorités religieuses ont voulu le condamner en raison de son opposition à la pensée générale

cosmogonie vise à établir une théorie de la création de l'Univers sur des bases philosophiques ou religieuses. La différence entre ces deux définitions n'empêche pas nombre de physiciens d'avoir une conception finaliste de l'univers : voir à ce sujet le Principe anthropique. Selon le modèle standard, on ne connaît au plus que 5 % de la matière de l'Univers1 ; le reste se composerait de 25 % de matière noire et de 70 % d'énergie sombre. Selon le modèle alternatif avec antimatière soutenu notamment par

l'imprimerie par Gutenberg qui permet de répandre le savoir plus facilement. La découverte du nouveau monde en 1492 libère l’imagination et suscite de nouvelles réflexions. Par ailleurs, avec le développement des sciences, de nouvelles théories émergent : Copernic suggère que la terre tourne autour du soleil ce qui remet en question la place de l’homme dans l’univers. Parmi les principaux auteurs humanistes on retrouve Rabelais, Montaigne, Erasme et Thomas More. L'humaniste considère que l’homme est «au

secrètes, et par un manège singulier, l’extrait baptistaire de Christophe. Ceux à qui j’avais parlé n’en savent encore rien; cependant ils ont toujours la certitude de ce qui n’est pas. Si vous aviez demandé à la terre entière avant le temps de Copernic: « Le soleil est-il levé? s’est-il couché aujourd’hui? » tous les hommes vous auraient répondu: « Nous en avons une certitude entière. » Ils étaient certains, et ils étaient dans l’erreur. Les sortilèges, les divinations, les obsessions, ont été

étaient uniquement abordés pour y retrouver les principes chrétiens et leurs ouvrages étaient donc adaptés et commentés par les clercs de l’Église. Au moment de la Renaissance, on « nettoie » donc ces livres de tous ces commentaires pour revenir au texte originel et les découvrir pour leur beauté, leur pensée, pour simplement ce qu’ils sont. La découverte du Nouveau Monde en 1492, et donc d’autres cultures. Avec la découverte de l’héliocentrisme, Copernic met fin à la représentation géocentrique traditionnelle

physique de l'école ionienne. Ils s'interrogent sur la structure de la matière, en ce demandant à quoi sont dus les changements observés dans la nature. Pour l'école ionienne, il s'agit de variations de l'élément qui fait changer la matière, selon un principe de dynamique naturelle. Pour les pythagoriciens, il s'agit de changements de nombres, et voient donc une dynamique dans les séries de nombres (nombres premiers, carrés, nombre d'or...), ce qui permet une quantification des phénomènes observés (par

Érasme est considéré comme le prince de l’Humanisme. Comme autre humaniste, il y eu Rabelais, Montaigne, De Vinci… c) Leurs principes Il y a la mise en valeur de l’individu, la vision optimiste. Ils s’intéressent aux sciences. Ils remettent en cause des savoirs et «l’éveil de l’esprit scientifique» : ils veulent comprendre l’univers et l’homme : - en astronomie: 1543, Copernic découvre l’héliocentrisme et le géocentrisme -en géographie : 1538, création

revient donc à respecter les droits fondamentaux de l'être humain. Pour un humaniste, il existe des principes moraux qui aident l’humanité à survivre et à prospérer et qui font avancer la civilisation. Certains principes moraux humanistes remontent aux philosophes des Lumières.  Les humanistes recherchaient l’esprit de l’Antiquité à travers plusieurs connaissances basées sur différents principes, notamment : la pédagogie et les sciences : • la diffusion des savoirs → l’imprimerie inventé

de la science moderne – Partie 1 – a – Principes et perspectives 1 B- La représentation de la science moderne : un miroir objectif du monde Avec la découverte du Nouveau Monde, l’homme de la renaissance a dû changer ses représentations : • De la nature • Des autres cultures • De la place qu’il occupe dans le monde A partir de la Renaissance s’effectue une transition entre la vision du théocentrisme (Dieu est le centre de tout) à une