Prison Goffman

psychiatrique B - Sortir de prison 6 - Conclusion 7 – Bibliographie 8 - Annexes 1 - Introduction Afin de présenter un exposé sur « pourquoi enferme-t-on les fous » dans le cadre de notre cours, j’ai lu principalement les livres que sont « l’Histoire de la folie à l’âge classique » de Michel Foucault, certains chapitres du livre « L’éloge de l’insensé » de Gladys Swain. Afin de compléter mes connaissances et d’approfondir mon raisonnement, j’ai lu le livre d’Erving Goffman « Stigmate » entre autres

Le contrôle social Définition Des sarcasmes aux peines de prison, en passant par les remises de peine et les félicitations, le contrôle social désigne l'ensemble des pratiques sociales, formelles ou informelles, qui tendent à produire et à maintenir la conformité des individus aux normes de leur groupe social. Ses modalités varient d'un type de société à l'autre. Ses effets sont discutés : ciment de la cohésion sociale pour les uns, il est un instrument de domination pour les autres. I

Asiles Etudes sur la condition sociale des malades mentaux de Erving Goffman (1968) annabelle.dady@hotmail.fr annabelle.dady@hotmail.fr I. Biographie de l’auteur ; problématique et résumé de l’ouvrage annabelle.dady@hotmail.fr annabelle.dady@hotmail.fr L’ouvrage Asiles d’Erving Goffman a été écrit en 1968. Il traite du comportement et des rapports sociaux qu’entretient le malade mental dans les hôpitaux psychiatriques avec l’environnement hospitalier. Il étudie donc tout le long de

des attitudes négatives envers un groupe de personnes, basées sur des attributs particuliers tels que, le genre, la sexualité ou le comportement, sont créées et entretenues afin de légitimer des groupes dominants dans la société. Ainsi, selon E. Goffman, dans un groupe d’individus partageant des valeurs sociales normatives communes, toute personne se révélant visiblement différente est porteuse d’un stigmate qui la discrédite aux yeux des normaux et aux sens, en fait un individu « déviant », et a pour

reclus et personnel * annihilation des frontières entre les différents champs de la vie quotidienne (dormir, travail, loisirs). S’agissant d’un idéal-type, ces traits peuvent se présenter à différents degrés selon les institutions totales. Goffman en dégage cinq sous-catégories : * les organismes qui prennent en charge « les personnes jugées incapables de subvenir à leurs besoins et inoffensives » (foyers pour aveugles, orphelinats …) * les organismes qui prennent en charge « les

diversification des flux migratoires, du coup ca devenait ghetto. Il a fallu s’organiser pour le transport pour que chacun puisse s’intégrer dans les autres quartiers. (Désorganisation sociale) E.GOFFMAN : S’intéresse à la communication dans les prisons, etc. Mise ne valeur d’une image de l’individu contemporain, l’homme marginal. Etude de la mosaïque urbaine et du processus d’intégration W.THOMAS : écrit un livre  « paysan polonais » il va suivre l’itinéraire d’un immigré, il dit que la délinquance

détenus. C'est aussi un travail de compromis : compromis entre la demande institutionnelle, la coopération avec les collègues et les demandes des détenus qui astreignent à la négociation pour garantir le calme et le maintien de l'ordre au sein de la prison. Le but principal de l'institution pénitentiaire est de contrôler la population pénale en misant sur la sécurité. Malgré un règlement strict, on remarque une relative autonomie dans leur activité, en effet, tous n'adoptent pas les mêmes pratiques

jugements subjectifs) qui s'écarterait de la bipolarisation Bien/Mal habituelle. D'après E. Goffman, une institution totale est un lieu de résidence ou de travail où un grand nombre d'individus, placés dans une même situation, coupés du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont les modalités sont explicitement et rigoureusement réglées ». Dès lors, les prisons, , asiles et camps de concentration, mais aussi les internats, orphelinats, etc., peuvent

Université Lumière Lyon 2 Institut d’Etudes Politiques Culture en prison Un vecteur d’unification sociale et de reconstruction de l’identité impulsé par une politique culturelle et des pratiques individuelles Sous la direction de M. Bernard LAMIZET Soutenu le 2 septembre 2008 Séminaire : Politique, culture, espace public Sophie SALAÜN Jury : Mme Isabelle HARE et M. Bernard LAMIZET Table des matières Remerciements . . Introduction . . Chapitre premier : La culture en milieu carcéral dans le

les structures institutionnelles[réf. nécessaire]. Erving Goffman (1922-1982) définit la notion d'institution totale comme un lieu de résidence et de travail où un grand nombre d'individus, placés dans la même situation, coupés du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont les modalités sont explicitement et minutieusement réglées6. Exemples d'institutions totales[ Prison, institut psychiatrique, équipage, monastère ou internat sont