Prisonnier d'opinion

moyen de pression envers les détenus, les personnes clames et qui ne font aucune difficultés en prison peuvent accéder à l’enseignement, les autres restent en cellule. Même quand le détenu accède à ce droit, cela est vécu comme un chantage, si le prisonnier dérape, le cours où il devait se rendre lui est refusé. La prison est un endroit où la loi est censée être respecter, il en est tout autre lorsqu’on apprend ces choses. La chose la plus étonnante n’est pas seulement que l’enseignement soit un mérite

c'est dans la nature de l'homme que se trouve ce besoin de liberté, l'homme serait par nature libre d'où l'origine de ce si grand besoin de liberté. L'horizon innélucatble de la mort est également ce qui donne l'envi à l'homme d'être libre et non prisonniers d'un instints tel les animaux, condammnés à vivre pour surivre. Mais cette liberté illimitée de l'homme, cet état de nature où tout homme disposait d'une liberté absolue, où tout homme faisait tout ce qu'il voulait y compris volé la femme et les

échos. Un des prisonniers est libéré et ramené à la surface, à la lumière du jour. Il est ébloui par celle-ci car il n’est pas habitué à elle. Lorsqu’il revient sous terre et fait partager son expérience aux autres prisonniers, il se heurte à leur incompréhension. Cette allégorie nous fait comprendre que les hommes vivent dans un monde dans lequel ils pensent accéder à la vérité. Seulement quand le prisonnier revient du monde des idées et qu’il explique cette réalité aux autres prisonniers, il est face

La prison représente l’élément central de notre processus pénal. C’est la peine la plus grave depuis l’abolition de la peine de mort en 1981 et elle touche à la liberté des individus. L’emprisonnement ne signifie pas seulement la privation de liberté, il implique la séparation d’avec les proches. Etre incarcéré, c’est se voir rejeté et mis à l’écart par la société. Mon intérêt pour ce sujet part des différentes émissions télévisées traitant d’affaires de crimes qui ont été médiatisées exposant le

puits), appelée comme cela car elle était non plus sous les toits, mais au rez-de-chaussée et en sous-sol. Les conditions de détention n’y étaient pas meilleures car, si les prisonniers ne souffraient plus de la chaleur intense, ils étaient constamment dans l’humidité et le froid. Une fois jugé et condamné au palais, le prisonnier gagnait sa cellule en traversant un pont couvert d’où il apercevait la lumière pour la dernière fois. Le pont fut donc appelé pont des Soupirs (Ponte dei Sospiri).

tertre aride, fortifié. Vie dans l’ombre, ombre qui est à la fois repos, secret, échange et faute ; le soleil est un fait extérieur, net et pur, dépeuplé. L’habitat racinien ne connaît qu’un seul rêve de fuite (voir Iphigénie, tout un peuple reste prisonnier de la tragédie parce que le vent ne se lève pas). ------------------------------------------------- La Chambre Rapport particulier de la maison et de son extérieur ; conformément à la règle, la scène est unique, mais il y a 3 lieux tragiques

bon vieillard’’ -lecture- parfaire ses connaissance’’ consolation’’ des livres (l.39) - sérénité négation + exagération. ‘’ je n’ai pas eu aucun moment. (l.39) Les points de divergence entre Gordon et Ingénu sont nombreux : Gordon est un prisonnier depuis une longue période, alors que l’ingénu vient juste d’arriver. Ce qui les oppose est l’âge et la connaissance. L’ingénu est un jeune homme alors que Gordon est un vieux. L’ingénu est conduit par l’amour, par ses sentiments sexuels. Gordon

voulu ») au concept philosophique de liberté définie comme autonomie du choix. Dans une seconde partie, (de la ligne 7 à 17), il précise que la notion de choix suppose toujours « un commencement de réalisation ». Ainsi le sens commun dira que le prisonnier n’est pas libre, mais le sens philosophique de la liberté dira qu’il l’est puisqu’il peut toujours choisir d’agir en ce sens.   | | | | |  | | 

cabane en pierres. Il y passe 1517 jours du 13 avril 1895 au 9 juin 1899. Son seul contact avec l'extérieur sont les nombreuses lettres, qui arrivent avec énormément de retard, qu'il échange avec sa femme qui ne doute jamais de son innocence. Le prisonnier est au courant d'aucun des événements qui se déroulent à des milliers de kilomètres de lui. Ni des complots, ni de l'engagement d'innombrables honnêtes hommes et femmes à sa cause. L'administration pénitentiaire filtre les informations qu'elle jugeait

dialogisme perpétuel. Dans un texte romanesque, il y a dialogisme entre les divers personnages, entre les personnages et l’auteur, et entre les implications intertextuelles diverses du texte ; aussi bien qu’entre le lecteur et le texte. « L’auteur est prisonnier de son époque, de son présent, » dit Bakhtine dans le texte déjà cité, en soulignant la nécessité de distance dans le temps et l’espace par rapport à la position de l’auteur, du lecteur susceptible de « libérer l’auteur » de sa « captivité ». Ces