Problématique Sur Le Génocide Du Rwanda

besoin de réglementation et de régulation. Le DIP est un droit concerté. Ce droit est différent du droit interne car son contenu est imprécis. C’est un droit qui est le résultat d’un compromis, et dont les textes n’abordent pas l’ensemble des problématiques possibles. On ne met dedans que le minimum acceptable par tout le monde : faible densité normative et se prêtant à plusieurs interprétations (existence d’ambiguïté). C’est aussi un droit en mutation permanente, qui va vers davantage de juridicité

2004, évitant la tenue d'un procès29,30,31. Voir, infra, la section « La Face cachée du Monde ». En 2004, paraît une enquête sur le génocide du Rwanda – Patrick de Saint-Exupéry, L'Inavouable : La France au Rwanda – qui, selon Éric Fottorino, provoque le malaise des journalistes du Monde, le journal ayant « entériné la vision fausse et facile d'un double génocide qui dédouanait la diplomatie française, gauche et droite confondues »32. Le 29 novembre 2004, Edwy Plenel démissionne de la direction

hiérarchisations selon des critères de valeur initialement liés à l’aptitude des groupes à collaborer. S’il est évident que la colonisation n’a pas inventé le fait ethnique, elle a contribué à rigidifier des identités jusque-là fluides. L’exemple du Rwanda est sans doute le plus révélateur dans la mesure où l’action des autorités civiles et religieuses 8 Chrétien, Prunier (2003), p. VI. © Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) - 2013 8 sous le mandat de la Belgique a eu pour

SEQUENCE 4 : QUAND LE BONHEUR C’EST D’AVOIR Comment les artistes expriment-ils leur mécontentement face à la société de consommation ? Etude de deux œuvres engagées (domaine HDA : arts du son) PROBLEMATIQUE : Nous nous interrogerons sur la façon dont l’artiste exprime son mécontentement face à la société de consommation de la deuxième moitié du XX° siècle. ŒUVRES : Notre objet d'étude portera sur l’étude de deux œuvres engagées : une chanson française et une œuvre de musique concrète. ENGAGEMENT

que les accords politiques transitionnels sont efficaces à enrayer définitivement l’instabilité des pays qui les ont conclus ? Si non, que faire pour rendre effectif l’efficacité de ces accords politiques intérimaires ? L’intérêt d’une telle problématique réside dans le fait qu’elle nous fera analyser la force ou la capacité des accords politiques transitionnels à réguler la stabilité des Etat déstructurés ainsi que leurs potentielles faiblesses et à y donner des solutions Sur ce, il est question

pour des raisons stratégiques et économiques pour mieux protéger leurs côtes mais on finit par se conformer aux 12 milles. Distance maximale fixée par la CMB. L’état fixe sa limite unilatéralement en respectant cette règle, mais il y a la problématique des États limitrophes, qui n’ont pas 24 milles de distance entre eux… Côtes adjacentes, États qui se font face… Article 15 CMB : tracé d’une ligne à équidistance de chacune des lignes de base des 2 États dite règle de la ligne médiane. À ce principe

d’Anthropologie du Droit 2009, Paris, Karthala, 2010, pp. 113-128 Depuis les années 1990, la région africaine dite « des Grands Lacs » est surtout connue pour les guerres et les catastrophes humanitaires qu’en rapportent les médias internationaux. Génocide au Rwanda, massacres et viols massifs dans l’Est du Congo, au Burundi ou en Ouganda : les principales images qui parviennent de la région sont celles de conflits récurrents, suggérant parfois l’idée de dé-régulation sociale voire d’anomie généralisée

partir du XVIIIe siècle. Les Russes commencent à s’installer, à partir de 1828, en Arménie du Nord. Elle est l’objet d’une lutte entre Russes et Turcs. En 1875 et pendant la Première Guerre Mondiale, les Arméniens vont être la victime d’un véritable génocide de la part des Turcs. A partir de 1920, les traités leur promettaient un Etat indépendant et réunifié, mais ces traités n’ont pas été appliqués. L’Arménie est toujours partagée en deux, avec une partie sous influence russe, et une partie sous influence

plus juridique, à l’origine des conventions de Genève ont pour but de distinguer le prisonnier de guerre du belligérant et des militaires. Ces conventions leur donne un statut juridique qui leur confère des droits, ce qui prohibe l’esclavage, le génocide, le crime contre l’humanité, la torture… ces droits ne s’imposent qu’aux états qui ont signés les conventions de Genève. Pratiquement tous les états l’ont signé. L’action des ONG comme médecin du monde et médecin sans frontière réside dans la dénonciation

internationale. Le gouvernement issu d’une insurrection répond du comportement de ces insurgés (art. 10). Les circonstances excluant l’illicéité : Il n’y en a pas concernant la violation du jus cogens (art. 26). Le consentement de l’Etat lésé (art. 20) est problématique, puisqu’un silence, une non réclamation de réparations peut éventuellement être perçue comme un consentement. La légitime défense (art. 21 et art. 51 Charte des nations unies) doit être effectuée en accord avec la charte des NU). Les contres-mesures