Procès De Louis Xvi

Droit Le droit est souvent relayer aux procès pénals qu'on voit souvent les journaux. Il existe également des chroniqueurs juridiques. De plus, au fil de l'Histoire nous avons pu voir de grands procès. -> Le procès Bobigny qui a eu lieu pour un avortement en 1972. Une jeune fille de 16 ans est violée, et sa famille est alors jugée pour complicité ou pratique de l'avortement. Ce procès, dont la défense fut assurée par l'avocate

littéraire et artistique sous Louis XV Recherche avant de lire le roman I/ Contexte historique Le XVIIIe siècle connait une profonde évolution des mentalités qui s’accompagne de grands changements politiques. La monarchie absolue disparait et laisse place à un régime inspiré par les Lumières. Après la mort de Louis XIV en 1715, la régence est assurée par Philippe D’Orléans, neveu du roi défunt. En effet, l’héritier et arrière petit fils de Louis XIV, appelé Louis XV n’a que 5 ans. La France

presque dix ans son aînée (à qui il doit son nom « Beaumarchais »); celle-ci décède un an plus tard. On le soupçonne de l’avoir tuée et c’est l’occasion du premier de la longue suite de procès et de scandales qui devaient marquer son existence. Il devient en 1759 professeur de harpe à Mesdames, filles de Louis XV. Après avoir fait fortune dans les spéculations commerciales, il achète une charge de secrétaire du roi, ce qui lui confère la noblesse et lui permet d’entrer dans le monde des finances

acquiert de plus en plus d'autonomie et iront jusqu'à la revendication d'un droit de contrôle sur la monarchie. De ce fait dans quelles mesures les parlements constituent t-ils des chiens de garde de la monarchie ? S'ils apparaissent tout au long du XV-XVI ème siècle comme des continuateurs ou encore des héritiers de la curia légis (I), dés le XVII ème siècle ils s'imposent comme un contre-pouvoir au roi et donc comme un facteur principal de l'ébranlement de la monarchie (II). I) Les parlements comme

salut n’est pas assuré à tous les hommes de bonne volonté :pour résister à l’attrait du pêché , ils ont besoin de la grâce . or, Dieu la donne à qui il veut: on parle ,donc du principe de la toute puissance de Dieu. Vème siècle XIIIème siècle XVI ème siècle Saint-Augustin(mettre l’accent sur la souveraineté de Dieu.) Saint-Thomas(chaque individu peut l’ accepter ou la refuser ) Pélage (L’homme forge son Propre salut.) Calvin(l’homme est prédestiné) XVII ème siècle Jansénius (Il revient

pouvoir directement de Dieu, selon la doctrine politique théorisée par Bossuet : « Tout pouvoir vient de Dieu » (Saint Paul). Cette théorie politique reste la doctrine officielle du régime jusqu'à la révolution. En 1787, Lamoignon (chancellier de Louis XVI) : « Au roi seul appartient la puissance souveraine parce qu'il est seul souverain », le roi est détenteur d'un pouvoir absolu. C'est un pouvoir libre de toute contrainte, un pouvoir qui ne connaît aucune puissance supérieure et concurrente.

s'instaure alors entre l'Espagne et les Provinces-Unies. 1609: La mort du duc de Clèves fait entrer la France dans une grave crise de succession. Les catholiques et les protestants se disputent le trône. 1610: La succession est confiée au futur Louis XIII qui n'a que neuf ans alors que son père s'enfuit à carrosse mais est assassiné par un catholique nommé François Ravaillac le 14 mai. {text:soft-page-break} Les Croquants: Ce nom fut donné aux paysans révoltés à la fin du XVIe siècle et au début

d’une brève période de total chamboulement au tout début du règne de Louis XV, la polysynodie. - un cours qui propose de rendre compte de cette évolution, d’appréhender la pyramide du Conseil dans son entier, de donner des précisions indispensables sur son fonctionnement. I – L’éclipse des conseils de gouvernement au temps de la Régence 1) L’héritage de Louis XIV face aux critiques - le sommet du Conseil au temps de Louis XIV : les conseils de gouvernement, i.e. les sessions du Conseil

d'expression est un droit compris dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789.) 1852, Le président de la République Louis-Napoléon Bonaparte établit un ensemble de mesures préventives et de sanctions visant à museler la presse. Par décret, il est interdit aux journaux de rendre compte des débats parlementaires et des procès autrement qu'en reproduisant les procès-verbaux officiels. La censure des images est rétablie. Les journaux ne respectant pas ce décret pourront être suspendus après

Marie Gouze que nous connaissons davantage sous le nom d'Olympe de gouges, née le 7 mai 1748 à Montauban et qui meurt la 3 novembre 1793 à Paris guillotinée. Femme de lettre et penseur politique, elle est décrite dans le rapport du déroulement de son procès le 2 novembre 1793 comme « une femme de beaucoup d'imagination et de peu de conduite ». Dans les années 1770, après un mariage court et peu heureux, elle monte à paris et prend le nom d'Olympe de Gouges dans sa correspondance. Entretenue par son amant