Production d'eau potable

la photosynthèse sont vitaux ; mais tout en restant de ressource très commune). La biodiversité peut être considérée comme «  ressource des ressources » parce qu’elle est la source première de nombreuses ressources vitales telles que l’air, l’eau potable et tout ce que l’on mange, et une grande partie des ressources d’énergie (fossiles et biomasse)…. Par contre les exigences du développement durable ont conduit à classer les ressources naturelles selon leur caractère renouvelable ou non. On s’attache

produit. Une solution consiste à explorer des options plus sophistiquées pour les bâtiments, en installant des systèmes de chauffage et de climatisation performants, en améliorant l’isolation et en privilégiant l’énergie solaire active et passive. La production combinée de chaleur et d’électricité ainsi que l’énergie décentralisée offrent aussi des possibilités. De plus, Veolia devrait se positionner pour passer à la deuxième et à la troisième génération de biocarburants, favoriser le transfert des technologies

printemps arabes, les faits ont été plus graves qu’ailleurs. En Libye la concentration de facteurs tels que le pétrole, la gestion/contrôle des flux migratoires, un Etat fondé sur 3 tributs différentes, le nucléaire pour créer la plus grande production d’eau douce, des nomades qui s’agitent dans le Sud du pays… allaient faire exploser ce pays. De plus, le renversement du dictateur Kadhafi est arrivé au moment où il allait se calmer en raison de sa vieillesse. En agissant ainsi, la France a alimenté

À quoi sert un barrage ? De l’irrigation à la navigation, la production d’énergie ou à l’alimentation en eau potable, les barrages remplissent un rôle essentiel promis à un bel avenir. L’eau est une ressource cruciale, au centre de nos activités.... L’irrigation est une des applications les plus anciennes et les plus courantes des barrages. Aujourd’hui encore, près de la moitié des ouvrages dans le monde sont construits dans ce but. Historiquement, la première technique à se développer fut celle

CHAPITRE 3 : L’EAU, ENTRE ABONDANCE ET RARETE Introduction : La consommation d’eau dans le monde a été multipliée par 5 en 50 ansen raison de la croissance démographique et des nouveaux besoins des populations. Or l’eau douce est une ressource très inégalement partagée sur terre. Plus d’un milliard d’êtres humains n’a pas accès à l’eau potable et l’approvisionnement ainsi que le traitement des eaux usées ne sont assurés de manière satisfaisante que dans les pays riches Quels sont les enjeux

l’eau potable se raréfie rapidement, avec les conséquences que l’on peut imaginer pour tous les êtres vivants. Les raisons de cette catastrophe? Ruisseaux et fleuves canalisés, zones humides «assainies», rives des lacs bétonnées; déversements d’engrais, de pesticides et d’eaux usées, accidents industriels; prélèvements d’eau pour la production d’électricité, l’approvisionnement en eau et l’irrigation des cultures. Plus de la moitié des cours d’eau, des zones humides et des plans d’eau naturels

besoins de la ville en période normale. Conséquence : ces eaux sont devenues impropres à la consommation. la ville est actuellement approvisionnée grâce aux eaux fournies par l’ONEP qui sont insuffisantes. Pour satisfaire 20 à 21 heures de consommation d’eau par jour, il faut un stock de 90.000 m3. En raison d’un déficit à l’entrée de 50%, le stock se trouve divisé par deux et par conséquent l’approvisionnement est insuffisant. L’absence d’une station des traitements des eaux continue à susciter

publique), promotion immobilière, industries des matériaux, de construction, tourisme et distribution moderne. Le groupe YNNA investit également dans la construction de grands ouvrages d’arts, de logement sociaux, des réseaux d’adduction d’eau et d’assainissement. Après avoir été qu’une entreprise familiale, le groupe YNNA est devenu aujourd’hui une firme multinationale dont l’effectif est de 18000 collaborateurs environ. Qui bénéficie d’une grande notoriété tant au Maroc que

donc que 2,5% propre à la consommation humaine, mais de ce pourcentage d'eau douce, une infime partie, soit 0,6%, est présentement disponible. Si bien qu’aujourd’hui 1/3 de l'humanité se voit privé d'eau potable. Le 99,4% restant est prisonnier des calottes polaires, des glaciers, ou bien présent dans des aquifères ou nappes phréatiques inaccessibles. De plus, l’eau fait partie de la sphère économique, L’allocation d’un stock d’eau douce limité face à une demande croissante pose de plus en plus problème

| Erik Orsenna, L’Avenir de l’eau, petit précis de mondialisation II. [pic][pic][pic] « Water, water everywhere and not a drop to drink » (p255) Pour vivre, un individu a besoin de cinquante litres d’eau par jour (p459). Ne pas lui garantir cet accès c’est donc lui refuser les moyens de sa survie. Ainsi, on considère l’eau comme un « bien commun », dont la jouissance par tous doit être assurée et protégée. L’accès à l’eau est un « droit humain fondamental »