Production Ecrité Pour Solitude

(Christian Payeur; Gatineau, version de mars 2001) Avant-propos À la base ce texte n’avait pas été écrit pour être partagé ou publié ou être utilisé autrement, mais beaucoup l’ont lu et il a fait l’objet d’une étude à l’Université d’Ottawa avec des étudiants de 3ième année en criminologie à l’occasion d’un cours sur l’abolitionnisme. En fait, il avait été écrit plutôt pour me donner la satisfaction de rendre sur papier ma pensée, mes observations et mes sentiments. Je les écris

parnassienne, à sa manière, est aussi enfant du positivisme et résulte de l’importance nouvelle accordée aux sciences dans la société. A une époque où l’industrie est en marche, où l’on ne voit que par le progrès, où apparaissent les notions de production, en réaction on considère aussi que le plus important dans l’histoire des peuples est la religion. Que le salut ne se retrouve que dans le passé. D’où le culte des parnassiens pour l’antique. Cf. Pour les Parnassiens, seul l’archaïque est poétique

déterminant du sentiment de solitude. Un changement d’école ainsi qu’un déménagement sont des transitions importantes qu’a vécues Marjorie lorsqu’elle était adolescente. Ces changements peuvent être associés en partie à son suicide, puisque ceux-ci sont des causes d’un sentiment profond de solitude qui peuvent mener à commettre un tel acte . Selon le TVA Nouvelles, Marjorie aurait vécu une situation semblable à celle mentionnée précédemment pour expliquer la solitude chez les adolescents. Ses parents

constamment dominés ; il emploie à plusieurs reprises l’adverbe « sous » : « sous des meules », « sous les dents ». Il met en parallélisme le vers 4 et le vers 7, ce qui donne un effet d’emprisonnement des enfants. Les enfants sont de véritables outils à production, ils sont employés par des adultes pour le profit « travailler quinze heures sous les meules, de l’aube au soir ». Les enfants sont donc des machines « qui produit la richesse en créant la misère ». Leurs conditions de travail sont totalement «

compte pleinement car « le survivant retourne au monde des vivants, ce qui l’empêche de croire pleinement à ses expériences passées » . Puis elle insiste sur l’inutilité des camps de concentration. En effet, ils n’ont pas été établis en vue d’une production possible. Leur unique fonction économique consiste à financer leur propre appareil de surveillance, donc du point de vue économique, ils existent surtout pour eux-mêmes. C’est cette apparente absence de but qui dissimule aux yeux du monde les horreurs

PHILO Chap 2. 2.1 atelier -consigne 2.2 production 2.3 premier déchiffrage 1) la mort est présentée avec une vue humoristique 2) le film nous interroge sur ce qu’est la mort (la mort c’est une solitude, personne ne nous accompagne, on la vit seul) 3)la mort rappel aux vivants les sujets importants de la vie 4) on echape pas a la mort, elle nous rattrape 5) pour ceux qui reste se posent la question de continuer à vivre 6) la mort fait regarder la vie autrement : Question de l’identité

personnages qui semblent perdus dans leurs pensées dans un diner à une heure tardive. La prédominance de la couleur froide verte, l’absence de sortie, rendant les personnages comme enfermés dans cet espace et l’absence de communication manifestent la solitude et l’isolement de ces derniers, et témoignent alors d’un lourd silence. Le silence, du latin silentium se définit au sens le plus large comme absence de bruit, bruit qui peut être une nuisance. Ce silence, qui peut aussi bien être extérieur qu’intérieur

Repérage Leçon Exercices Exercices d’application et productions personnelles 3 Travaux d’écriture sur les paroles rapportées et mini-rédaction Réinvestir les connaissances sur les paroles rapportées à travers deux sujets de rédaction au choix Ecriture fictionnelle Travail commencé en classe et complété à la maison 4 Lecture/ compréhension Le Reflet de D Daeninckx Productions de phrases personnelles, dans une situation donnée Lecture analytique

Hygiène de l'assassin de Amélie Nothomb Thèmes Cinéma, littérature, musique, théâtre D’après le roman de : Amélie Nothomb (Éditions Albin Michel) Adaptation : Philippe Jeusette et Alexandre Trocki Mise en scène : Pierre Santini Production : Théâtre Le Public à Bruxelles et le Théâtre de Namur Créé au Théâtre Le Public en septembre 2008 et filmé en octobre 2008 Avec : Daniel Hanssens, Vincent Lecuyer, Valérie Marchant Scénographie et Costumes : Elisabeth Schnell Lumière : Laurent Kaye Réalisation

 Nuremberg (chimie), puis rentre à Leipzig étudier le droit. - 1665 : la faculté de droit lui refuse le grade de docteur en raison de son jeune âge. - 1667 : il rencontre le baron von Boyneburg qui le fait entrer dans la pratique politique. - 1670 : il écrit un texte sur la sécurité de l’Allemagne et devient conseiller à la cour suprême de l’électorat de Mayence. - 1672 : envoyé en mission diplomatique auprès de Louis XIV (il est chargé de le convaincre de conquérir l’Égypte), il séjournera quatre ans