Productivisme

"métro, boulot,dodo" résume cette vive critique. A la suite des etats-unis et du japon, des révoltes étudiantes et ouvrières éclatent au royaume-uni, en france , en allemagne fédérale et en italie. Toutes dénoncent l'aliénation des individus par le productivisme. La contestation de ce modèle se traduit également par une augmentation de l'absentéisme, une exigence du ralentissement des cadences (obtenues après les mouvements de grêves en France et en Italie) et une tendance au turn over. De nomvelles

agriculteurs – vus comme les « productivistes » - et des représentants des organisations écologistes – vus comme les « environnementalistes ». Les chercheurs et enseignants dont le faisais partie arrivaient avec l’idée que l’on pouvait concilier le productivisme et l’environnementalisme. Je me suis retrouvé dans le bureau de Jean-Louis Borloo qui a demandé quel nom l’on pouvait donner à ce nouveau concept. J'ai proposé « l’agriculture à Haute Qualité Environnementale » puis « agriculture écologiquement

et GRH des jeux des acteurs pour trouver Cadres conceptuels des solutions contingentes d’élucidation des contradictions Gestion des Ressources Humaines - sergecasasus@orange.fr 23 Nouveau mode de gestion du travail Trente Glorieuses, productivisme taylorien Personnel = Coûts Depuis la crise, vers le post-industriel… Personnel = Ressources • • • • • • • Exécutant Dépendant Mono-tâche Fixe Constant Sous contrainte Collectif • • • • • • • Concepteur Autonome Polyvalent Mobile En

pratiques culturelles ou éducatives. Des banques coopératives, des mutuelles ou des institutions spécialisées développent des produits d'épargne solidaire. Dans le domaine agricole, des producteurs inventent de nouvelles filières, en rupture avec le productivisme, comme les Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (Amap). Située entre le privé et le public, dans le marché tout en portant des valeurs de coopération et de solidarité, l'ESS contribue ainsi à civiliser l'économie et à la démocratiser

que le somme des bonheurs individuelle arrive à un bonheur total ? 3. La décroissance, une idée qui chemine sous la récession * Avec la crise écologique s’impose peu à peu la nécessité de définir le progrès humain autrement que par le productivisme et la confiance aveugle dans l’avancée des sciences et des techniques. * La diminution de la production dans une société aux équilibres inchangés, diminution qui ne pourrait qu’aggraver la pauvreté. * Si la relocalisation des productions

laisse aux avant gardistes une visibilité et une liberté d'expression sans précédent. Ils remplissent les postes clés de la vie artistique du pays et consacrent l'avant garde culture révolutionnaire. La plupart des artistes s'orientent vers le productivisme qui correspond mieux aux idées marxistes. Effectivement, il débarrasse l'art de son aspect esthétique considéré comme bourgeois et fait de l'œuvre d'art un produit manufacturé où l'artiste est un ouvrier anonyme. Les productivistes opposent "la

rebours de la précarité et du nouveau productivisme des dernières décennies. B. S. : La richesse, c'est la qualité. Il faut requalifier la vie en requalifiant le travail autant que le commerce humain – que le marché consumériste a détruit. C'est possible parce que la technologie industrielle du XXIe siècle sera de plus en plus relationnelle, cognitive et culturelle. Le consumérisme détruit les savoir-vivre des consommateurs, après que le productivisme a imposé la perte des savoir-faire des

phénomène et nous diviserons sa pensée en différentes sous-sections. Ces parties seront la pression du toujours plus et la menace de perdre sa place, les nouvelles pathologies du travail, la quête éperdue de reconnaissance ainsi que la halte au productivisme et à l’activisme forcé. 1.1. La pression du toujours plus et la menace de perdre sa place L’auteur résume cette idée en disant ceci « ce n’est pas l’organisation qui est en définitive responsable de la place attribuée à chacun mais le mérite

Marx disait que l’enfer de Dante n’était rien face au système capitaliste ; il voyait le passage d’un monde productif à l’autre comme une même pauvreté qui change de classe et qu’a terme le capitalisme s’effondrerait sous le poids de son propre productivisme. La pensée de Marx rejoint celle de nombreux auteurs, notamment celle de Rifkin théoricien de la fin du travail qui lui aussi reprend la sempiternelle peur primitive, « d’une société de travailleurs sans travail » comme le dit si bien Hannah Arendt

agriculture utilisant engrais, pesticides ainsi que l’essor des nouvelles technologies. En 1950, certaines personnes commencent à s’interroger sur les effets néfastes de tous ces produits sur le corps humain. Ces consommateurs se sont donc opposés à ce productivisme agricole pour revenir à une agriculture plus saine que nos grands parents utilisaient déjà à l'époque : l’agriculture biologique. Celle-ci naît donc dans les années 50, mais ce n’est qu’une quarantaine d’années après que le bio décolle avec l'apparition