Profit économique

A. Les apports de Marx Le 19 ème siècle voit le capitalisme industriel se développait rapidement et dominait peu à peu toutes les structures économiques et sociales. Toutefois, dans le même temps, la condition ouvrière se détériore, les salaires sont très bas, les conditions de travail précaires et la dépendance économique accrue. Les excès de ce capitalisme font naître à la fois un mouvement de contestation syndical (le socialisme) et une réflexion d’ensemble sur les rouages

classique socialiste et marxiste néoclassique économique de Keynes Numérisation & Conception Mr Amine ALAMI Le Portail des Etudiant d’Economie www.e-tahero.net contact@e-tahero.net CHAPITRE I LA PENSEE CLASSIQUE La pensée classique à considérablement contribuer au développement de la science économique cette contribution se situe au niveau de la théorie de la valeur au niveau de la répartition des revenus, la croissance économique le commerce extérieur La théorie de la valeur

demande nationale va profiter aux produits étrangers. 3) Le schéma keynésien B. La profitabilité ou rentabilité 1) Le profit, moteur et carburant de l’investissement Une entreprise investie pour faire des profits. Les entreprises prennent le risque d’investir pour réaliser un profit suffisant sur le capital investi. Sinon il est plus facile et moins risqué de placer son argent sur le marché des capitaux. En terme économique, on dit que le rendement économique (EBE (marge brute)

révolution industrielle « la grande Bretagne » Entreprise industrielle L’entreprise étais dominé par la théorie néoclassique (18-19 éme siècle) Jusqu’au (1930-1940) L’entreprise néoclassique constitue le socle des théories de l’équilibre économique global, et l’analyse de la firme dans cette théorie n’est d’abord qu’une composante de la théorie des prix et de l’allocation des ressources .cette théorie fait une analyse microéconomique. 1/ L’axiomatique de la théorie néoclassique Cette axiomatique

d'un financement externe indirect, implique un taux d'intérêt dans son remboursement. Le taux d'intérêt est en quelque sorte le « coût » de l'investissement. On peut alors se demander en quel rôle joue le taux d’intérêt dans la décision des agents économiques à investir, et s’il n’existe pas d’autres déterminants de l’investissement. Ainsi le taux d’intérêt qui constitue un des déterminants principaux de l’action d’investir ne suffit pas à lui tout seul, il existe d’autres facteurs à prendre en compte

cette époque en Europe occidentale sont-ils justes ? Société de l’époque est catholique. - Théorie du juste prix : le vendeur ne fait presque pas de profit sur la vente, il vends au prix de la valeur du bien. Le vendeur fait un profit modéré et l’acheteur règle la marchandise à un prix voisin de sa valeur. - Le commerce, le commerce (donc profit) est licite lorsque la fin est légitime on récompense le travail qui a été effectuée pour produire le bien - Le prêt à intérêt indemnité que verse

une nouvelle organisation du travail, un nouveau produit… L’innovation est un processus d’introduction du progrès technique dans la production : c’est donc une application industrielle ou commerciale d’une invention. L’innovation qui est d’ordre économique s’oppose donc à l’invention qui est d’ordre purement technique. La découverte technique ou l’invention n’intéresse l’économie que dans la mesure où elle se traduit par la mise en place de technologies ou de produits nouveaux. 4- Qu’est-ce

plusieurs fois. → Investissement productif = ne concerne que les entreprises, pas les ménages et les administrations → pour mesurer l'I on utilise la FBCF (voir déf°) les objectifs de l'I → l'usure du capital peut-être physique ou économique : on parle alors obsolescence. Investissement net = I brut – amortissement ex. I de capacité = machines, locaux.. I de productivité = machines autonomes → pour faire croitre l'emploi il faut augmenter la VA a productivité constante ou ralentir

La place de la rationalité dans les comportements économiques     Le recours au thème de la rationalité est constant dans tous les registres de discours économiques. Dans le registre scientifique, on soulignera que l’attribution du Prix Nobel de Sciencer que : " L’agir humain est nécessairement toujours rationnel ". Dans cette même veine, la définition de la science économique par Lionel Robbins (" l’économie est la science qui étudie le comportement humain en tant que relation entre des fins

HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE SECTION 1- LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE. Trois grands courants existent. Il y a d’abord le courant fondateur des classiques, Smith bien sûr, mais aussi Ricardo Marc tus, Jean Batiste C et Marx. * Les classiques : Ricardo, Smith. Pour eux la croissance économique à long terme va être très compliquée à obtenir : la croissance nationale. * Les néoclassiques : personnes reprenant les fondamentaux des classiques un siècle après. Modèle