Programme nucléaire de l'Iran

avec des coûts de production toujours plus important. En parallèle, l’inflation augmente (13.7%en 1974). Nous entrons dans une période de stagflation. La France essaie alors de réduire sa dépendance en pétrole en lançant un programme de construction de centrales nucléaires.    Le 1er choc pétrolier qui s’étale de 1973-1978 est provoqué par la guerre du kippour (octobre 73) ou les troupes égyptiennes et syriennes lancent une offensive pour reconquérir les territoires occupés par Israël depuis

irakiens au prétexte de leurs origines iraniennes. Il s’est agi des élites religieuses et économiques citadines chiites que le régime voyait comme une menace pour la consolidation de son pouvoir, et qui n’avaient bien souvent aucun lien familial en Iran. L’Iran d’avant et d’après la révolution islamique a reçu ces migrants forcés, octroyant la nationalité à une centaine de milliers d’individus qui ont pu prouver des origines iraniennes. Quant aux autres, un statut de réfugiés très généreux leur a été octroyé

économiques dans lesquelles se débat l’Irak sont la cause immédiate du conflit. Le pays s’est lancé au sortir de la guerre dans un gigantesque programme de reconstruction. C’est ainsi, que la ville de Bassorah, sévèrement détruite durant la guerre, a été reconstruite en quelques mois. Mais la chute des cours du pétrole est venue remettre en question ce programme. Or, ce sont les plus riches, à savoir le Koweït et les émirats arabes unis, qui dépassent leur quota. Il y a là, pour l’Irak, une double provocation

Durant les années 70, la course aux armes a augmenté malgré la politique de désarmement officielle. Les deux SP ont obtenu des armes stratégiques (bombardiers géants, missiles à longue portée de ICBM des fois avec des têtes de guerre nucléaires et sous-marins nucléaire), mais aussi des armes conventionelles. L’arsenal pouvait détruire plusieurs fois la vie sur Terre. Les accords SALT étaient seulement bilatéraux, accords Américano-soviétique de limitation : Les accords SALT II furent signés en 1979

cessez-le-feu en Corée, lance la course| |[pic] |à l'espace, crée la NASA, développe le système des autoroutes inter États, étend l'assurance-maladie et fait du développement de | |1953-1961 |l'armement nucléaire une priorité dans le cadre de la guerre froide. Son mandat est marqué notamment par l'arrêt de la Cour | | |Suprême déclarant la ségrégation scolaire illégale dans le sud des États-Unis (arrêt Brown v. Board of

l’effet de la déstalinisation fut donc l’énonciation de la doctrine de la coexistence pacifique. Cette doctrine signifiait 2 choses, négativement et positivement : - Négativement : cette doctrine signifiait l’exclusion compte tenu du risque nucléaire du recours en premier à la force armée contre les Etats capitalistes sans que cesse la compétition avec ces derniers. - Positivement : cette doctrine signifiait la participation du camp socialiste au droit international général commun à tous

Conflit Iran Israël : bombardements des centrales nucléaires iraniennes par les israéliens. Golf persique, point géostratégique (pétrole). Pétrole + charbon : 80% de l’approvisionnement énergétique de la planète. Pétrole de la mer de Norvège : épuisé. Approvisionnement en mer (Alaska, Sibérie, est de extrêmement compliqué). Producteurs : Iran, Koweït. Baril : 100$ aujourd’hui. Si conflits continuent à persister : Flambée des prix du pétrole prévisible à 150$ le baril. La

volonté de détente suite à la très grave crise de Cuba de 1962) : Chronologie Manifestations de cette Détente : . Une volonté de limiter la course aux armements : - 1963 : traité de Moscou interdisant les essais nucléaires dans l’atmosphère, - 1968 : traité de non-prolifération nucléaire. (Ces deux traités n’ont été signés ni par la Chine ni par la France). - 1972 et 1979 : accords SALT sur la limitation des armes stratégiques. . En Europe : ”Ostpolitik” du chancelier de la RFA, Willy Brandt (1969-1973)

les activités qui soutenait son programme nucléaire liées à l’enrichissement et au retraitement ainsi que les travaux sur tous projets liés à l’eau lourde.Afin de persuader l’Iran de se conformer à cette décision contraignante, le conseil de sécurité des nation unies et le Conseil des Gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique ont pris certaines mesures jugé essentielles pour instaurer un lien de confiance à l’effet d’empêcher que ce programme ne poursuive qu’une finalité exclusivement

de l’Europe. En 2003, les dirigeants turcs refusent aux États-Unis le passage sur leur sol des troupes en route vers l’Irak. Entre 2004 et 2007, la Turquie renoue avec la Syrie se rapprochant du monde oriental. En 2010, elle soutient l’Iran sur son dossier nucléaire et protège le dictateur soudanais Omar El Béchir, poursuivi par la cour pénal internationale. Au regard de l’évolution de la politique turque vers une politique islamiste, la promesse de l’intégration de la Turquie en UE est fortement