Prologue De Pantagruel

« comédie mêlée de musique et de danse » (sous-titre de la pièce), les parties chantées sont difficilement exploitables en classe en raison de la difficulté du texte. Conformément à la tradition scolaire, nous avons donc choisi de donner les Prologues et les Intermèdes accompagnés de notes explicatives de bas de page, mais non de questionnaires. Toutefois, avant d’engager l’étude de la pièce, le professeur pourra expliquer l’intérêt d’un genre qui se veut un spectacle complet, où l’intelligence

 : « amitié » estime » : prouve que la passion est  incompatible avec le mariage.  prologue  (l’episode du  chien de  gargantua)  luc (j’ai combiné les analyses de Sarah et du prof)     Le Prologue     Il est à l’origine la partie d’une pièce de théâtre qui sert à initier les spectateurs à la marche du drame.  C’est un discours préliminaire d'un ouvrage où l'on expose le sujet.  En  l’occurrence,  le  prologue  est  «  métatextuel  »  :  il  porte  sur  l’écriture  et  la  lecture  du  livre 

images retenues constituent aussi un itinéraire qui mène le personnage éponyme de l’ancien au « nouveau monde ». Texte 1– Prologue p. 420 (L/ES/S) OBJECTIFS ET ENJEUX – Montrer les intentions de Rabelais dans un prologue placé sous le signe du double. – Réfléchir sur le statut et le rôle du lecteur. – Étudier un réseau d’images à visée argumentative. LECTURE ANALYTIQUE Le prologue d’une œuvre humaniste Du grec pro- et logos, le terme signifie « ce qui précède le discours ». Dans l’Antiquité, le mot

lumière qui s'oppose à l'obscurité médiévale. On retrouve des préjugés du Moyen-âge, Dubellay déclare même 'Ce sont des épices qui corrompent le gout de notre langue' Il y a donc un manque de goût, de finesse, et même de goût gustatif. Rabelais dans Pantagruel 'Maintenant toutes les disciplines sont restituées, les langues instaurées (..) tous le monde est pleins de gens savants'. On a donc la sensation aussi de vivre dans une aire nouvelle. 1. La mutation des cadres de pensées. On passe d'un monde

était fier de sa condition d'intellectuel, qu'il célèbre dans les premiers vers de Cligès. Il y exprime, en effet, sa dignité de clerc s'estimant au moins l'égal des chevaliers, et la fierté du moderne héritier d'un passé fort prestigieux. Dans les prologues de ses romans, Chrétien expose de façon claire les grands principes de son art d'écrire, qui sont aussi ceux de son époque. Sa poétique s'articule autour de trois notions : la matière (le sujet), fournie par des sources orales ou écrites, le sens

tentée de se délivrer, par la mort, de l'horreur de laisser dans une captivité affreuse l'amant qu'elle adorait, et de la honte de le délivrer au prix de ce qu'elle avait de plus cher, et qui ne devait appartenir qu'à cet amant infortuné. Prologue de gargantua Rabelais Buveurs très illustres, et vous vérolés très précieux, car c’est à vous, non aux autres, que je dédie mes écrits, Alcibiade, dans un dialogue de intitulé le Banquet, faisant l’éloge de son précepteur Socrate, sans conteste

l’homme. » François Rabelais, Gargantua, « Au lecteur », 1534 En 1532, Rabelais publie Pantagruel. Il y met en scène un géant qui lui permet de figurer les potentialités de « l’homme nouveau » que le XVIe siècle humaniste souhaite voir émerger. En 1534, Gargantua évoque le père de Pantagruel. Avant le prologue, Rabelais présente son ouvrage dans un dizain en décasyllabes. Condamné par la Sorbonne pour Pantagruel, il défend la valeur morale de Gargantua. Mais il soutient surtout l’emploi de la veine

:1) Le Prologue « Buveurs très illustres… ».2) Frère Jean des Entommeures : “ce disant, mit bas son grand habit” chapitre 27.3) L’abbaye de Thélème : “Toute leur vie était organisée...” chapitre 57Parcours associé : rire et savoir 1) “Un pays étrange”, La Bruyère Caractères , VIII, 74 (1688) 2) “Les caprices de la mode”, Montesquieu, Lettres Persanes (1721) Lectures cursives (au choix) : Pantagruel, le Tiers

C’était également un humaniste (il connaît le latin et le grec), même s’il n’a pas appliqué tout ce qu’ont dit les Anciens. Il va faire des éditions de traités de médecine en se basant sur deux médecins, Hippocrate et Galien. Rabelais a fait « pantagruel » en 1532. Il est publié à Lyon. A la fin, on trouve la signature de Rabelais sous le nom de « Alcofribas Nasier » qui est en fait un anagramme de Rabelais. Il va inventer un personnage connu. Il raconte l’histoire du fils, du père puis il revient

reconnaît que le terme est de lui et que Jacques a utilisé « ventriloque » comme l’atteste « le texte original »(p. 307 a) (voir de même « hydrophobe » p. 366 même jeu )  ! et surtout reconnaît qu’il y a un « texte original » écrit ( relire les prologues des romans de chevaleries qui se réfèrent toujours « au livre » dont s’inspire l’auteur pour « mettre en roman » l’histoire qu’on lui a confiée.) Il affirme que Jacques en bon Bacbucien aurait pu employer ce terme. Les amours de Jacques fausse