Prologue Gargantua

soumise à de nombreuses réécritures aussi bien littéraires que cinématographiques ou encore musicales. Comme la reprise théâtrale cosmopolite de Bobee avec un décor cuivré et de jeux d’ombres. Ou encore le film de Luhrmann qui reprend a la lettre le prologue de Shakespeare ou presque car dans l’original les deux amants ne peuvent pas se toucher, et dans ce film ils finissent leur dialogue dans une piscine à se câliner. C’est la première fois depuis leur rencontre que Roméo et Juliette se parlent non

Antigone de Jean Anouilh J'ai vraiment bien aimer se livre. Franchement, l'histoire, les dialogues, les personnages et bien d'autre chose encore. Des le début, on reçoit une claque du prologue. L'histoire ma choquer. Le prologue nous annonce, indirectement, la mort d’Antigone et directement celle d' Hémon. J’apprends aussi que l'histoire et une suite de celle d’œdipe. J'avais des doute au début mais vers la fin Créons raconte l'histoire de son frère, Œdipe. L'histoire d'un

ainsi le considérer comme une commodité permettant de condenser en deux heures une action qui s’étend sur une journée ou parfois plus. 2 – anticiper l’action par le monologue L’action est parfois grâce au monologue suspendu, tel Anouilh dans le prologue d’Antigone, l’action à venir est dérouler immédiatement enlevant de cette manière tout suspense et mettre en avant l’idée de fatalité que l’on retrouve dans un extrait du chœur, « c’est reposant la tragédie… il n’y a plus d’espoir ». B)Le monologue

Molière, Jean-Baptiste Poquelin de son vrai nom, est un acteur et un auteur remarquable qui a écrit plusieurs pièces et des comédies-ballets inventées dans le but de «délasser le roi de ses nobles travaux», comme il le précise lui-même dans le prologue du Malade imaginaire. La comédie-ballet allie le comique farcesque au chant et à la danse. Dans l’extrait tiré du Malade imaginaire acte III scène 10 écrit par Molière au XVII siècles, nous voyons plusieurs caractéristiques qui démontrent que c’est

6B Madame GINEVRO Ophélie 2010-2011 Français Antigone : Analyse de l’épilogue Le prologue est comme le "réalisateur" de la pièce. Nous y exposons les personnages principaux de l’intrigue de manière organisée par ordre de proximité avec Antigone et l’un après l’autre. Cette exposition est indispensable pour la compréhension de la pièce

peuvent transmettre leurs sentiments par le biais de leurs traits. Les acteurs de l'Antiquité portaient des tenues colorées permettant au public de distinguer les rôles. Les pièces grecques se composent d'un certain nombre de moments bien définis: le prologue - l'entrée du chœur (parodes) - les épisodes coupés par les chants du chœur - la sortie du chœur (exode). Nous trouvons trois grands auteurs tragiques grecques: Eshyde - Sophocle - Euripide. Leurs œuvres ont donc traversée les siècles comme "Antigone"

très ambiguë. La parole active. u Intervention du prieur • Frère Jean : un héros épique -> Seul contre tous : exclusion par le démonstratif ‘cet’ -> Frère Jean est peut-être le porte parole de l’auteur : cf. buveurs = analogie avec le prologue ? (bon sens dans ses paroles burlesques). • Satire de la parole inefficace. -> Seul ordre du prieure = enfermer le seul moine qui défend l’abbaye -> Souci spirituel décalé. u Défense du moine • Personnelle -> Chiasme et jeu de mots mettent

deux auteurs différents ! L'histoire reste la même, une fille doit mourir à cause d'une loi prononcée dont elle ne tiendra pas compte. La tragédie se passe toujours à Thèbes, les personnages restent les mêmes à part que dans la pièce d'Anouilh, le prologue est une nouveauté qui insiste à propos de la fatalité que tout le monde connaît déjà ce qui permet au public de prendre de la distance par rapport à la pièce et à son dénouement. Il existe cependant de nombreuses différences au niveau de ces deux

Gargantua de Rabelais Introduction Gargantua est publié vers 1535 : c’est le second livre de l’écrivain et médecin Rabelais. L’ouvrage raconte les aventures du bon géant Gargantua, fils de Grandgousier, depuis son enfance jusqu’à la fondation de l’abbaye de Thélème, qui termine les guerres picrocholines. Les vers qui ouvrent le livre nous invitent à rire. Mais le prologue nous avertit, en se servant de la métaphore de l’os à moelle, que l’ouvrage contient un sens caché, qu’il nous appartiendra

des larmes parce que le rire est le propre de l'homme ». François Rabelais arrive à mêler le comique avec la philosophie. Nous étudieront les différents moyens qu’utilise le narrateur pour nous faire rire ou sourire. Dans Gargantua le gigantisme devient grotesque. Gargantua en tant que géant a besoins d’énormément de nourriture et de tissues pour s’habiller et en effet ce gigantisme va lui permettre de « pisser » tellement abondement qu’il noie ses ennemies. Le narrateur utilise des énumérations