Promenade des Anglais

Monument du Centenaire * La baie des anges et la promenade des anglais Baie des Anges et Promenade des Anglais Immense baie aux eaux turquoises, la baie des anges longe Nice (entre autres) et sa fameuse promenade des anglais. C’est un requin qui lui a donné son nom. Autrefois, les pécheurs ramenaient régulièrement ce squale inoffensif aux ailes perpendiculaires. Il était appelé l’ange de mer oscellé. Quant à la promenade des anglais, elle longe cette baie sur plus de six kilomètre depuis

déshumanisée et des traditions serviles. Se sentant condamnés à vivre mal dans un présent insupportable, les romantiques anglais inventent dans la littérature un ailleurs temporel ou spatial susceptible d'assouvir leurs désirs et de leur donner une consistance. a) La poésie romantique en Angleterre Nés pour vivre libres, Les poètes romantiques anglais partent en quête, dans d'autres époques et d'autres décors, du lieu idéal où prendraient fin leur humiliation et leur aliénation

la menace des anglais est toujours présente et l'entretien de troupes coûte cher à la compagnie des Indes qui décide de rappeler Dupleix en métropole, celui-ci n'aura pas réaliser son rêve de voir une Inde entièrement française. Son remplaçant signe un traité avec les anglais et renonce aux avancés de Dupleix, laissant ainsi le champ libre aux anglais pour étendre leur domination sur l'Inde. Pondicherry connaît alors une brève période paix, avant que la guerre reprenne avec les anglais, qui vont ravager

dans ce faubourg séparé de la cité par une bâtisse nommée le Château-Trompette (aujourd'hui esplanade des Quinconces). Ils s’installèrent sur ces terres inondables proches de la Garonne et entreprirent de les assécher. Au XVIe siècle, des marchands Anglais, Irlandais, Hollandais mais aussi Auvergnats, Limousins et Languedociens venus chercher fortune y établirent des hangars, chais et maisons. Au XVIIIe, Jacques Gabriel, architecte de Louis XV, décide de créer en bord de fleuve «le plus bel ensemble

Indien, Océan Atlantique.Superficie : + d’1 millions km2 (2x la France).Capitale : Pretoria (administrative, assemblé résidence président) et Cap Town (économique et législative).Langue : Afrikaans (dérivé du Hollandais) parlé par les blcs uniquement, anglais et 9 autres langues comme Xhosa et le Zoulou.Population : 49 109 000 hab. (70% st des noirs africains divisé en ethnies : Zoulou, Ndebele …), 15% de blcs, 3% de métisses, 3% indiens. | Religion : Chrétien catholique (noir), protestant (pop blche)

séparatisme québécois bien que les habitants aient enterré la hache de guerre depuis longtemps. Lutte pour le contrôle du commerce de la fourrure ou guerres religieuses, Montréal a eu sa part de bains de sang, mais, désormais, les batailles entre Anglais et Français ont lieu dans les urnes, lors des référendums. Le mont Royal, qui a plus ou moins donné son nom à la ville, domine l'île. Dans le vieux Montréal, on découvre de véritables petits joyaux du XVIIIe siècle, comme le musée d'archéologie et

Séquence n° 1 : L'argumentation Texte n° 3 La question de l'homme dans l'argumentation du XVIIème siècle au XXème siècle. Auteur : Flora Tristan Extrait : Promenades dans Londres Date : 1840 PLAN DETAILLE I – Une classe ouvrière misérable a- conditions de vie misérables - Accumulation de noms communs désignant les éléments essentiels a la vie l. 1-2 : (citer) Cette accumulation est précédée du verbe ≪ manquer ≫. → Tout ce qu'il faut pour vivre, les ouvriers

voyageur qui ne parcoure des pays étrangers que par curiosité et désœuvrement, qui font une espèce de tournée dans des pays habituellement visité par leur compatriote. Le Littré (1863/1873) : le tourisme est égal à grand tour. Se dit des voyageurs anglais en France, en Suisse et en Italie. Curiosité et désœuvrement = oisiveté = pratique de l’otium. L’otium renvoi à la notion de villégiature antique. Au 19ème siècle on avait une notion beaucoup plus restreinte qu’aujourd’hui. 1/ Les prémices du

couverture du livre le répète qui nous montre une femme fatiguée, dans la quarantaine avancée, cheveux relevés en chignon, et dont les rondeurs bien accusées par la robe de chambre, qui descend jusqu'à ses pantoufles, sont calées dans un gros fauteuil anglais. Près d'elle, une grande fenêtre au store levé découvre une autre fenêtre, celle d'une maison voisine, bordée d'un balcon et, plus loin, d'autres maisons encore percées de fenêtres. La grosse femme a le regard tourné vers l'intérieur et ne semble

Rousseau ou au début du roman, dans ces premières pages il nous transmette qu’il est la victime, il se sent isolé, il a tout perdue mais par contre il n’est pas vraiment le coupable de sa situation. Et en lisant toute c’est nombreuses réflexions et promenades on arrive par lui ’’comprendre’’ même si on ne connaît pas son passé obscure que ne révèle pas. Dans ce cas-là, la vérité peut être questionnée. Puis on peut trouver une version beaucoup plus proche à la vérité car il a été vécue par un grand