Proposition contraposée

au service de cette description a. Verbes d’état et attributs du sujet Portrait de Vidame : juxtaposition d’adjectifs qualificatifs introduit par un verbe d’état « être » : construction simple verbe d’état plus attribut du sujet, propositions juxtaposées qui donnent un style redondant et pour finir subordonnée hypothétique ou conditionnelle : « Il était beau, de bonne mine, vaillant, hardi, libéral ; toutes ces bonnes qualités étaient vivent et éclatantes ; enfin il était le seul

La formation du gérondif Préposition en + participe présent Formation du participe présent : on ajoute la terminaison –ant au radical de la 1re personne du pluriel du présent. Ex. : nous attendons ( en attendant nous écrivons ( en écrivant nous produisons ( en produisant ! nous sommes ( en étant ! nous avons ( en ayant L’emploi du gérondif ( Le gérondif doit avoir le même sujet que le verbe principal. ( Le gérondif montre une action qui se déroule en même

allons voir qu’il en est bien ainsi dans Le Mal. b) La structure syntaxique Ce sonnet est constitué par une seule phrase : les quatrains sont composés par une proposition circonstancielle de temps (anaphoriquement reprise), puis par une incidente ; les tercets, par la proposition principale (suivie d’une cascade de propositions relatives). Dans les subordonnées (quatrains), l'anaphore de la conjonction de subordination Tandis que (v. 1, 5), la reprise de la conjonction par Que (v. 3), ainsi

Nature grammaticale du c.o.d. Un c.o.d. peut être : un groupe nominal > Le berger affronte le géant. un nom > David affronte Goliath. un pronom > David l'affronte. un verbe à l'infinitif > David veut battre Goliath. une proposition subordonnée > Salomon ordonne qu'on tue l'enfant. Place du c.o.d. *Si le c.o.d. est un nom ou un groupe nominal, il se place généralement après le verbe. >David affronte Goliath.Le berger affronte le géant. *Si le c.o.d. est un pronom

-terrorisée -encore chancelante d’émotion. 5 –Elle rejoignit sa maison .cette phrase signifie : elle se rendait à sa maison . 6- Deux éléments de caractérisation (1er §) : - épaisse/ grondante =Adjs. qualificatifs - où elle habitait = Proposition subordonnée Relative 7- Le champ lexical de « chien » : -une forme noire -la bête fantastique 8- Elles rejoignirent leur maison, à deux cents mètres, avec leur chien qui gambadait autour d’elles. 9- Terrorisée =Encore chancelante d’émotion

le présent. - L’imparfait et le plus que parfait du subjonctif ne s’emploient plus que dans un registre soutenu ou littéraire et essentiellement à la P3 - Le subjonctif apparaît le plus souvent en proposition subordonnée complétive, relative ou circonstancielle, rarement en proposition indépendante ( mode de la dépendance (=/+ IND) - Définition sémantique : Partant de la pauvreté morphologique du subjonctif, G. Guillaume dégage une valeur sémantique de base. Comme le subjonctif est inapte

constituer le centre verbal d’une phrase ou d’une proposition. Quand l’infinitif a un rôle verbal, il est le nœud verbal d’une proposition régissante ou subordonnée, ou d’une phrase indépendante. Trois types de subordonnées peuvent avoir un verbe à l’infinitif : La proposition subordonnée infinitive. L’interrogative indirecte. La subordonnée relative : « il y avait de quoi faire un très bon diner ». Dans le texte, seule la proposition subordonnée relative est présente. Les phrases indépendantes

introduit par une préposition (à, pour, de, par, à cause de, faute de, grâce à,…) Ex. A son teint pâle, je voyais qu'il était malade.           GP/C. de cause       A cause de son teint pâle, je voyais qu'il était malade.         GP/C. de cause 2. Les propositions subordonnées circonstancielles de cause Elles expriment soit une cause réelle soit une cause supposée. a)    Cause réelle:elles sont introduites par: parce que, comme, d'autant plus que,… Ex. il n'a pas réussi parce qu'il s'amusait en classe.                        

l'écoute et de parvenir à l'entente. B. Un monde vide et violent ⇒ (transition) Radio qui donne un monde sans échange qui incite a l’isolement de chacun et ne fait une ouverture que sur du vide (manque de socialisation, communications...) ⇒ La proposition subordonnée cc de temps du 1er paragraphe (« tandis que... » + suite) introduit champ lexical de la violence et de la discorde : « brutales vociférations », « se disputent », « outrage », avec des caractéristiques quasi palpables : « jaillissent

araignée symbolise la prison.Le spleen touche le corps l esprit et l ame du poete. 2ANALYSE DES 2 DERNIERS QUATRAINS: strohe 4:point culminant du texte au niveau de la syntaxe la proposition principale arrive enfin (cf les 3 premieres strohes)."