Protectionnisme 1930

sanglots de l’homme blanc » Pascal Bruckner. - L’ONU est la plateforme de revendication. Les « 77 » et la création de la CNUCED (Commerce et Développement). - 1964, Genève, la CNUCED réclame un SPG : accès plus aisé du TM au marché du Nord + protectionnisme éducateur, il est adopté en 1968 ainsi qu’un mécanisme pour stabiliser les revenus des exportations de PB (CEE : Stabex, Convention de Lomé, puis Cotonou, qui bénéficie aux pays ACP pour un accès plus aisé au marché européen). - 1967, Alger, les

intégration européenne Thèmes et questionnements Notions Indications complémentaires 2.1 Quels sont les fondements du commerce international et de l'internationalisation de la production ? Avantage comparatif, dotation factorielle, libre-échange et protectionnisme, commerce intra-firme, compétitivité prix et hors prix, délocalisation, externalisation, firmes multinationales, spécialisation. En partant d'une présentation stylisée des évolutions du commerce mondial et en faisant référence à la notion d'avantage

investissements dans la recherche et le développement et une modernisation des cartes géographiques des chaines de production mondiale (relocalisation) ce qui entraine une réduction de leurs avantages 2) Pour les pays développés Une hausse du protectionnisme : une augmentation des lois à l’encontre de la mondialisation, des échanges sélectifs, une réduction des revenus des exportations Une montée en gamme des pays développés Le chômage est dû aux avancées technologiques et non pas à cause de la mondialisation

RI, est lancée par les Etats Unis et l’Allemagne (cette dernière se spécialise dans l’acier, l’électricité et la chimie). Les EU et l’Allemagne, qui sont en train de s’industrialiser, concurrencent la GB et contestent sa place de leader. Le protectionnisme progresse alors que la GB reste attachée au libre-échange. C’est la Ière GM qui porte un coup fatal à la domination financière de la GB car elle s’endette beaucoup pendant ce conflit auprès des EU pour financer son effort de guerre. Toutefois

essentiel pour expliquer la mondialisation des échanges, en effet, ils ont diminués sensiblement, grâce à des accords de libres échanges négociés entre les pays, notamment dans le cadre de l’organisation mondiale du commerce. II. LIBRE ECHANGE VS PROTECTIONNISME 1. La théorie économique des gains à l’échange Les différents économistes issus des écoles classiques et néo-classiques ont démontré que les échanges de biens et de services à l’échelle internationale permettent une spécialisation de chaque pays

américains paraissent plus dilués : moins défensifs que l'Europe sur les produits agricoles, mais plus défensifs sur les produits manufacturés, ce qui les rapproche sur ce point des pays émergents. Economie interna,onale 10 III.  LE PROTECTIONNISME : UNE NÉCESSITÉ TEMPORAIRE 1.  PROTECTION DES INDUSTRIES NAISSANTES (THÉORIE DE FRIEDRICH LIST) •  Permet à une industrie nouvelle de s’implanter d’abord sur le territoire na,onal et lui donne le temps de réaliser des économies d’échelle

l’essentiel de la planète dans un espace économique commun et favorise les transferts financiers et humains entre ces pays et l’Europe. D) La mondialisation américaine : Après WW1 et crise 1929, mondialisation chute considérablement → Protectionnisme . Chiffre : Part commerce mondial dans production est même en 1913 et en 1973 !! Rejet mondialisation se ressent aussi niveau politique : Rejet de la culture étrangère → période de xénophobie. Puis WW2. US sortent grands vainqueurs. Mise

Quels sont les éléments théoriques qui justifient le libreéchange? Pourquoi les pays membres de l’OMC croient-ils que la fin du protectionnisme est bénéfique pour les échanges commerciaux? Depuis l’apparition de la théorie des avantages absolus formulée par l’écossais Adam Smith en 1776, les économistes se sont questionnés sur les formes que peut prendre le protectionnisme et comment celui-ci peut être néfaste pour le commerce mondial. Bien que d’autres économistes aient contribué à enrichir la théorie

de l’information : l’information parfaite de tous les agents sur tous les autres et sur le bien échangé suppose une information gratuite et immédiate. • La libre entrée et sortie sur le marché : il ne doit y avoir aucune entrave tarifaire (protectionnisme), administrative (numerus clausus), technique à l’entrée d’un offreur ou d’un demandeur supplémentaire. • La libre circulation des facteurs de production (le capital et le travail) : la main-d’œuvre et les capitaux se dirigent spontanément vers

la production. Certains produits sont fabriqués dans certains pays et échangés pour obtenir ceux que ces pays ne fabriquent pas ou peu. Protectionnisme : Les mesures protectionnistes prises par un pays sont destinées à freiner les importations. La protection peut être tarifaire (droits de douane) ou non tarifaire (normes, contingents...). Le protectionnisme s’oppose au libre échange. Libre-échange : Le libre échange est une doctrine et une situation de fait. retour au moteur Le libre échange