Protectionnisme Et Inflation

àrendement croissant, comme l'avait identifié l'économiste italien Antonio Serra dès 1613. Pour ce faire, l'État se trouve investi de la responsabilité dedévelopper la richesse nationale, en adoptant des politiques pertinentes de nature défensive (protectionnisme) mais aussi offensive (exportation et industrialisation). Pour certains auteurs le mercantilisme n'est pas un courant de pensée en tant que tel . Pour plusieurs historiens de la pensée économiques, comme Joseph Schumpeter et Lars Magnusson

en 1922 met en place le GES (Gold Exchange Standard) introduit des monnaies de référence as good as gold (dollar et livre). xxxvii. Les réparations. j. Difficultés et expansion (1922-1929). xxxviii. L’Allemagne : inflation galopante et réparations. Rentenmark en 1923. Plans Dawes (1923) et Young (1929) réduisent la dette. xxxix. Les problèmes financiers et monétaires de la France. xl. Industrialisation et prospérité. A partir de 1922 : retour

possible et diversifie la production au maximum -) favorise l’exportation (désavantage pour le consommateur) et essaye de garder un maximum d’argent dans ses caisses. Le mercantilisme ne s’occupe pas de la politique agricole mais commerciale et le protectionnisme douanier est très fort. Pas de politique agricole Volume des échanges Au 18e siècle, il y a un formidable accroissement du commerce international qui reste, pour l’essentiel, maritime. A la fin du 18e siècle, l’Europe réalise les ¾ de ce commerce

des concurrents, coût du travail. Relation quantité offerte / prix : établissement barème d’offre. Quantité offerte augmente lorsque prix augmente et inversement. C – l’équilibre offre / demande Lorsque évolution des prix : pénurie de demande. Inflation par la demande est le contraire de l’offre excédentaire (prix à la baisse). Point d’équilibre = couple de donnée prix / quantité. Surplus du consommateur = différence entre ce que consommateur prêt à payer et ce qu’il paye in fine. Surplus du

productions augmentent alors que les produits se vendent moins) – l’arrêt des inventions et innovations – l’action des syndicats qui empêchent les patrons de baisser les salaires.  → Pour résoudre ces difficultés, la plupart des pays recourent au protectionnisme. Ils augmentent les droits de douane et pratiquent le contingentement des importations (fixation d’une quantité maximum de marchandises pouvant être importée afin de protéger le marché national). Finalement, cette Grande dépression trouvera sa

une politique monétaire autonome. De plus fin des années 80: appréciation du Deutsche => les autres pays doivent réévaluer leur monnaie, pour être fixes par rapport a l'écu et au Deutsche. Italie et GB = problèmes car ils avaient déjà une forte inflation > 10% ; un déficit commercial important. Or en Angleterre, dans les années 80 découverte du pétrole => exportations => augmentation des salaires grâce aux exportations (=maladie hollandaise) => délaissement de l'appareil productif, tout le monde

concurrents, coût du travail. Relation quantité offerte / prix : établissement barème d’offre. Quantité offerte augmente lorsque prix augmente et inversement. C – l’équilibre offre / demande Lorsque évolution des prix : pénurie de demande. Inflation par la demande est le contraire de l’offre excédentaire (prix à la baisse). Point d’équilibre = couple de donnée prix / quantité. Surplus du consommateur = différence entre ce que consommateur prêt à payer et ce qu’il paye in fine. Surplus

Sud, de l’Europe centrale et de l’Australie. Echanges Nord/Sud, produits industriels/matières premières liée au progrès technique (transport, électricité, infrastructures) et aux migrations. Nationalisme, empires coloniaux et initiative privée. Protectionnisme (USA, Allemagne) et organisation bilatérale souvent Pays Industriel/colonie; seule la GB est libre échangiste à cette époque (Corn Laws 1846) ; Accord Libre échange RU/France 2° Empire. Barrières douanières. Forte croissance des échanges, mouvements

contribution des capitaux français à l’industrialisation s’améliore, et vers 1862, les investissements étrangers français représentent même plus du tiers des flux mondiaux (proportion jamais retrouvée).Dans la première moitié du XIX siècle le protectionnisme est très utilisé. La France est devancée sur les marchés d’exportations, son coefficient d’ouverture ne retrouve pas sa valeur de 1780 avant 1850. La croissance de ses exportations industrielles est faible jusqu’en 1850, sans commune mesure avec

président de la République de Russie. Notation sur 5 : 2.5 Potentialité : PIB du Pays et PIB/habitants Taux de croissance Taux inflation Dette extérieur Population Commerce extérieur Ressources principales Marché du cosmétique 2,097 billions USD (2013) et 14 611,70 USD /hab.