Protocole Dhygiène

progression structurent la démarche de l'entreprise. Elle s'engage dans la lutte contre le réchauffement climatique et fait de cet objectif la clé de voûte de sa stratégie ; ainsi, pour participer à son échelle aux engagements internationaux du protocole de Kyoto, McDonald's France se fixe pour objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 8 % avant 2010. Parallèlement, elle agit pour maîtriser les nuisances occasionnées par l'activité de ses restaurants (intégration architecturale

conférence se tint sous la direction de l’ONU avec la participation de près de 200 pays participants. Les principaux grands « pollueurs » ( USA – Chine – Inde ..) devaient signer de nombreux accords visant à limiter leur taux de CO2. Rappel : Le protocole de Kyōto est un traité international visant à la réduction des gaz à effet de serre, dans le cadre de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques dont les pays participants se rencontrent annuellement depuis 1995. Signé

particulièrement sur la vie des Chinois, leur santé, leur environnement et leur économie. L’État chinois a signé en mai 1998 et ratifié, en août 2002, le protocole de Kyoto, accord international de la lutte contre le réchauffement de la planète et engageant tous les signataires à diminuer la quantité de gaz à effet de serre. Cependant, la signature de ce protocole ne l’engage à aucune réduction de ses émissions, tout comme l’Inde, contrairement aux pays développés et signataires tels que le Canada, la Russie

de la couche d’ozone est abordé lors du protocole de Montréal qui a été signé par vingt-quatre pays et le Communauté économique européenne en septembre 1987. Cet accord, contient tous les ressorts d’une gouvernance environnementale efficace et juste, et est décrit par Kofi Annan comme étant « peut être le plus grand succès en matière d’accords internationaux ». Visant l’élimination de tous les gaz appauvrissant et dégradant la couche d’ozone, ce protocole a été étendu à tous les Etats de la planète

tourné vers la capitale danoise. La conférence de Copenhague (du 7 au 18 décembre 2009), dernière étape d’un cycle de deux ans, devait en effet permettre d’entériner un accord international et aboutir à la signature d’un nouveau traité (remplaçant le protocole de Kyoto qui arrive à échéance fin 2012). L’absence de réelle avancée lors du rdv intermédiaire des 192 signataires de la Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique (CCNUCC), en décembre 2008 à Poznań, ou encore lors des réunions

relative des groupes concernés 100 % Biens collectifs et effets externes • Le bien collectif renvoie à un problème de production – Bien collectif mondial et protocole de Kyoto • Instrument visant à produire la stabilité du climat • effet externe renvoie à un problème de redistribution – Effet externe à grande échelle et protocole de Kyoto • Instrument visant à limiter l’effet de serre additionnel = mal collectif Confusion entre des enjeux d’ordre -Productif -redistributif Question

pour agir le plus rapidement et le plus efficacement possible afin de préserver notre milieu naturel, «indispensable au maintien de la vie en général et des activités économiques en particulier» . Un lot de mesures a donc été pris dans le cadre de protocoles internationaux dont notamment celui de Kyoto en1997, qui a impulsé un système de régulation des émissions: «Le marché des droits à polluer». Mais qu'est ce que ce marché? Pour commencer on appelle marché le lieu de rencontre de l'offre et de

développement régionale grâce à la BAD ( Banque Asiatique de Développement) . C’est une puissance civile, c’est-à-dire qui est fondée sur la culture, l’économie, l’humanitaire et l’écologie, en contribuant par exemple, aux problèmes environnementaux ( protocole de Kyoto en 1997) Le Japon est une puissance paradoxale. En effet, c’est une grande puissance économique mondiale et aussi culturelle mais seulement à un niveau régional. (elle ne peut pas concurrencer les Etats-Unis) Le Japon a une position politique

eux-mêmes que le manque de gouvernance mondiale rend difficile la mise en place de politiques environnementales communes par exemple. De plus, Jean marie Harribey indique dans son livre que des traités sur l’environnement déjà existants, comme le protocole de Kyoto, ne sont pas respectés. Il y a également le risque, pour les pays émergents, de ne pas pouvoir se développer dans de bonnes condition s’ils devaient se soumettre aux restrictions du développement durable. Finalement, les auteurs des ouvrages

méthane a une courte durée de vie dans l’atmosphère, le second y demeure pendant plus d’un siècle. Depuis le siècle dernier, on assiste à une augmentation sans précédent des températures qui influe sur les équilibres écologiques. Dans le cadre du protocole de Kyoto visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, l’Union européenne s’est engagée à baisser de 8 % ses émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2012 par rapport aux niveaux de 1990. En complément, le Sommet européen de mars 2007