Protocole Manucure

d’éco-développement. En 1987 avec le rapport Brundtland, la notion de développement durable voit le jour. En 1992, à Rio au Brésil, se déroule le Sommet de la Terre où est signée la Charte de la Terre, le concept passe alors dans le grand public et, en 1997, le Protocole de Kyoto impose une baisse de 5.2% des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2010 par rapport à 1990, une comptabilisation des forêts, et institut un marché des permis d’émission et favoriser des modes de développement plus propre. Le développement

les évolutions aux utilisateurs, qu'il guide et aide quand des difficultés surviennent. Compétences requises Une double compétence L'administrateur a une bonne connaissance des réseaux classiques (matériels de câblage, transmission, routage, protocoles de communication...), mais aussi des systèmes d'exploitation. De fait, les solutions réseaux sont de plus en plus complexes et font aujourd'hui appel au système dans son ensemble. Il est impératif pour lui de suivre les évolutions technologiques

écosystèmes, en premier lieu des vastes forêts équatoriales, sont autant de risques liés au développement économique à l'échelle du monde. Or les tentatives de maîtrise des enjeux écologiques n'ont pas donné de réels résultats. Par exemple, le protocole de Kyoto (1997) sur la réduction des gaz à effet de serre ne concerne pas tous les pays et n'a pas été ratifié par les États-Unis, le plus gros émetteur dans le monde. De nombreux pays du Sud, comme le Brésil ou la Chine, estiment qu'ils peuvent

(physique), masque de sous réseaux, Les différents serveurs, les matériels d’interconnexion (commutateur, routeur) • Intranet et extranet • Protocole de communication http pour les pages web ; ftp pour les fichiers, pop, smtp pour la messagerie (+ imap) • Analyse d’une URL (adresse internet) protocole, hôte, nom de domaine, /dossier/fichier.htm

principes d’une politique de développement « économiquement viable, écologiquement durable et socialement équitable », et permet donc de franchir une nouvelle étape en ne considérant plus le développement durable comme un phénomène secondaire. Le protocole de Kyōto, signé en 1997 lors de la 3e conférence annuelle de la Conférence des Parties (COP - Conference of the Parties), et entré en vigueur le 16 février 2005, est un traité international visant à promouvoir la réduction des gaz à effet de serre

........................ 45 5. « Le protocole de Kyoto peut nous sauver ! ». .................................................. 47 L’idée qu’on oublie : renchérir le coût de l’énergie, c’est nuire à nos capacités d’adaptation et de changement ! ........................................................................................ 47 Les exigences de Kyoto ne sont pas anodines .................................................................. 48 Le protocole de Kyoto va nuire à la croissance des

problématique de l’environnement, qui a débouché sur le concept de développement durable , est planétaire. Elle devrait donc unifier les positions. Or, il n’en est rien, les égoïsmes d’État l’emportant encore (certains pays n’ont toujours pas ratifié le protocole de Kyoto). Conclusion Par sa puissance uniformisatrice, la mondialisation génère des craintes qui suscitent des oppositions. Celles-ci sont autant de limites à la globalisation, limites qui sont accentuées par le fait que la mondialisation

dirigeants. L'objectif est de définir de nouvelles règles afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre après 2012, date de fin du protocole de Kyoto. Les enjeux sont à la fois économiques et politiques. Comment se prépare ce sommet ? Dans quelle mesure se dirige-t-on vers une économie verte ? Y-a-t’il d’autres propositions ? Le Protocole de Kyoto, entré en vigueur en 2005, avait pour but de diminuer de 5 % les émissions de gaz à effet de serre (GES) des pays industrialisés

de gaz à effets de serre (GES) qu’en 2008 et s’est rapproché de l’objectif du protocole de Kyoto, selon le MDDEP, le ministère du Développement durable et des Parcs. Le Québec, en 2009, a produit 81.8 millions de tonnes de GES, ce qui équivaut à une baisse de 1.8 % par rapport à 2008. Grâce à cette nouvelle baisse, nous avons réussi à baisser les émissions de 2.5 % par rapport à 1990, l’année de référence du protocole. Cependant, au niveau fédéral, le Canada est loin d’atteindre son objectif de

dans les prix les coûts environnementaux. Il faudrait donc mettre en place un cadre réglementaire contraignant pour orienter l’économie vers un secteur à faible intensité énergétique, & donc donner une chance au développement durable. * Le protocole de Kyoto, prévoit en 2012, un niveau d’émission de gaz à effet de serre, inférieur de 5.5% à celui 1990. Cet objectif est atteint grâce à un système de quotas assignés aux entreprises & par des taxes sur les hydrocarbures, ou des normes (norme