Précurseurs Des Lumieres Descartes

de deux assertions distinctes, « la nature a horreur du vide », « la nature ne souffre pas le vide », en fournit l’exemple éclatant. Or, pour détailler le contenu des problèmes, l’analyse logique ne suffit pas, contrairement à ce que pensait Descartes qui considérait qu’en suivant la voie du raisonnement pur, et en en y consacrant toute son attention, on peut parvenir à réduire le complexe au simple, comme il l’explique dans les Regulae ad directionem ingenii : mais on a besoin de l’expérience

laquelle elle fut à l'origine du théâtre moderne au xve siècle, la comédie a souvent été considérée comme un spectacle léger : le but qu'elle affiche, faire rire le spectateur, l'a souvent reléguée au rang de simple distraction. Et pourtant, Molière, précurseur et fondateur du genre, est la preuve en personne de la portée morale du comique. Dans un courant marqué par l’idéal classique de l’honnête homme, Molière devient célèbre pour ses comédies de caractères ou il traite de diverses obsessions à travers

LES LUMIERES Contexte historique La mort de Louis XIV (1715) Louis XIV avait régné en monarque absolu. La fin de son règne est ternie par l’exode des protestants persécutés, par une série de revers militaires, et par la révolte engendrant la guerre des Camisards (soulèvement de paysans protestants dans certaines régions du Royaume. A la mort de Louis XIV, la France possède plusieurs colonies et mène des guerres permanentes (les colonies servant de sources de soldats supplémentaires)

pièces démontent les structures de la conscience, de la logique et du langage. Origine critique L'essai de Martin Esslin publié en 1962, où l'expression théâtre de l'absurde devient célèbre, définit ce type de dramaturgie en l'analysant à la lumière des écrits d'Albert Camus, et notamment du Mythe de Sisyphe qui portent sur l'absurdité de l'être. Pour Esslin les principaux dramaturges du mouvement sont Eugène Ionesco, Samuel Beckett, Jean Genet et Arthur Adamov, bien que chacun de ces auteurs

. 13 Passion et raison ........................................................................ 13 Passion et illusion ...................................................................... 14 Texte 1 : La raison, souveraine des passions, R. Descartes (1596 – 1650) ............................................................................. 15 Pour mieux comprendre le texte ...............................................17 Texte 2 : Guerre perpétuelle entre raison et passions, B. Pascal

mais facilite des facultés c.à.d. des puissances. Lorsqu’il écrit « s’exercer avec ordre », il fait référence au Discours de la méthode de Descartes de 1637. Descartes y stipule que « le bon sens est la chose du monde la mieux partagée » c.à.d. que la raison à un caractère universelle mais que tout dépend ensuite de la manière dont on en fait usage. Descartes toujours, dans Règles pour la direction de l’esprit écrit que « la méthode est l’art d’exercer sa pensée avec ordre ». Pour De Gaulle

l’empirisme qu’il opposaient au Platonisme. Ces pensées philosophiques s’ancrent et se développent jusqu’au moyen-âge avec le savant français René Descartes (1596-1650), créateur de la géométrie analytique et des sciences exactes. Son principal adversaire, John Locke (1632-1704), philosophe anglais, pronait l’essai et la logique qu’ils opposaient aux thèses de Descartes, marquant le début de l’Empirisme anglais qui connut ses heures de gloire avec la machine analytique du mathématicien anglais Charles Babage

satisfaites, se transforment en pulsion de meutre ou pulsion mortifère. « Nous sommes des sujet de désir et animés par des pulsions inconscientes ». Freud : hypothèse de deux pulsions, celle de vie (eros) et celle de mort (thanatos) antagonistes. Précurseurs de la sociologie comme St Simon ou Prouddhon ont reconnu rôle essentiel joué par l'amour et ses dérivés dans la cohésion sociale. Mais idée de pulsion de mort rejetée. Pour que les hommes pensent a transformer la nature et a dominer leurs semblables

questions. Il a choisi de prendre cette voie existentielle car il a jugé prématuré et même impossible de dire et de prétendre résoudre le problème de l’existence par la seule voie de la raison. Par contre, beaucoup de ses prédécesseurs, par exemple Descartes, Kant, Hegel, ont adopté la méthode de la philosophie dialectique pour nous offrir sur un plat déjà préparé le menu forcé de la vérité connaissable comme un « système » complet avec lequel on ne fait que suivre la logique des choses. Cette démarche

entendit ! […] il se forgea un style “signifiant l’infini” – il devint l’héritier de Hegel… La musique comme “Idée” ». À ce goût romantique pour l’infini, où « la clarté est une objection », il oppose son propre alcyonisme, sa « grande logique » et sa « lumière méridionale »3… Or la clarté dans le style et la pensée n’est pas le résultat du naturel. Il s’agit d’un contresens allemand sur le classicisme que 1. Ibid., p. 701-702. 2. Humain, trop humain II. Le voyageur et son ombre, trad. A.-M. Desrousseaux