Psychologie Dans La Princesse De Cleves

siècle avec l’apparition du roman d’analyse comme la Princesse de Clèves de Madame de Lafayette. Le roman du XIXème siècle À la fin du XVIIIe, le roman est parvenu à sa maturité. Sa forme et son esthétique ne changeront plus beaucoup jusqu'au XXe siècle. Le format des romans, le découpage en chapitres, l'utilisation du passé de narration et d'un narrateur omniscient forment un socle commun peu remis en question. Les descriptions et la psychologie des personnages deviennent primordiales. Importance

il y a une raison pour laquelle ils ont traversé les siècles: le style, le talent de leurs auteurs, la révolution qu'ils ont accomplie à leur époque. La Princesse de Clèves, par exemple, "pour nous c'est assez chiant, un peu cucul", mais c'est une révolution en soi, les premiers essais d'introspection dans le roman, l'apparition d'une psychologie des personnages. De manière plus générale, on peut considérer que si des romans sont venus jusqu'à nous, s'ils ont eu des générations de lecteurs, c'est

affaire » de La Princesse de Clèves1.3. Présentation du parcours1.3.1 Individu1.3.2 Morale1.3.3 Société1.1 Présentation de l’autrice (Voir les repères chronologiques p.12)Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de Lafayette (1634-1693) 1.1.1 Une dame de courFamille de petite noblesse

physique et morale pour que le lecteur puisse imaginer l’être de fiction comme s’il était une personne réelle. Pour imaginer le caractère de l’héros, le lecteur se base sur le portrait moral, donc sur les actions et les paroles qui contribuent à la psychologie de ce dernier. A partir de ces deux types de portrait, le lecteur peut voir s’il y a une cohérence du personnage et apprécier ou pas le rôle de ce dernier. Dans cette œuvre de Prévost, la portée morale des deux personnages, Manon et Des Grieux,

moyen privilégié d'investigation psychologique du héros, qui se détache alors du commun par des valeurs inhabituelles. C'est ainsi que dans La Princesse de Clèves, à l'horizon de la conscience de Mme de Clèves demeure la haute idée qu'elle se fait d'elle-même : là se trouve la pierre de touche d'une éducation aristocratique. Elevée loin de la cour, la princesse témoigne par ses exigences les plus profondes des valeurs héroïques qui traversent tout le XVIIème siècle. On note chez elle une intolérance

aimerai ressembler (ex: la princesse de Clèves) 3) Il s’identifie au personnage pour vivre de nouvelles expériences II) LE lecteur n’est pas obligé de s’identifier au personnage 1) Le lecteur ne peut parfois pas s’identifier à certains personnage (assassin->la condition humaine) 2) Le lecteur peut aimer un roman en s’identifiant au cadre 3) Le lecteur peut rester simple spectateur 1) la fusion personnage lecteur a/ réaliste et attachant b/ personnage idéal, la princesse de clève de mme lafayette

comique, plus réaliste, dénonce les illusions de ces romans de l’idéalisation de manière grotesque ou burlesque. © A l’âge classique, le roman d’analyse offre un récit vraisemblable s’attardant sur la psychologie des personnages de la noblesse, déchirés entre vertu et passion  La princesse de Clèves de Mme de La Fayette. Au XVIIIème siècle...  D’une part, on a le roman picaresque, d’aventures qui inscrit son personnage (le picaro) dans la réalité sociale contemporaine  Gil Blas de Lesage 

XIII ou encore Le duc de Buckingham. Ces romans nous permettent donc de mieux comprendre l’histoire, comment les choses se sont déroulées. La psychologie est également une connaissance dont le roman peut nous apprendre certaines choses au niveau des sentiments amoureux ou encore dans la compréhension de nous-même. Prenons l’exemple de « La princesse de Clèves » de Madame de La Fayette, l’héroïne est face à un amour illicite et non seulement elle résiste à la tentation mais devient également malheureuse

donc des valeurs morales qu'on ne peut qu'admirer et s'inspirer : la réussite, le courage, la capacité à aller au bout de ce qu'on entreprend. Ce sont donc ces personnages qui nous permettent de comprendre en premier lieu que le physique, la psychologie, l'environnement dans lequel ils évoluent peuvent parfois faire d'eux des héros, en bref les caractéristiques que l'on observe au premier abord. Pour qu'un personnage soit pris en considération, il doit inspirer confiance et cela passe donc tout

(XVIe) : l'homme est une entité culturelle = il est ce qu’il sait, il est défini par rapport à sa psychologie, à ce qu’il possède, et par rapport à ses actions. XVIème : naissance du roman moderne (Cervantès, Rabelais...), les personnages sont des hommes mortels. On se sert d’un monde burlesque mais idéo-humaniste : l’homme est ce qu’il sait : « réaliste ». XVIIème : roman classique = Princesse de Clèves de Mme de Lafayette. Règle classique : l’homme incarne des valeurs morales. XVIIIème : fondé