Psychologie Dans La Princesse De Cleves

analytiques : 1. La Princesse de Clèves, 1678, Madame de Lafayette 2. L'Etranger, 1942, Albert Camus Textes complémentaires : 1. Lancelot ou le chevalier à la charrette, 1181, Chrétien de Troyes 2. La Maison Nucingen, 1837, Honoré de Balzac 3. Madame Bovary, 1856, Gustave Flaubert 4. L'Education Sentimentale, 1869, Gustave Flaubert 5. La Jalousie, 1957, Alain Robbe-Grillet Lecture cursive : J'ai lu : L'Etranger, 1942, d'Albert Camus (certains ont lu La Princesse de Clèves) Perspectives d'études :

POTRAIT DES PRINCES INTRODUCTION : Madame de Lafayette est présentée comme la 1ere grande romancière avec l’innovation de son roman qui possède un nouvel aspect lié à la psychologie des personnages ; De plus il est considéré comme le premier roman psychologique. L’oeuvre La princesse de Clèves est un roman de préciosité et une œuvre janséniste du 17e siècle. Elle met en avant le désastre que provoque l’amour, le combat intérieur contre la passion afin de permettre la quête à la venue.

« psychologique », avec la Princesse de Clèves (1678) de Madame de La Fayette. Le personnage n’est plus une incarnation d’une catégorie sociale ou d’une valeur morale. La règle de la vraisemblance (rappeler les trois règles de la tragédie : les trois unités, les bienséances, la vraisemblance), un des principes du classicisme, incite les auteurs à justifier les actions de leurs personnages en fonction de sa cohérence psychologique. Le personnage de la Princesse de Clèves n’est pas sans rappeler certaines

depuis toujours … ou presque ! Les premiers vrais romans datent du Moyen Age. – XVIIe : les romans étudient la psychologie des personnages (leur manière de penser, d’éprouver la passion, …). D’où : de nombreux récits d’histoires d’amour tels que La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette qui relate la naissance d’une passion amoureuse adultère dans le cœur de la très vertueuse Mme de Clèves. Elle s’en amourache secrètement du Duc de Nemours mais renonce au nom de la morale. – XVIIIe : la production

analytiques : 1. La Princesse de Clèves, 1678, Madame de Lafayette 2. L'Etranger, 1942, Albert Camus Textes complémentaires : 1. Lancelot ou le chevalier à la charrette, 1181, Chrétien de Troyes 2. La Maison Nucingen, 1837, Honoré de Balzac 3. Madame Bovary, 1856, Gustave Flaubert 4. L'Education Sentimentale, 1869, Gustave Flaubert 5. La Jalousie, 1957, Alain Robbe-Grillet Lecture cursive : J'ai lu : L'Etranger, 1942, d'Albert Camus (certains ont lu La Princesse de Clèves) Perspectives d'études :

d’autrui, fraternité virile) n’hésite pas, ne refuse pas le défi. La folie de la prouesse est en fait un engagement mystique. Le récit épique est celui d’un conflit de valeurs : lutte du bien contre le mal. Bilan : c’est donc un héros épique, mais sa psychologie est simplifiée, encore proche des personnages emblématiques des contes et légendes. TRISTAN ET ISEULT LA VICTOIRE SUR LE DRAGON D’Irlande Le dragon avait deux cornes au front, les oreilles longues et velues, les yeux étincelants à fleur de tête

l’extrait, du thème etc.Cela aurait pu donner (pour citer un livre que nous avons TOUS lu ;) ):« Dans le Chapitre 3 du roman le ‘ Bal du Compte d’Orgel’ Raymond Radiguet nous livre un roman qui n’est en réalité rien d’autre qu’une parodie de la Princesse de Clèves… »-après avoir ‘introduit’ le dernier § expliquer brièvement ce que l’auteur à tenter de transmettre au lecteur dans ce passage du livre. -pour terminer essayer d’expliquer ce que le héros va apprendre ou n’a pas encore apprit à ce moment de

Université de Zagreb Faculté de philosophie et lettres Département d’études romanes L'Étude des personnages et des valeurs dans le roman La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette Mémoire de Master Presentée par : Directrice de recherche : Sara Nežić Madame Ivana Franić Codirectrice de recherche: Madame Daniela Ćurko Zagreb, avril 2013 Sveučilište u Zagrebu Filozofski fakultet Odsjek za romanistiku Analiza likova i etičkih vrijednosti u romanu Princeza od Clèvesa Madame de Lafayette

se laisser complètement emporté par ses passions. Par la vraisemblance du récit, le lecteur « découvre » alors la violence des passions que l’amour peut exciter, il explore les possibilités de son existence, il prend conscience du matériau de la psychologie humaine. Le roman est aussi une découverte personnelle, de son identité. En effet, ce genre favorise par sa forme même l’identification. Ce processus est particulièrement intéressant dans la construction de sa personnalité

­On adapte les légendes à la civilisation présente  ­Les romans sont plus souvent des oeuvres d’imitations.  ­Le héros ici n’accomplit pas d’exploits pour son pays ou son Dieu, mais pour la «dame de ses  pensées». Ses moeurs sont plus élégantes, sa psychologie plus complexe et délicate.   ­Ils sont destinées pour des populations plus nobles qui savent lire.  ­Les histoires sont surnaturelle mais répétitive.     Dans le M­A le roman se distinguait selon son origine :  ● le roman antique (raconte des aventures fabuleuses des temps anciens)