Publius Valerius Publicola

omului. 18. Manii Virginiei (Titus Livius, III, 58). Manii soţiei (Vergiliu, VI, 119). Manii tatălui Anchise (Id. X, 534). Manii lui Hector (Id., III 303/ Manilor lui Marte, Manilor Acutiei (Orelli, nr. 4440, 4441, 4447, 4459 etc.). Zeii mani ai lui Valerius (Titus Livius, III, 19). 19. Apuleius, Despre zeul lui Sacrale. Servius, ad. Aeneid. III, 63. 20. Censorinus, Despre ziua de naştere, 3. 21. Cicero, Timaios, 11. — Dionysios din Halicarnas traduce lar familiaris (= Iar casnic) prin hat' oiklan

l’ivre de la liberté, datent de cette même année la première de ces lois de prorocatione qui autorisaient tout citoyen à en appeler au peuple d’une condamnation capitale prononcée par un magistrat. Cette loi, attribuée au consul populaire Valerius Publicola, et qui devint en effet la pierre angulaire des libertés publiques, était une nouvelle atteinte à la puissance arbitraire de la souveraine magistrature, déjà affaiblie par la substitution du consulat à la royauté. Mais, faite par les patriciens

casser, décerner la guerre et la paix, instituer et destituer les officiers et connaître des appellations de tous les magistrats et en autre lieu parlant du troisième trouble advenu en Rome entre la Noblesse et le peuple, il dit que le Consul M. Valerius remontra au peuple qu'il se devait contenter d'avoir la puissance de faire les lois, les officiers, et le dernier ressort ; et quant au reste, qu'il appartenait au Sénat. Depuis, les Jurisconsultes ont amplifié ces droits, et les derniers