Purgatoire

(attention) Ons jugeke (jésus) t’interdit De rentrer tout droit au paradis. Tu as trop commis de flauwskes (entourloupettes) dans ta vie. Tu as trop stoeffé (vanté) et trop goinfré. Beaucoup trop vadrouillé et zieveré (bavardé). Va-t-en d’abord en purgatoire Pour te laver de ces sales histoires. D’accord ! dit Jef Lambic Mais, puisque je dois revenir ici Grand Saint-Pierre garde, astableef, mon petit colis Je te le confie car il est très fragile Wel, wel ! Qu’est-ce qu’il y a dedans ? Seulement

afin de s'innocenter des faits reproches. Pour se disculper, l'accuse peut avoir recours au serment purgatoire (cad que le serment va le disculper et il va se purger de l'accusation qui a été portée devant lui. Ce serment est assister de co-jureur, garant de sa sincérité.). On peut aussi faire jaillir la preuve en acceptant de subir certaines épreuve (lorsque l'on considère que le serment purgatoire n'est pas suffisant) : le jugement de dieu (ou l'ordalie). La loi salique prévoit d'attraper au fond

bien précis. Ici aussi il y a donc des artifices entre l’Homme et Dieu. Croire qu'on échange directement avec Dieu est une illusion. On doit quoiqu’il en soit passerpar des stades intermédiaires pour atteindre Dieu, comme le montre l’existence d’un purgatoire avant l’entrée au Paradis. Donc, si échange il y a, il n’est pas rapide et direct. Dans les temples grecs par exemple, c’est le prêtre uniquement qui apportait les offrandes à la statue de Dieu qui n’est pas accessible aux fidèles. Nietzsche pense

Bonjour! Les temps étant sombres en ce début d'année scolaires, où les jours semblent aussi longs que des années au purgatoire, il m'a fallu apporter ma pierre au système éducatif désuet de notes et de cotes censées prouver que tel ou tel personne a la plume plus belle qu'une autre. Cette pierre, qui a la force et l'éclat d'un pavé qu'on se prend dans la gueule après avoir glissé dans une crotte de chien un lundi matin, est une dissertation. Pour les petits malins qui auraient séchés les cours

l’époque. La vie sur Terre est un passage vers le Paradis. C’est encore plus important pour les pauvres (90% de la population). Dieu détermine le sort des gens après leur mort. C’est le Jugement dernier. On va soit au Paradis, soit en Enfer. Le Purgatoire n’existe pas à cette époque. Les chrétiens sont jugés en fonction de leurs actes envers Dieu (respect des prières, des interdictions [10 commandements : péchés mortels → pas de rédemption]) et envers les autres, envers son « prochain » (entraide

décide qui mange quoi et quand. D’ailleurs, elle est beaucoup moins attaquée que le père… Peut-être parce qu’elle est considérée comme le lieu d’engendrement du vivant, la racine relationnelle de ce qui reste de la famille… Papa disparu ou au purgatoire, maman assure mais a droit à ses moments de faiblesse : dans les publicités pour détachants, notamment, le produit surpuissant va remettre de l’ordre dans la cuisine. Papa est de retour…mais en flacon ! Les grands-parents copains Papy Brossard

moins vastes ont aussi adopté cette configuration avec plus ou moins de bonheur (Belgique). La diffusion mondiale du modèle semble confirmer la prédiction de Proudhon. « Le XXe siècle ouvrira l’ère des fédérations ou l’humanité recommencera un purgatoire de 1000ans. » Cette réflexion est une invitation à inscrire cette forme d’Etat dans une théorie : celle du fédéralisme. G. Scelle s’est interrogé sur la réflexion de ce qu’est le fédéralisme. « Loi constante de l’évolution des sociétés humaines

paye une taxe pour les cumuler ce qui fait 23000 ducats. L’Eglise s’en sert pour financer la construction du palais de St Pierre. Pour avoir cet argent, ils font appel à la vente d’Indulgences. Les indulgences servent à éliminer les risques de purgatoires. Elle est donnée par confession. En théorie elle est donnée mais dans la pratique il faut l’acheter car on a commis des péchés. Mais cette pratique indigne Luther qui pense que la grâce de Dieu est gratuite et qui trouve que Rome est la nouvelle

utilisèrent le terme enfer pour désigner les limbes des pères, dans lesquels les âmes des justes décédés avant l'avènement du Christ attendaient leur rédemption, et qui sont mentionnés dans le Symbole des Apôtres, « Il [Christ] descendit aux enfers », le purgatoire, lieu de purgation des péchés véniels et qui conduit toujours au ciel, et enfin le lieu de châtiment de Satan et des autres anges déchus ainsi que de tous les mortels morts sans s'être repentis de leurs péchés. »  http://fr.wikipedia.org/wiki/Enfer

Dadon le fondateur de l'abbaye de Sainte Foy de Conques. En bas à droite, il y a Satan, l'ange déchu qui dirige les enfers. Le Christ juge les âmes des fidèles, c'est à dire ceux qui ont le droit d'entrer au paradis, d'aller en enfer ou de rester au purgatoire afin de payer ses fautes avant de pouvoir entrer au paradis. Cela montre aux fidèles la vie après la mort et ce qui arrivent aux âmes n'ayant pas eu une vie pieuse ou plutôt celles qui n'auraient pas suivis les préceptes de la religion chrétienne