Pyrale

génétiquement les plantes principalement pour augmenter leur résistance, par exemple pour le maïs Bt (dont j’ai parlé dans l’histoire des OGM), dont la modification génétique permet de tuer la chenille de la pyrale, qui s’attaque aux tiges du maïs.                                (Chenille de la pyrale - Maïs dévasté par cette chenille)   On peut aussi modifier les plantes à des fins médicales, par exemple le riz doré : la carence en vitamine A tue chaque année plusieurs milliers d’enfants, et cette

pouvons également mentionné: -. Résistance des insectes à la toxine produite par la plante OGM. Exemples:n France le principal ravageur du maïs est la Pyrale qui prolifère rapidement. La transgenèse a permis d’obtenir de nouvelles variétés de maïs qui ont été transformées dans le but de les rendre capable de produire la toxine Bt, active contre la Pyrale. Mais différentes expériences ont permis de constater une résistance à la toxine de la part de ces ravageurs - Les OGM végétaux cultivés à des fins

Consommation mondiale d’eau (Doc 2 p 162 et 5 p 163) Consommation mondiale d’eau selon les secteurs d’activité et les continents au cours du temps D’après FAO http://www.fao.org/docrep/003/t0800f/t0800f0a.htm Document 5 : L pyrale du maïs Ostrinia nubilalis En France, la pyrale du maïs atteint en moyenne 10% des récoltes de maïs. Sa larve s'attaque dans un premier temps aux feuilles puis à l'épi et aux tiges, pouvant provoquer un phénomène de verse. A ces dégâts directs s'ajoutent des dégâts indirects:

d'etudier des r partitions spatiales e d'individus en cologie e 53 4.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2 M thodes d' tude de r partitions spatiales d'individus . . . . . e e e 4.3 Exemple : Pontes de la pyrale du ma s en plein champ . . . . . 4.3.1 Donn es r colt es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e e 4.3.2 Calcul de l'indice de dispersion . . . . . . . . . . . . . 4.3.3 Etude de la disposition des plantes infest es au sein des e rang

l’environnement. Commission européene autorise l’importation du maïs et du soja transgéniques américains. 1997 : 1ers arrachages sauvages d’OGM en serres puis au champs. 1998 : France : 1er pays d’Europe à cultiver du maïs transgénique résistant à la pyrale En France, étiquetage des produits contenant plus de 1% d’OGM est obligatoire. 1999 : L’Union Européenne suspend les procédures d’autorisation de mises sur le marché des nouveaux OGM. 2001 : Des traces d’OGM d’origine inconnue sont retrouvées

Sortie de secours (4)   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • Alarme incendie (2)   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • Boite à pyrales   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • DEIV   . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • Phares (2)   . . .

résistance des plantes aux maladies. | |Le principal ravageur du maïs est, en France, la pyrale du maïs, le lépidoptère Ostrinia nubilalis. Bacillus thuringiensis ou Bt est | |une bactérie du sol qui produit une toxine insecticide. Un gène de Bt est introduit dans le maïs qui va fabriquer lui-même la toxine | |insecticide et devenir ainsi résistant à la pyrale. Ce procédé permet de réduire la pollution liée à l’agriculture en diminuant la | |quantité d’insecticides utilisés

cordata Figure 13 Mytilus californicus. Espèce clé : la pyrale d'Argentine !  !  !  !  !  Les cactus Opuntia furent introduit en Australie par les premiers colons comme plantes ornementales et comme haies pour contrôler le bétail. En 1925, 250 000 km2 étaient recouverts d'Oponces dans l'est de l'Australie En 1925 : introduction de la pyrale d'Argentine, Cactoblastis cactorum En 1930 les populations d'Oponces avait diminué de 90 % La pyrale d'Argentine est une espèce clef dans cette communauté Opuntia

caractère que l’on souhaite ajouter au futur OGM. Par exemple Le maïs MON810 est un OGM de la firme américaine Monsanto, capable de résister à des insectes ravageurs (pyrale du maïs, lépidoptère) par la sécrétion d'un insecticide. Ici on a souhaité que le maïs puisse se défendre face à l’agression de parasites extérieurs comme la pyrale. Cela permet donc de consommer moins de pesticide et d’avoir une production plus constante d’une année sur l’autre. La seconde étape consiste à insérer le gène souhaité

que les variétés de maïs-grain Bt soient moins souvent contaminées par les champignons microscopiques que le maïs traditionnel (64, 65, 66, 67, 72). En dévorant les épis de maïs, la pyrale fournit des points d'entrée aux champignons qui produisent des mycotoxines. Ainsi, en réduisant les dommages causés par la pyrale, la culture du maïs-grain Bt contribuerait à diminuer les niveaux de contamination par les champignons (68, 69). Les aliments dérivés de ces cultures contiendraient donc moins de mycotoxines