Périphrases La Nuit De Decembre

écrit d’invention Traitez le sujet suivant : À la fin de la nouvelle de Maupassant, Rose pleure l’abandon de Pierrot. Vous inventerez la suite du récit en respectant les indications suivantes : Rose, pétrie de remords, retourne chercher Pierrot, la nuit, dans la marinière. Vous décrirez à la fois les sentiments du personnage, et le décor nocturne. Vous veillerez aussi à respecter le réalisme de la nouvelle de Maupassant, tout en conférant à votre récit quelques touches fantastiques. Activité

ces salons s’ouvrent peu à peu à des écrivains bourgeois. La volonté d’élégance dans la conversation, la recherche de pureté du vocabulaire en proscrivant les jargons, les archaïsmes, le langage populaire et l’invention de termes nouveaux ou de périphrase remplaçant des noms d’objets réputés bas ou seulement trop ordinaires, conduisent à des abus dont se moquera Molière dans Les Précieuses ridicules. Le courant précieux La littérature est un des sujets privilégiés de ces salons et les auteurs

une disjonction, un hiatus, entre 2 voyelles successives, pour montrer qu'on n'a pas affaire à un digramme ni à une suite semi-consonne + voyelle : haïr ['aiR . eR]] héroïsme [eRoism] (comparer : roi [Rwa]) coïncidence (comp : coin), amuï (comp : nuit), maïs (comp : mais) Il est concurrencé par le h : envahir, trahir, cohue Quand la voyelle est un e [e / e], on met plutôt un accent. En 1878, l'Académie a remplacé le tréma par un accent dans poëme, poësie > poème, poésie. Mais nous gardons toujours Noël

que Roxane se retourne. Alors qu’il lui détaille sa gazette, Cyrano s’évanouit, puis se reprend. À sa demande, Roxane le laisse lire, à voix haute, la dernière lettre de Christian, qu’elle conserve sur elle depuis quinze ans ; mais, alors que « la nuit vient insensiblement » et ne permet donc plus de lire, Cyrano est trahi par sa voix, que Roxane reconnaît et qui révèle sa « généreuse imposture », malgré ses inutiles et contradictoires dénégations (« Non, non, mon cher amour, je ne vous aimais pas

ce que cachait son rêve de communion amoureuse qu’il accuse la femme d’avoir fait voler en éclats par l’insensibilité égoïste qu’elle a manifestée au moment même 1. Publié en juillet 1864 dans La Vie parisienne, puis dans La Revue de Paris le 25 décembre 1864. Notre édition est celle de Jean-Luc Steinmetz au Livre de Poche, 2003. 2. Voir Steve Murphy, « Misères de la commisération : Les yeux des pauvres », dans Logiques du dernier Baudelaire. Lectures du Spleen de Paris, Paris, Champion, 2003, p

de la périphrase. J'ai de la périphrase écrasé les spirales, Hugo. Hugo amorce un changement de rhétorique. Il entend procéder àune réforme lexicale qui restiturait une légitimité aux mots bas. Promotion des mots plutôt que des genres dans lesquells ont enferment ses mots. Un avenement de la transcendance des mots. Retourner la rhétorique contre elle-même. Réponse à acte d'accusation. Texte 6. Chronique sentimentale composé de quatre mai. La nuit de décembre : solitude de l'amant. La nuit d'octobre

jusqu’alors. Mais à la suite de la chute des Girondins, Laclos est à nouveau incarcéré et à nouveau échappe de peu à l’échafaud. Sa détention se prolonge une année. Le duc d’Orléans est exécuté le 7 novembre 1793. Sorti de la prison de Picpus le 1er décembre 1794, il rédige en 1795 un mémoire intitulé De la guerre et de la paix, à l’intention du Comité de salut public. Il commence également à rédiger un essai sans titre sur l’éducation des femmes. Ce thème, on le voit, hante toute son œuvre. L’année

et l'on a eu tort, car aucune contradiction. Victor Hugo n'a il On n'y a là voulu im- COULI ik, LA poser aux autres ni du mot propre : ni à a i! LA Ll Mil RI l L i OMBRE lui-même L'emploi exclusii seulement protesté périphrase et la désormais le droit d'être blanc, tout il sa blancheur éveille dans la la simplement; tenu de n'être jamais rien de plus, et n'est pas «m de contre, métaphore obligatoires. Le bras a l'esprit l'idée neige, l'écrivain a le

qu'il allie les formes complémentaires d'une immensité ouverte et d'un lieu circonscrit à un cercle protecteur. Il en va de même pour les représentations du temps, qui englobent dans un présent intemporel les siècles et la seconde, le jour et la nuit. Les très nombreuses métaphores qui désignent cet arbre sont empruntées aux divers règnes de la création : végétal, mais aussi minéral et animal. Elles relèvent souvent de la personnification et construisent les figures du géant, du patriarche et

plusieurs mètres, et l’on amoncela, dans un coin, 10 les ossements que la terre voulut bien rendre. Pendant près d’un mois, les gamins, qui pleuraient les poiriers, jouèrent aux boules avec des crânes ; de mauvais plaisants pendirent, une nuit, des fémurs et des tibias à tous les cordons de sonnette de la ville. Ce scandale, dont Plassans garde encore le souvenir, ne cessa que le jour où l’on se décida à aller jeter le tas d’os au fond d’un trou creusé dans le nouveau cimetière. Mais