Qu Est Ce De Votre Vie Chassignet

s’inspirent-ils mutuellement et ainsi agrandissent le champ de leur création ? Comment et pourquoi la poésie passe-t-elle de tradition à modernité tout en gardant contact avec la peinture ? Documents: Un groupement de textes : Jean-Baptiste Chassignet, Le Mesprit de la vie et consolation de la mort, " Assieds-toi sur le bord… " 1594. Charles Baudelaire, " Les Phares ", section du " Spleen et Idéal ", Les Fleurs du Mal. 1857. René Char, " Le Martinet ", Fureur et mystère, 1948. Paul Eluard, " La courbe

Jean-Baptiste Chassignet, Le Mespris de la vie et consolation contre la mort Présentation : Le recueil comprend cinq cents sonnets et stances, il appartient à un genre, la consolation (cf. plus tard Consolation à M. Du Périer de Malherbe). Tonalité chrétienne. Le baroque s'inscrit dans le vaste mouvement de la ContreRéforme (le concile de Trente s'achève en 1563). Jean Rousset qualifie l'auteur avec Sponde de " poètes de la mort " dans La Littérature de l'âge baroque en France. Chassignet a vingt-trois

Jean-Baptiste Chassignet, « Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière » Jean de Sponde, « Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut, tout me tente » Malherbe, « Paraphrase du Psaume CXLV » Lectures complémentaires dans le domaine de la prose : Montaigne, « De l’inconstance de nos actions », « Du repentir » Pascal, « Disproportion de l’homme » Un topos du théâtre baroque : « la vie est un songe » Shakespeare, La Tempête (V, 1) Shakespeare, Hamlet (III, 2) Calderon, La Vie est un songe

Mer » Jean-Baptiste Chassignet, « Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière » Jean de Sponde, « Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut, tout me tente » Malherbe, « Paraphrase du Psaume CXLV » Lectures complémentaires dans le domaine de la prose : Montaigne, « De l’inconstance de nos actions », « Du repentir » Pascal, « Disproportion de l’homme » Un topos du théâtre baroque : « la vie est un songe » Shakespeare, La Tempête (V, 1) Shakespeare, Hamlet (III, 2) Calderon, La Vie est un songe (deuxième

« La Méditation de Diane », L’Astrée d’Honoré d’Urfé (1567-1625) Après s’y être donc assise, et que sans dire mot elle eut longuement tenu l’œil sur le courant de la rivière, sans faire autre action qui donnât connaissance de vie, que celle de respirer, enfin, revenant comme d’une profonde léthargie, et jetant un grand soupir : « Ainsi, dit-elle, vont courant dans le sein de l’oubli toutes les choses mortelles ! » Et là, s’étant tue quelque temps, après elle reprenait ainsi : « Ô que celui-là

et vagabondant. Le troisième a été écrit par Gérard de Nerval et se nomme « Espagne ». Nerval nous renvoie à l’époque mauresque en vantant les mérites du côté oriental de ce pays. Le poème qui suit est de Charles Cros. « Tsigane » nous raconte une vie de nomade sans attache parcourant le monde et ne laissant aucune trace de son passage. Le cinquième poème est un nouveau poème de Baudelaire intitulé « Parfum Exotique » dans lequel il nous explique sa relation à l’amour à travers un voyage de sensations

ses contemporains son point de perfection. De la comédie ancienne, seule l'œuvre d'Aristophane nous est parvenue. Son génie comique est de nature satirique ; il n'a de cesse de fustiger les mœurs et la politique de son temps. 1. Sa vie On sait peu de choses sur la vie d'Aristophane. Il est né semble-t-il vers 445 avant J.-C. ; on ignore la date de sa mort. De parents athéniens, il manifeste un génie précoce. Il aurait écrit ses premières pièces (Les Convives, Les Babyloniens, Les Acharniens) à un

Préface………………………………………………………………………………… p 3-4 « Arrivé dedans Rome… » …………………………………………………………….. p 5 Jacques Grévin Sonnet à Marie…………………………………………………………………………. p 6 Pierre de Ronsard « Assieds-toi sur le bord… » ………………………………………………………….. p 7 Jean-Baptiste Chassignet « Hélas ! Qu’est ce de l’homme orgueilleux… » ……………………………… p 8 Jean Auvray A mes amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des heures…………………………………………………………………. p 10 Gérard de Nerval L’Ennemi ……………………………………………………………………………

différentes ce qui peut provoquer l'incertitude. la vie est un spectacle . la vie n'est qu'illusion. mais le théâtre peut aussi désigner une autre façon de percevoir le monde : l'inconstance. en effet dans la pièce de Molière Dom Juan, Dom Juan qui est un personnage baroque, il est contre l'engagement, pour l'infidélité et pour le changement. C'est pourquoi le théâtre peut désigner deux façons de percevoir le monde : l'illusion de la vie et l'inconstance de la vie. Mais "l'illusion est le mode par lequel

étudiés en lectures analytiques : 1/ Montaigne, Essais (1588) « Le monde n’est qu’une branloire pérenne… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p. 367. 2/ Chassignet, Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort (1594) « L’eau change tous les jours… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.368. 3/ Chassignet, Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort (1594) « Mortel sonnet », document photocopié. 4/Corneille, L’Illusion comique (1636),acte V,sc 5, Bordas, Textes et Perspectives