Qu Est Ce Qu Un Beau Vers

Avec Phèdre, Jean Racine a réussi à surclasser les grands dramaturges de son époque. L’extrait « un aveu involontaire » publié en 1677 est une tragédie classique qui évoque un drame opposant l’amour et la raison. Dans cette œuvre, Phèdre dit à son beau-fils Hippolyte qu’elle l’aime. Dans un commentaire composé partiel, nous allons démontrer que par son drame passionnel, l’extrait « un aveu involontaire » est une vision fataliste de l’être humain victime de ses passions. Dans les paragraphes suivant

- L'art et le beau.  Le jaillissement du Beau dans l'ici et le maintenant d'une oeuvre fait d'elle un lieu, le lieu d'une manifestation comme surprise, comme ce qui ne pouvait être prévu par aucune règle de composition, ce qui ne relève pas d'un concept, ou, si l'on préfère, d'une sorte d'art poétique. Cela pose un problème: comment le beau peut-il se manifester dans une oeuvre dans être pour cela inclus dans la définition, le concept dont elle devrait relever?   Par exemple: Soit une belle table

pt de vue en donnant du sens : adaptation libre subjective de la soirée mais également reconstruite et élaborée. L'histoire s'est passée en -416 (Apollodor ne se trouvait pas chez Agathon, d'où l'impression de retranscription) ==>La question du beau va rejoindre la question du bien Enjeux: Conception de l'art chez Platon. Présentation de Platon -472/-347, c'est un athénien. Tte l'œuvre de Platon est un hommage rendu à Socrate qui est le plus sage (le plus savant) des hommes. Socrate est

l’amour naît d’un manque, d’une indigence, ce que nous montrera d’une autre façon le discours de Diotime. Néanmoins la différence réside dans l’objet même du désir. Pour Diotime, il s’agit d’une aspiration à une identité transcendante, celle de l’idée du beau alors que chez Aristophane l’identité recherchée est celle d’une nature primitive. Par ailleurs, ce discours s’oppose directement à celui d’Erixymaque. Selon ce dernier l’amour procède de l’attirance des contraires, dont il est la réunion harmonieuse

immoraliste », s’oppose à une puissante tradition prônant la pureté morale de l'œuvre et de l'artiste. Subordonnant l’art à la morale, l’esthétique moraliste affirme que l’œuvre d’art a pour finalité principale de mettre en scène le beau afin d’élever moralement le spectateur ; le beau serait le moyen principal d’accéder au bien. Face à l’importance de cette tradition, peut-on dès lors considérer que le mal soit l’objet artistique par excellence ? Il est d’usage de distinguer trois types de mal : le mal métaphysique

empreints de douceur, « le mot est doux » vers 3 , « d'insensible façon » vers 10. C'est l'importance du baiser qu'il cherche a alléger, afin qu'elle se l'accorde. Pour cela, il donne une forme très poétique à sa déclaration. En effet celle-ci est formée en alexandrin, les répliques sont très rythmées avec des répétitions à l'intérieur des vers « du sourire au soupir, et du soupir aux larmes » vers 9 « glissé sans alarmes » vers 8 et « glissez encore » vers 10. Des rimes sont présentent, elles sont

de la vie et des divinités. Diotime défend la thèse selon laquelle Éros est ni beau ni bon et se situe dans l’intermédiaire du beau et du laid. Afin de démystifier la philosophie et les pensées de l’auteur, il est primordial de décortiquer les principes et concepts distinctement. Diotime initie son discours en installant sa vision du concept et de la thèse même de son principe. Elle explique qu’Éros n’est ni beau ni beau, mais ne se situe pas non plus dans l’autre extrême, c'est-à-dire laid et mauvais

pour faire admettre qu'Éros est un désir et que l’objet de son désir est « ce qu'il n’a pas, ce qu'il n’est pas lui-même, ce dont il manque » (200e2-3). Acceptant qu'Éros est un amour du beau et du bon comme le voulait Agathon, Socrate précise cependant que, par conséquent, Éros doit lui-même manquer de bien et de beau(200e6-201c8). Toutefois, cela ne veut pas dire pour autant qu'Éros est laid et mauvais. Le premier point que Diotime veut établir est précisément qu'il existe un intermédiaire entre les

Dissertation La définition du terme « beau » peut être interprétée de mille et une façons. On peut penser que lorsque l’on parle d’un livre beau, il s’agit peut être de sa couverture où de sa police d’écriture. Les attentes et appréciations du lecteur sur un possible beau livre sont multiples : La fluidité et la finesse du style d’écriture ainsi que la construction détaillé ont un atout certain sur la beauté dite visuelle. Outre l’esthétique, n’oublions pas que le lecteur lit avant tout

trois doses d'écoute agrémentée deconfiance, verser une bonne rasade de fidélité. Délayer avec de la patience et de la persévérance. Enfin, parsemer d'humour et laisser reposer. Si le mélange ne prend pas, recommencer, puis saupoudrer de votre plus beau sourire et ajouter autant d'humour que nécessaire. A consommer sans modération, ad vitam aeternam ! Prendre une bonne dose de disponibilité, ajouter trois doses d'écoute agrémentée deconfiance, verser une bonne rasade de fidélité. Délayer avec de