Qu Est Ce Que Penser Librement

tout ce qu’il fait. Donc si Dieu n’existait pas nous n’aurons pas de valeurs, de normes pour limiter notre liberté, notre comportement,… Si je reprends le stoïcisme qui dit : « si je peux penser, je suis libre. », je dirai que nous sommes libres à l’intérieur de nous même car chaque personne est libre de penser ce qu’elle veut à l’intérieur d’elle-même mais est-elle libre de la dire à l’extérieur d’elle-même ? Ca revient encore à la question de liberté, nous sommes libres de choisir sachant que,

Philosophie: Commentaire de texte Alain Ce texte d'Alain, porte sur l'action de penser. Au travers de quelle démarche peut on y parvenir? A quoi cela nous mène-il spirituellement? Mais surtout, qu'est ce que réellement penser? C'est à cette dernière question qu'Alain répond en affirmant sa thèse dès la première ligne à savoir « penser, c'est dire non ». Pour Alain, penser résulte d'un refus, d'un dénis et dès lors pour y parvenir il est nécessaire de savoir examiner et se méfier des préjugés,

aucune doctrine, aucun champs du savoir n'est privilégié, il doit y avoir une neutralité sur le plan politique, religieux. Aussi, dans le principe de libre arbitre, des méthodes et des connaissances sont enseignées à l'élève lui permettant d'exercer librement son choix. Limite o L'exercice des droits et devoirs des lycéens ne doit pas porter atteinte aux activités d'enseignement. o Le prosélytisme (volonté recruter des adhérants en utilisant des moyens de pression) et la propagande (volonté d'imposer

souligner le caractère possiblement contraignant du devoir moral. Il faut alors rappeler que l'idée de contrainte est différente de celle d'obligation. La première se caractérise par une règle imposée de force et la seconde par une règle choisie librement, par sa propre volonté. Ainsi Nietzsche affirme que la notion kantienne du devoir est un danger. Pour lui, la vertu doit naître du besoin, de la conservation et de la croissance vitale. Elle doit par conséquent être une invention personnelle.

par la compréhension. Quand nous comprenons ce qui nous arrive, cela cesse d’être une passion passive, car nous ne nous y opposons plus (puisque nous en comprenons). Spinoza affirme que la connaissance est indispensable pour quiconque veut vivre librement. L’homme qui vit dans l’ignorance, n’est pas considéré comme un homme libre. Seule la connaissance vraie est libératrice : il faut donc, pour être libre, être conduit par la seule raison (raison qui n’est pas ce qu’on appelle la conscience) et ainsi

C’est pour ça qu’encore aujourd’hui il y a nombreux pays dans le monde où ces droits ne sont pas respectés, parce que ce n’est pas possible d’étendre cette déclaration à tous les pays. Dans ces pays, les gens n’ont pas le droit d’exprimer librement ce qu’ils pensent, sous peine de prison, voire la mort. Quant aux limites de la liberté d’expression, c’est à dire, où commence-t-elle, et où finit-elle, il y a une cite que je connais depuis que je suis petit, et que je n’oublierai jamais :

Sujet : Peut-on penser par soi-même ? La nécessiter de penser remonte à toujours, mais est indispensable de nos jours. Lorsqu'il s'agit de se prononcer sur ce qui semble vrai, faux, bien ou mal, dès qu'une personne à une maturité quelconque, elle est mise face à différents avis sur ce qui l'entoure. Après, peut-on penser par soi-même ? Sans oublier pour autant que l'humain est un personnage influençable sous différent points, comment savoir si l'emprise extérieur n'a pas d'empreinte sur la pensée

Nous nous posons la question : peut-on penser ce que l'on veut ? Ce qui nous amène directement à penser justement à la notion de volonté. Notre pensée est-elle volontaire ou cette pensée est-elle automatique ? En ai-je la capacité ? Soit nous la désirons par acharnement, soit nous pensons de façon inconsciente et cette pensée s'impose à nous comme une évidence aussi simplement que l'on respire. De plus, cette réflexion peut nous mener à l'idée de plaisir, de rêve, de fantasme.. à certaines projections

et/ ou du choix de ces principes. Elle suppose la conscience et la liberté. Si je veux quelque chose c’est que j’en décide librement, rien (c’est-à-dire : ni les passions, ni l’inconscient, ni l’ignorance ne peut en être l’origine) ni personne ne m’y a poussé. La question de savoir si on peut vouloir le mal signifie donc : peut-on faire le mal en connaissance de cause, librement, en sachant que ce que l’on fait est mal ? Ou bien ne fait-on le mal que par aveuglement, à cause des passions, ou de notre

le refus de l’effort ou le goût pour la facilité et la lâcheté, ou bien le manque de courage, sont ces causes qui laissent les hommes dans la minorité, c’est-à-dire le fait de ne pas penser par soi-même, mais de laisser les autres le faire à leur place. La majorité intellectuelle est atteinte lorsque l'on peut penser par soi-même. L'enfant est "naturellement" mineur intellectuel, car sa raison est en voie de formation. Là, la direction étrangère, celle des parents est nécessaire, celle-ci ne se