Quartier de la Chapelle

muraille en 403 PCN. Ensuite, en 537 PCN, les Ostrogoths de Vitigès attaquent la ville, la forteresse résiste à l’assaut mais en 545 Totila (roi Ostrogoth) détruit un tiers de la muraille aurélienne et aménage la forteresse en citadelle. Puis en 846, le quartier du Borgo est dévasté par les Sarrasins, s’ensuivi l’addition de parties à la muraille pour fortifier le Vatican. Douze ans plus tard, une rumeur se répand disant que le pape François 1er aurait eu une vision de l’archange Michel annonçant la fin

de confrontation Doc 2 : Art du Dictionnaire culturel de langue française Doc 1 : Notre Dame de Paris Doc 3 : Acte d’accusation de Caramentran Doc 4 : bilan Fête chrétienne Contrôle exercé par l’Eglise (au début) Aspect chrétien : chapelle, attributs du pape (tiare.. ;) Caramentran : entrée dans le Carême Fêtes chrétienne : Mercredi des cendres (début du carême) Fête chrétienne Contrôle exercé par l’Etat après XVème Présence d’associations, participation de région PACA Fête contrôlée

|( T32.1 | |Les contextes |L’organisation et son offre de services | | |La Sorbonne appartient aux « Quartiers Latin » dans le 5ème arrondissement de Paris. Ce bâtiment était avant une | | |Université dite « Université de Paris » (de 1896 à 1971) ainsi que ancienne faculté des sciences et des lettres de | |

Montes * Vigo Ville de Pontevedra : Capitale de la province du même nom et ancien port, aujourd’hui ensablé, Pontevedra signifie « vieux pont ». C’est l’une des plus anciennes villes de Galice, et le centre ancien constitue l’un des plus beaux quartiers historiques de la régionmunes (municipios en espagnol). | Pontevedra | | La Praza de Ieña. | | | | Drapeau | Blason | | | Données générales | Statut | Municipio | Pays |  Espagne | Communauté autonome |  Galice |

| | |langue française | |Caramentran | | | |Fête chrétienne Contrôle exercé |Aspect chrétien : chapelle, |Caramentran : entrée dans le |Fêtes chrétienne : Mercredi |Fête chrétienne | |par l’Eglise (au début) |attributs du pape |Carême |des cendres (début du |

Période et Décor : Parti pris d’installer un récit de science fiction dans le cadre d’une Amérique middle class en plein chantier (30 glorieuses, politique de grands travaux) marquée par les grands bouleversements du premier mandat Reagan, Le quartier d’E.T est un grand chantier de travaux de construction, parfaite image des grands plans urbanistique de Reagan. Pour l’anecdote Steven Spielberg a fait une projection privée de ce film à la Maison Blanche pour Ronald Reagan et Nancy Davis. Monde

d'un mur de Podium d'une hauteur de 2 mètres 50. Il y avait certainement dans une partie jouxtant le mur un couloir qui contenait les accès aux premier gradins. Dans le mur on découvre la présence de petites niches qui pouvaient servir de petites chapelles de culte, plutôt que de coulisses. Il y avait certainement des cages à animaux dont on devine le socle des grilles, ces cages menaient directement aux arènes. Les deux grandes entrées, formant chacune trois portes, une grande au milieu et deux petites

divisions des hommes et des femmes, séparées l’une de l’autre par une vaste cour de service plantée d’arbres et de fleurs, au milieu de laquelle sont élevés transversalement et d’avant en arrière et de l’est à l’ouest, le bâtiment d’administration, la chapelle, le bâtiment des services généraux, les bains, les divers ateliers, le château d’eau et la salle des morts, communiquant entre eux par des galeries couvertes sous lesquelles le service se fait à l’aide de wagonnets pareils à ceux qui servent au transport

Auteur : Architectes : Michel Macary, Aymeric Zubléna, Michel Regembal et Claude Costantini date de réalisation : entre 1994 et 1998 Thème : Arts, techniques et expression Domaine artistique : Arts de l’espace Lieu(x) d'exposition : Quartier de la Plaine Saint-Denis (Département de la Seine-Saint-Denis) au nord de Paris. Présentation de l’artiste Nom : Michel Macary, Aymeric Zubléna, Michel Regembal et Claude Costantini ; ils appartiennent à deux grands cabinets d'architecture français

brabançonne. Né dans une famille pauvre, jeune, Philippe de Champaigne refuse d'intégrer l'atelier de Rubens à Anvers. C'est un élève de Jacques Fouquières, peintre paysagiste à Bruxelles. Il souhaite visiter Rome mais s'arrête à Paris en 1621, se fixe au quartier latin au collège de Laon où il se lie d'amitié avec Nicolas Poussin et travaille chez les maniéristes Georges Lallemand et Nicolas Duchesne, dont il épouse la fille en 1628. Il quitte l'atelier de Lallemand vers 1625 et commence à travailler pour