Quartiers de noblesse

lyrique mais aussi engagé où l’auteur exprime sa vision de la ville de New York, qui symbolise la culture occidentale. Ce texte est composé de trois parties, la première est consacrée à Manhattan, quartier d’affaires, que Senghor va s’attacher à démystifier, la seconde partie est consacrée à Harlem, quartier noir dont l’auteur va faire l’éloge, la troisième sera consacrée à un appel à la réconciliation entre les deux cultures (noire et occidentale) mais nous n’analyserons pas cette troisième partie

honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps[n 2]. » On perçoit immédiatement, dans la fin de ce premier paragraphe de l'œuvre, le sarcasme moquant le conservatisme social de la noblesse arrogante, certes tel que Molière un siècle plus tôt le pratiquait aux dépens de la petite aristocratie provinciale[n 3], mais surtout

riche, ainsi que la moyenne et la petite bourgeoisie, moins riche. Toutes deux vénèrent l’argent et le font voir. Elle représente 3% de la population. La bourgeoisie forme une véritable puissance politique qui prend le pouvoir à la place de la noblesse. Elle participe au gouvernement, se fait élire maire ou député et souhaite une liberté complète pour développer ses activités. Mais, ne supporte plus que l’état s’occupe des affaires de l’industrie et du commerce qu’elle considère n’être pas son

➢ Introduction générale ➢ Annonce du plan Analyse de l’extrait : > Extrait de « Mémoires », Livre IV, Chapitre V, le Duc de Saint-Simon. À huit heures le premier valet de chambre en quartier, qui avait couché seul dans la chambre du roi, et qui s'était habillé, l'éveillait. Le premier médecin, le premier chirurgien, et sa nourrice, tant qu'elle a vécu, entraient en même temps. Elle allait le baiser; les autres le frottaient et souvent

; il naît dans la littérature du XIXe siècle, à la suite de plusieurs évé- nements historiques et sociaux qui transforment la vision du monde de l’époque. La Révolution française bouleverse la société en remplaçant la stratification en ordres (noblesse, clergé, tiers état) par la stratification en classes3. Le mode de vie, propre à chacun de ces trois ordres et accepté par un « tacite consentement des peuples »4, est bousculé par l’établissement de la société de classes qui place le travail

combat : la classe moyenne L’environnement va radicalement changer , le paysage urbain fait son apparition , tous les modes de vie sont transformés , le progrès engendre une nouvelle civilisation II partie, Avant l’industrialisation il y avait la noblesse et le tiers –état, la principale richesse provenait des terres La nouvelle organisation du travail change la composition de la société, Au début de l’industrialisation les riches appartiennent à la grande bourgeoisie composée surtout d’héritiers

du Royaume (secrétaire d'État) Sebastião est nommé Premier-ministre du Royaume en 1755, Comte d'Oeiras en 1759 et Marquis de Pombal en 1770. Il a gouverné avec une main de fer, imposant la loi à toutes les classes, des plus pauvres à la Haute Noblesse. Impressionné par le succès économique anglais, il a essayé, avec succès, de mettre en œuvre des mesures qui inculquaient un même sens à l'économie portugaise. La région délimitée par la production de vin de Porto, la première région à assurer la

murs occidentaux de la ville, le tracé de l’ancien chemin de César. Dès le milieu du siècle, un quartier neuf, qui porte le nom significatif de faubourg de la Porte neuve, s’est formé le long de la route royale. C’est un signe tangible de l’expansion de Miélan. Il en est un autre : la mobilité de se population. Mobilité sociale, tout d’abord : des familles bourgeoises se haussent à la noblesse ou s’en approchent ; des familles nouvelles s’installent dans la bourgeoisie. Mobilité géographique

eux-mêmes b. Chartes et symboles urbains 3/ Des sociétés urbaines qui s’affirment a. Le poids du monde économique : les sociétés urbaines sont hiérarchisées, comme l’ensemble de la société médiévale : au sommet de la hiérarchie, figurent la noblesse, et le clergé. Donc, on les retrouve comme « seigneurs » des villes qui ne sont pas franches (exemple : la famille Orsini, à Rome). La nouveauté, c’est le développement d’une classe sociale de riches marchands, qui ne sont pas nobles, mais qui souhaitent

(« Thunder-ten-tronckh ») et des personnages caricaturés (avec « Madame la baronne » et « Cunégonde »). Leur pouvoir est exagéré (avec le château de « Monsieur le baron ») La noblesse est également critiquée (lorsque la sœur de monsieur le baron refuse d’épouser un homme car « il n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers »). Le libertinage qu’ils exercent casse leur image noble dont ils sont censés faire preuve. 2) Critique de l'optimisme L’optimisme est représenté