Quatre Jour Mon Amour

poésie amoureuse qui voit le jour à la Renaissance à Lyon, qui est, rappelons-le un des foyers majeurs de la production littéraire française en raison de la qualité de son imprimerie qui s'y développe. (Pour plus de détails, voir l'article sur la Renaissance Lyonnaise.) La poésie de Scève est une poésie profondément amoureuse : son unique recueil de poèmes, Délie-Objet de plus Haute Vertu, est consacré à une femme, Délie, qui ne serait autre que Pernette du Guillet. Quatre cents quarante neuf poèmes

résistant, sa conviction déteint sur ses recueils, parmi lesquels figure « Fureur et mystère » ( 1948 ), recueil contenant le poème « Allégeance », un des plus célèbres poème de l’auteur. Il se présente sous la forme d'un poème en prose constitué de quatre strophes composées d'alexandrins : 4 strophes donc comprenant 4 vers chacune pour les deux premières puis 3 vers et un hémistiche et enfin, 5 vers. Le sujet du poème est des plus populaires, René Char traite ici de l’amour. Le titre, « Allégeance »

toi comprendre ; Je ne souhaite encore point mourir. Mais, quand mes yeux je sentirai tarir, Ma voix cassée, et ma main impuissante, Et mon esprit en ce mortel séjour Ne pouvant plus montrer signe d’amante, Prierai la mort noircir mon plus clair jour. Tant que mes yeux pourront larme épandre est un sonnet lyrique en décasyllabes écrit par Louise Labé, l’une des plus grandes femmes de lettre de la Renaissance française. Il fut publié en 1555. Fruit d’une éducation humaniste

fois que j'entreprends de l'exprimer. Nous avions passé tranquillement une partie de la nuit. Je croyais ma chère maîtresse endormie et je n'osais pousser le moindre souffle, dans la crainte de troubler son sommeil. Je m'aperçus dès le point du jour, en touchant ses mains, qu'elle les avait froides et tremblantes. Je les approchais de mon sein, pour les échauffer. Elle sentit ce mouvement, et, en faisant un effort pour saisir les miennes, elle me dit, d'une voix faible, qu'elle se croyait à

Secretum). Cependant, ce n’est pas pour ces œuvres qu’il restera dans l’éternité. C’est pour un recueil qu’il écrit parallèlement à ces deux œuvres, un recueil de poèmes en langue vulgaire, Le Canzionere ou Rerum vulgarium fragmenta, qui chante son amour produit par la rencontre brève avec une jeune femme qu’il nome Laure. Elle a tellement émotionnée le poète que pour Pétrarque Laure est devenue sa religion, elle est l’incarnation d’une déesse. Elle est idéalisée et le poète assure son immortalité

l’arrivée de son amoureux. Sa suite composée de quatre seigneurs l’accompagne pour l’aider à exécuter son plan. 2) l’intrigue de l’extrait doit être évoquée brièvement. L’intrigue de cet extrait concerne l’un des files de l’intrigue principale : Il s’agit de l’amour de Don Carlos pour Dona sol. Une passion physique qui accompagne la majorité des événements et ne s’arrête que dans l’acte quatre, quand le Roi est sacré empereur. Cet amour rencontre l’obstacle du non partage de la part de

considéré longtemps tous les environs. Nous nous assîmes, l’un près de l’autre. Je pris ses mains dans les miennes. Ah ! Manon, lui dis-je en la regardant d’un œil triste, je ne m’étais pas attendu à la noire trahison dont vous avez payé mon amour. Il vous était bien facile de tromper un cœur dont vous étiez la souveraine absolue, et qui mettait toute sa félicité à vous plaire et à vous obéir. Dites-moi maintenant si vous en avez trouvé d’aussi tendres et d’aussi soumis. Non, non, la Nature

mille exemplaires sont vendus en moins d’un an. Son second roman, Bel-Ami, paru en 1885, connaît trente-sept tirages en quatre mois. Trois ans plus tard, Maupassant écrit ce que, d'aucuns considèrent comme le plus abouti de ses romans, Pierre et Jean. L’auteur entame désormais une série de voyage qui lui permet de s’évader de son quotidien où la maladie prend une place de jour en jour plus importante. En 1889 son frère est interné à l’hôpital psychiatrique de Charenton, où il meurt vers le mois de Novembre

Bérénice, qui sacrifient leur amour « malgré lui et malgré elle » à la raison d’Etat ». Ainsi, l’extrait de la scène 5, de l’ace V « non, je n’écoute rien….et vous me l’ordonnez » (v. 1303 – 2347), dont je ferais le commentaire marque la prise de conscience de Bérénice, qui assume désormais la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s’en aller. L’étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et Etat ; puis nous mettrons en

Rostand met somptueusement en scène Cyrano de Bergerac, un personnage aux talents de bretteur, de poète et d'écrivain et dont l'éloquence n'a de rivale que la longueur de son appendice nasal. L'auteur écrit une pièce de théâtre sans égal où se mêlent amour et humour, émouvante tant par sa poignante intrigue passionnelle que par la verve et la répartie des personnages, créant un véritable festival de mot et rendant le récit inoubliable par sa beauté. Acte I : La scène se déroule dans l'hôtel de