Quelle Est La Nature Tragique De Berenice

références savantes, Érasme ébranle les fondements de toutes les certitudes humaines. Son « relativisme » est un élément fondamental de la pensée de la Renaissance. Agrippa d’Aubigné, poète « engagé » Écrit entre 1577 et 1589, le long poème des Tragiques (10 000 vers) n’a pu paraître qu’en 1616, dans une France religieuse pacifiée. Sur un ton tour à tour épique, prophétique, parfois violemment satirique, Agrippa d’Aubigné évoque les longues luttes religieuses du xvie siècle en pourfendant l’intolérance

les événements du 8 et 9 avril 38. J'apporterai dans le chapitre suivant de cet ouvrage un témoignage qui pourrait faire l'objet de débats ouverts à d'autres interprétations que celles que j'apporte, pour faire un peu plus de clarté au sujet des tragiques événements qu'a vécu la Tunisie le 9 avril 1938 et sur lesquelles les historiens et même certains militants du NéoDestour,à juste titre d'ailleurs, continuent à se poser encore plusieurs questions."S'agit-il, en ce qui concerne la journée du 9 avril

parent pauvre de nos scénologues. Il est maintenant d'usage de parler de l'Hamlet de Grataloup, des Trois Sœurs de Duval, de la Danse de Mort de Rataboul, de Bérénice de Dubois. La plupart des metteurs en scène, se substituant à l'auteur, tiennent à prouver leur originalité. Que Hamlet tombe des cintres en parachutiste, quelle trouvaille ! que Harpagon soit l'homme le plus généreux du monde, Tartuffe

La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle [...] » Le duc Sujet 1 de Nemours qui tombera amoureux d’elle, n’a d’ailleurs rien à lui envier : « Ce prince était un chef-d’œuvre de la nature ; ce qu’il avait de moins admirable, c’était d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on

] La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle [...] » Le duc Sujet 1 de Nemours qui tombera amoureux d’elle, n’a d’ailleurs rien à lui envier : « Ce prince était un chef-d’œuvre de la nature ; ce qu’il avait de moins admirable, c’était d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on

.] La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle [...] » Le duc Sujet 1 de Nemours qui tombera amoureux d’elle, n’a d’ailleurs rien à lui envier : « Ce prince était un chef-d’œuvre de la nature ; ce qu’il avait de moins admirable, c’était d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on

Benoit Pype VOYAGE ET DÉPLACEMENT : L’ARTISTE CONTEMPORAIN ET SES EXPÉDITIONS Directeur de mémoire : Catherine Strasser Art-espace ENSAD 2010 5 Tous mes remerciements à : Ma famille Catherine Strasser Yann Pavie Jean-Christophe Gadrat Bérénice Serra 6 AVANT-PROPOS Séduit par la simplicité exaltante du « voyage » et sans aucun doute par la promesse d’une fascinante exploration, je me suis engagé spontanément dans l’aventure. Sans détour donc, j’ai formulé mes premières questions

saurais estimer. Et je leur en suis reconnaissant de tout cœur. Merci finalement à Ly Lam, une personne magnifique qui m'aide à mener à bien mes projets et grâce à laquelle je suis heureux. Sinon, merci à Jean-François Hamel, mon directeur, car la nature de notre relation a définitivement été, en dernier recours, une motivation suffisante pour terminer ce travail. Je tiens également à le remercier pour sa grande diligence et aussi pour les commentaires pertinents qu'il m'a faits et qui m'ont permis

animaux, il me racontait la vie des oiseaux qu’on ne voyait pas en ville. Mon père, dis-je à Sirius, était né dans une famille de paysans, au milieu d’un jardin peuplé de singes et d’oiseaux. En arrivant en ville, il avait gardé la nostalgie de la nature. Dans ses lettres, il me disait que, de temps à l’autre, il prenait le bateau et allait à la mer, ou le train pour se rendre au nord, au pays de sa jeunesse. Le voyage en train dure deux jours. Il allait sur la tombe de ces ancêtres. Sa tombe

et les pratiques de la représentation : il y aurait une pertinence du moderne, une force de conviction dans son entreprise de dire le monde, ou même dans son échec ou son refus à l’exprimer. Définir la modernité, c’est forcément s’interroger sur la nature, les fonctions, les fins dernières de l’art, indépendamment du seul critère du goût dominant d’une époque : le point nodal de la modernité semble toujours une représentation prescriptive d’ellemême. Si la tradition peut mourir, la modernité militante