Radioprotection

la qualité de l’eau potable. Trois agences de sécurité sanitaire contribuent en particulier à observer et évaluer le risque sanitaire : l’Agence française de sécurité sanitaire (Anses), l’Institut de veille sanitaire (InVS) et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). L’assainissement : - Le déficit d’assainissement dans le monde et ses conséquences : Les hommes consomment l’eau et génèrent diverses pollutions dans le cadre de leurs activités industrielles, artisanales

valable. Réglementation en radioprotection RFA : Population 1 mSv/a nuisance supplémentaire, poste de travail 20 mSv/a ; BGA : Population 1,67 mSv/a ; RFA en moyenne : < 0,6 mSv/a (< 70 nSv/h) Allemagne du Nord, > 1,4 mSv/a (> 165 nSv/h) Erzgebirge, Thuringe, Forêt-Noire, Forêt bavaroise, etc. Radon en becquerel par mètre cube Bq/m³ < 30 30-60 60-200 > 200 EU : 400 Bq/m³ (Existant), 200 Bq/m³ (Construction neuve) ; Réglementation en radioprotection RFA : 250 Bq/m³ ; Suède : 200

manipulées. Les quantités sont très faibles par rapport aux Normes de la loi. Pour avoir un ordre d’idées des risques réels qu’entraîne cette Installation, il faut connaître des notions comme radioactivité naturelle et Artificielle, activité, radioprotection, dose, dose efficace et activation afin de Mieux comprendre la suite. La radioactivité Un atome est radioactif quand son noyau est instable et va se désintégrer en d’autres noyaux (radioactifs ou non) en libérant de l’énergie sous forme de

des centres de stockage conventionnels (11 sites identifiés). Il s’agit essentiellement de boues, terres, résidus industriels, gravats et ferrailles. Compte tenu de la nature de ces stockages et des déchets concernés, les risques en matière de radioprotection apparaissent limités. 10 % 10 tonnes de t uellemenissu nt ann ium qui sototalité du flux pluton dan s soit la recyclées, ustibles EDF traitésva. ar Are s comb p de L a Ha gu e l’usine de des r les mo Améliore ts n existan de gestio

travail ; 6° Des agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale ; 7° Des agents des organismes professionnels de santé, de sécurité et des conditions de travail mentionnés à l'article L. 4643-1 ; 8° Des inspecteurs de la radioprotection mentionnés à l'article L. 1333-17 du code de la santé publique et des agents mentionnés à l'article L. 1333-18 du même code, en ce qui concerne les résultats des évaluations liées à l'exposition des travailleurs aux rayonnements ionisants, pour

particulière, avec plus de femmes que d'hommes en fin de guerre, affaiblies... Pas plus qu'aux contaminations avérées des îles Marshall après les explosions nucléaires américaines dans l'atmosphère (2). En clair, les spécialistes honnêtes de radioprotection avouent qu'on ne sait pas de façon précise quelles sont les conséquences sur l'organisme des faibles doses de radioactivité. Or, plus de quatre millions de personnes vivent et vivront en zone contaminée, ingérant, année après année, de petites

à la lutte contre les pollutions, il veille à l'application des consignes de défense de l'environnement et propose des solutions pour la réalisation de ces objectifs. Dans les centrales nucléaires, il collabore étroitement avec le service de radioprotection pour assurer une meilleur maîtrise de la non-pollution. Il participe au traitement des anomalies, incidents ou dysfonctionnements et contribue au suivi des indicateurs de performance. Ses fonctions pédagogiques réclament des facultés de communication

du public sur les sites nucléaires de Creys-Malville, Saint-Alban, Grenoble (Institut laue-langevin et CEA), et Veurey-Voroize (usine SICN). Ces CLI assurent une mission générale de suivi et de concertation en matière de sûreté nucléaire, de radioprotection, et d'impact des activités nucléaires sur les personnes et sur l'environnement Le Conseil général a créé et finance le Syndicat mixte des bassins hydrauliques de l'Isère (Symbhi), outil de la gestion globale des cours d'eau. Le Symbhi est chargé

transport de matières dangereuses (TMD). De plus, l'État exerce un contrôle sur ces installations, par le biais de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Elle s'appuie sur des inspections réalisées par les inspecteurs de la Direction Générale de la Radioprotection et de la Sûreté Nucléaire(DGRSN), ainsi que par ceux des Divisions Nucléaires (DIN), existant au sein de certaines directions régionales de la Recherche, de l'Industrie et de l'Environnement (DRIRE). L'information préventive des populations :

branche professionnelle du BTP) - L’Assurance maladie - Risque professionnelle - MSA (Mutualité Social Agricole) - INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) - INVS (Institut de Veille Sanitaire) - IRSN (Institut de Radioprotection et de Sureté Nucléaire) - IRIS-ST (Institut de Recherche et d'Innovation sur la Santé et la Sécurité du Travail) On distingue 3 types de prévention : La prévention primaire, c'est l'information du grand public, qui s'inscrit au travers