Radiothérapie externe

jeune enfant et le fœtus, des cancers thyroïdiens radio-induits ont été observés à partir de 100 mSv administrés à débit de dose élevé. L'estimation du risque repose sur les irradiés d'Hiroshima et Nagasaki et sur le suivi d'enfants ayant eu une radiothérapie. Il s'agit là de doses et débits de dose élevés et ces données ne sont probablement pas généralisables. Le risque relatif diminue avec l'âge et n’est plus significatif après 20 ans. La thyroïde de l'adulte est très peu sensible aux rayonnements

toutes un cancer. La fréquence dépend en partie de la dose reçue : plus la dose est élevée, plus le risque de développer un cancer est fort.   La source principale d’exposition aux rayonnements ionisants est liée aux traitements des cancers par radiothérapie et aux examens d’imagerie médicale. La seconde source est la radioactivité naturelle (radon, rayonnement cosmique, tellurique).     Qu'est­ce que la radioactivité? Les effets de la radioactivité sur la santé Comment est­on exposé à la radioactivité

nouvelle tumeur, ou circuler sous forme libre. En détruisant son environnement, le cancer peut devenir un réel danger pour la survie de l'être vivant. Exemple du cancer du sein Ces tumeurs sont principalement situées dans la moitié supérieure externe du sein ou dans le mamelon. Elles touchent plus fréquemment le sein gauche que le sein droit et, dans de rares cas, elles sont présentes dans les deux seins. Certaines tumeurs évoluent très lentement alors que d’autres se propagent rapidement aux

DEFINITION INTERET CIRCONSTANCES DE SURVENUE FACTEURS FAVORISANTS CLINIQUE CONSEQUENCES PRISE EN CHARGE ELEMENTS DE SURVEILLANCE CONCLUSION GENERALITES Définition: Communication anormale entre le tube digestif et la surface cutanée (fistule externe) ou un viscère creux de voisinage (fistule interne), donnant lieu à l'extravasation de liquide digestif par le trajet fistuleux néoformé. GENERALITES Types de fistules digestives: FISTULE ENTERO-CUTANEE Définition: Les FEC se traduisent

4-Traitements qui permettent de soigner les malades. Nous allons prendre pour exemple la prostate. Il existe plusieurs traitements pour ce cancer : -La prostatectomie totale: ablation chirurgicale de la prostate et des tissus voisins -la radiothérapie externe: des rayons de fortes énergies sont focalisées sur la tumeur et détruisent les cellules cancéreuses -le traitement hormonal: on administre des médicaments qui diminuent l’action de la testostérone, les cellules cancéreuses sont donc privées

plateau technique moderne et performant, permettant des actions diagnostiques et thérapeutiques, imagerie médicale (radiologie, échographie, scanner, IRM), laboratoire de biologie, blocs opératoires, endoscopie, radiothérapie, pharmacie et stérilisation centrales, consultations externes. Le Dr BUSSEUIL est le chef du pôle Urgence Réanimation et Coordination. Mme DUCLAUD le Cadre de Santé Supérieure et Mesdames MATHIEU et VERNET sont les cadres de Santé de l’Unité. A l’année le nombre de patients

cellules individuelles, dont la fréquence croît en fonction linéaire de la dose. Les lésions aiguës, qui étaient courantes chez les premiers travailleurs exposés aux rayonnements ionisants et les premiers malades soumis à des traitements de radiothérapie, ont pratiquement disparu par suite de l’amélioration des mesures de sécurité et des méthodes de traitement. Néanmoins, la plupart des malades traités par irradiation de nos jours subissent encore certaines lésions dans des tissus sains. De plus

plaquettes il est nécessaire d'avoir régulièrement recours aux transfusions (sang, plaquettes, plasma).   La chute des globules blancs c'est l'aplasie : au dessous d'un certain seuil, l'organisme n'est plus assez fort pour résister aux « agressions » externes, les globules blancs ne sont plus assez nombreux pour lutter et les moindre microbes ou bactéries ont des conséquences.... On parle d'aplasie lorsque: globules blancs (G.Bl) < à 1000 et Polynucléaires Neutrophiles (PN) < à 500.   Lors d'une

soulagement d’en avoir terminé avec les traitements se mêlent parfois à la tristesse de devoir mettre fin aux relations privilégiées que la personne a pu construire au fil du temps avec le personnel soignant (médecins, infirmières, manipulateurs de radiothérapie, ambulanciers, etc.). D’anciens patients ont dénommé ce stade « période de sevrage de fin de traitement ». Ce sentiment est tout à fait normal. Tourner la page du jour au lendemain est difficile, même si l’entourage y incite vivement la personne

perd pas En dehors de l'hygiène quotidienne, il est souvent réalisé pour soigner des ulcérations buccales d'origine diverses, en particulier les aphtes et stomatites fréquents pendant ou après les traitements par la chimiothérapie et la radiothérapie anticancéreuse. Le soin de bouche doit alors être réalisé stérilement par l'infirmière. Objectifs : prévenir l'infection guérir ou améliorer l'état buccal déjà altéré prévenir le dessèchement des lèvres et de la muqueuse buccale