Radiothérapie externe

connaissances « expérimentales » sont multiples, peu sont issues des grands accidents nucléaires, heureusement rares, et beaucoup de renseignements proviennent des applications médicales des rayonnements ionisants, en imagerie et surtout en radiothérapie : environ 100 000 malades sont traités chaque année par des doses importantes de rayonnements ionisants. Il avait été observé une fréquence anormalement élevée de leucémies chez les utilisateurs de rayons X avant 1928. Médecins, physiciens

à les moyens technique d’investigation participe a cette concrétisation de part son volet diagnostique et thérapeutique. Aujourd’hui, le manipulateur peut exercer dans de nombreuses disciplines telles que le radiodiagnostic (mammographie ), la radiothérapie, la médecine nucléaire, la radiologie vasculaire et l’échographie . Chacune d’entre elles peut présenter une prise en charge du patient différente : technique et même psychologique. En effet, selon l'examen à réaliser, le patient ne sera pas dans

l’environnement ou encore certaines habitudes personnelles (tabac, nourriture, alcool, sédentarité, exposition au soleil, etc.) font également partie des principaux facteurs de risques. Aujourd’hui, les traitements existants (médicaments de chimiothérapie, radiothérapie, chirurgie, etc.) sont plus efficaces que par le passé, mais ils restent agressifs, entraînant de nombreux effets secondaires. En effet, ne visant pas spécifiquement les cellules cancéreuses, ils peuvent également tuer des cellules saines et affaiblir

au soleil. Avoir le teint clair, un grand nombre de grains de beauté, Avoir subi de graves coups de soleil ou avoir été beaucoup exposé au soleil durant l’enfance et l’adolescence. Avoir reçu des traitements de photothérapie ou de radiothérapie. Travailler à l’extérieur, exposé au soleil, ou comme soudeur à l’arc électrique, chaudronnier ou imprimeur. Avoir un système immunitaire affaibli (par le VIH, un autre cancer, une greffe d’organe). L’utilisation de lampes solaires

de Béziers. Ses antécédent médicaux, présente une hypertension artérielle et un diabète de type 2 (diabète non insuline dépendant) Pour cela il suit un régime sans sel et sans sucre. Mr Wesley reste hospitalisé le temps de son traitement par radiothérapie pour un éventuel retour au domicile. LA SITUATION RELATIONNELLE Deux jours après son hospitalisation, je rencontre monsieur Wesley pour la première fois, dans le couloir du service. Ayant l’impression qu’il est perdu, je l’entends crier

prévention ainsi qu’à l’amélioration des soins. Dans cette exposé nous allons parler du progrès de la médecine avec la mise en places des progrès technique vis-à-vis de celle-ci , et des risques encourue à travers divers exemples. LA RADIOTHERAPIE La radiothérapie est une méthode de traitement locorégional des cancers, utilisant des radiations pour détruire les cellules cancéreuses en bloquant leur capacité à se multiplier. L'irradiation a pour but de détruire toutes les cellules tumorales tout

onco-hématologie Médecine antiâge : morphologique et anti age Médecine générale Médecine du travail Médecine physique et de réadaptation Médecine interne Médecine nucléaire Néphrologie Neurologie Oncologie médicale Oncologie radiothérapique ou Radiothérapie Pédiatrie Pharmacologie Pneumologie Psychiatrie Rhumatologie Santé publique et médecine sociale Radiodiagnostic et Imagerie médicale Spécialisations autres : Allergologie Andrologie Angéiologie ou angiologie Gériatrie Infectiologie

cliniques homéopathiques de Calcutta en Inde. Dans un rapport sur le travail de la Prasanta Banerji Homeopathic Research Foundation, 21 888 patients atteints d’une tumeur maligne ont été traités uniquement par homéopathie, sans chimiothérapie ni radiothérapie, entre 1990 et 2005. D’après les comptes rendus cliniques, on a constaté une régression complète de la tumeur dans 19 % des cas (4 158 patients) et une stabilisation ou une amélioration dans 21 % des cas (4 596 patients). Ceux dont la tumeur n’évoluait

des antidiabétiques oraux ; - Adénocarcinome prostatique indifférencié diagnostiqué en 2002 traité par hormonothérapie et radiothérapie la même année puis hormonothérapie suivi par le Dr T. traité par chibroproscar®, un hypertrophie ; - Insuffisance

multi résistante ) , cette infection entraînera une hospitalisations aux capucins durant 6mois et provoquera une paralysie des membres inférieurs jusqu'à la taille(mobilité réduite uniquement sur fauteuil). En 2011 les effets secondaires de la radiothérapie au cobalt(en 1990) lui font perdre l'usage partiel puis quasi total de ses deux mains elle est traitée pour une hypothyroïdie par du levothyrox 75 ug Hospitalisation et risque : Madame C avait demandé à être hospitalisé à proximité