Raie spectrale

afocale sous le plateau gradu´, vis du support du prisme) : il ne faut alors jamais forcer e la rotation ` la main (usure des paliers, jeu pr´matur´ causes d’impr´cisions) et desserrer les a e e e vis avant de d´placer les instruments. e • La lampe spectrale utilise une ampoule ` vapeur de sodium coˆteuse et fragile. Ces lampes a u sont longues ` se mettre en temp´rature (10 min) et ne doivent pas ˆtre rallum´es juste apr`s a e e e e avoir ´t´ ´teintes. § Ne pas l’´teindre pendant la manipulation et

entacher d'erreurs les résultats obtenus. On leur a donné le nom général de perturbations (ou interférences ou interactions). On peut les classer en perturbations spectrales, physiques, chimiques, d'absorption non spécifique : -les perturbations spectrales : une raie d'absorption d'un composant de la matrice coïncide avec la raie d'émission de résonance de la source. -les perturbations physiques : il s'agit essentiellement des phénomènes de viscosité et de tension superficielle. Une faible

(étoiles et sources associées), en passant par les sources composites comme les galaxies, l’Univers est empli d’émetteurs électromagnétiques sur tout le spectre, qui interagissent avec l’atmosphère terrestre. Cette interaction, qui dépend du domaine spectral considéré, conditionne la nature de l’instrument d’observation, son support technologique et son altitude (du sol à l’extérieur de l’atmosphère). L’Homme sait également fabriquer des sources de rayonnement sur l’ensemble du spectre, dans le visible

physiques 279 12.3 Atome d’hélium 282 EXERCICES 287 CHAPITRE 13 • ATOMES 291 13.1 Approximation du champ central 291 13.2 Structure fine des niveaux d’énergie : couplage L − S 296 13.3 Détermination des termes spectraux 300 13.4 Structure fine des niveaux d’énergie : couplage j − j 304 EXERCICES 305 CHAPITRE 14 • ATOME D’HÉLIUM 313 14.1 Hamiltonien, spectre et énergies 314 14.2 Propriétés de l’hamiltonien 317 14.3 Approximation

cas où la source S est ponctuelle, on voit que les franges d'interférence sont observables sur l'écran, quelle que soit sa position, à la sortie de l'interféromètre. On dit que les franges sont "non localisées". III- SOURCE POLYCHROMATIQUE (lampe spectrale ou lampe à continu) A chaque longueur d'onde correspond un système de franges caractérisé par un interfrange qui dépend de λ . Si la source comporte plusieurs longueurs d'onde (par nature incohérentes puisque correspondant à des atomes émetteurs

Tout corps porté à l’incandescence et maintenu à une température T constante, émet un rayonnement électromagnétique formant un large spectre continu. Le spectre de lumière émise a l’allure suivante, où l’on représente l’intensité lumineuse spectrale I émise en fonction de la couleur : [pic] Ainsi, la lumière émise par le Soleil (température de surface de 5700°C) est principalement constituée de lumière visible et d’infrarouge proche (�� < 4 µm) alors que la Terre (température de

LUMINEUX UNITE : LE LUMEN COMPOSITION : COURBE SPECTRALE UNITE : uW / 5nm / lm Différentes courbes spectrales : Spectre de la lumière naturelle, lampes à incandescence et des lampes aux halogènes. Toutes les couleurs présentes, évolution des puissances continue. Spectre des lampes fluorescentes à Ra élevé ( >90), et des lampes aux halogénures métalliques modernes. courbe a bande courbe à raie COULEUR DE LUMIERE : TEMPERATURE DE COULEUR

d'entre elles soit isolée des autres, il faut donc s'assurer de l'orthogonalité des ressources. 7 Multiplexage Il existe essentiellement trois formes de multiplexage dans la gamme radiofréquence et hyperfréquence : le multiplexage fréquentiel ou spectral (FDM, Frequency Division Multiplex, ou FDMA, Frequency Division Multiple Access), le multiplexage temporel (TDM, Time Division Multiplex, ou TDMA) et le multiplexage de code (CDM, Code Division Multiplex, ou CDMA). Dans les deux premiers cas, on

............................................. Détecteurs SPRITE ....................................................................................... Utilisation des détecteurs infrarouges .............................................. Domaine spectral de sensibilité ................................................................. Niveau de la sensibilité ............................................................................... Bruit et détectivité.......................................

mono-CCD ou mono-CMOS qui ne possèdent pas de séparateur optique. Dans ce cas trois filtres colorés RVB sont placés l’un à la suite de l’autre sur les photosites, couvrant ainsi toute la surface du capteur. Le chevauchement des trois zones spectrales est plus large que sur les systèmes à séparation optique, mais cela conduit inévitablement à un décalage spatial des trois couleurs. Peuvent apparaitre ce que l’on nomme des fausses couleurs. Il existe trois types de disposition des filtres sur